L'Anses salue le fait que que la nouvelle évaluation des risques réalisée par l'Efsa s'appuie sur des études non prises en compte jusque-là, sur l'exposition par voie orale et par voie sous-cutanée. "Par ailleurs, l'Efsa a élargi sa sélection à des études qu'elle ne considérait pas jusqu'ici, prenant ainsi en compte des travaux supplémentaires dans son évaluation des risques".
L'éco-organisme explique ce progrès par la "connaissance des solutions de collecte et des enjeux écologiques, clés de la motivation". En effet, d'importants "efforts de communication alternant campagnes télévisées pour toucher massivement les Français et opérations de proximité dans les écoles" ont été fournis.
Des campagnes de sensibilisation ont été menées auprès de 1.000 classes du primaire afin de permettre aux "enfants de mieux comprendre les enjeux du recyclage des lampes et de sensibiliser leur entourage".
La "facilité du geste" constitue également un paramètre important. Récylum a mis en place 16.000 points de collecte de proximité visibles, dans le cadre de sa devise "un bac de recyclage sur le chemin de chaque citoyen".