Le gouvernement Harper tente de se procurer de nouvelles munitions contre la directive européenne sur les carburants - défavorable aux sables bitumineux - en s'en prenant à la crédibilité de l'étude qui la sous-tend. Mais cette remise en question de la validité scientifique de la recherche européenne en fait sourciller quelques-uns.
L'entreprise qui remportera l'appel d'offres devra travailler à la vitesse grand V. Son étude finale, comportant entre 20 et 30 pages, devra être livrée au plus tard le 27 septembre.
Le montant maximal imposé aux soumissionnaires est de 200 000 $.