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Selon une étude du CGDD, 2,6% des ménages seraient en situation de précarité énergétique pour deux types de dépenses : les trajets et pour chauffer leurs logements. 22% le serait pour l'un ou l'autre de ces postes.
Le service de l’observation et des statistiques (SOeS), au Commissariat général au développement durable (CGDD) du ministère de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie (Medde) a souhaité rassembler dans un seul document l’ensemble des données sur les énergies renouvelables afin de les mettre à disposition d’un large public.
Batteries moins performantes ou applications trop gourmandes ? Toujours est-il que nos smartphones doivent être rechargés très souvent, sous peine de se sentir coupés du monde (attention, si c’est votre cas, vous frôlez la nomophobie). C’est ainsi que les prises de courant publiques – au même titre que les hotspots WiFi – sont devenues le Graal du XXIème siècle. Mais ces services gratuits sont potentiellement dangereux…
Un prix élevé, la réticence des Français à payer plus et une faible acceptabilité sociale. Autant de raisons qui expliqueraient le peu d'engouement pour cette pratique pourtant censée augmenter l'offre en eau.
Un rapport ministériel tente d'évaluer une possible aggravation des dommages liés aux catastrophes naturelles compte tenu des changements climatiques. Le document pointe surtout deux aléas sensibles : les feux de forêt et le recul du trait de côte.
38% des ménages seulement considèrent nécessaire d'entreprendre des travaux d'économie d'énergie, selon le bilan « Opinions et pratiques environnementales des Français en 2013 », publié par le commissariat général au développement durable, le 1er avril.
Deux études, l'une du CGDD, l'autre d'Ethicity, se sont intéressées aux pratiques environnementales des Français. Si ces dernières progressent depuis 10 ans, avec la crise, le critère économique conditionne de façon plus aiguë les choix.
Le Comité pour la fiscalité écologique défend l'idée d'une compensation forfaitaire (200 euros) pour les 3 à 4 millions de ménages les plus modestes. Le surcoût de la taxe est estimé à 98 euros par an et par foyer en 2016.
L'économie circulaire est à la mode. Mais, au-delà d'une amélioration de la politique des déchets et de l'accent mis sur les acteurs locaux, sa mise en œuvre prend des formes très variées, constate un rapport du ministère de l'Ecologie.
Si l'objectif d'un volume de ressources végétales utilisées comme matières premières dans le secteur de la chimie de 20% à l'horizon 2020 est fixé, ce développement est soumis à un certain nombre de conditions.
Alors que Jean-Marc Ayrault débute ses consultations dans le cadre de la remise à plat de la fiscalité, un document du CGDD montre que la France se situe au 24e rang des pays de l'UE pour sa part de recettes fiscales environnementales dans le PIB.
Le prix des logements prend en compte les nuisances perçues. Mais il ne serait pas affecté par les incidents, les dispositifs d'information ou la mise en place d'un régime d'assurance. Une première indication sur l'effet des PPRT sur l'immobilier ?
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Comme chaque année, le Commissariat général du développement durable publie les données locales relatives aux installations de production d'électricité renouvelable sur le territoire national et dans les 4 DOM (Guadeloupe, Martinique, Guyane et Réunion). Sept filières sont représentées : hydraulique (puissance inférieure à 12 MW), éolien, solaire photovoltaïque, géothermie, biogaz, déchets incinérés et biomasse solide (bois-énergie, résidus agricoles et agroalimentaires). Les données disponibles rappelle la méthodologie utilisée et liste sous forme de tableaux les données départementales et communales avec le nombre d'installations et la puissance cumulée sur l'année. Les installations prises en compte sont celles produisant de l'électricité renouvelable et pour lesquelles a été conclu un contrat d'obligation d'achat en vertu de la loi du 10 février 2000 relative à la modernisation et au développement du service public de l'électricité.
Dans une plaquette datant de juillet 2014, le Commissariat général du développement durable (CGDD) présente 10 indicateurs clés pour décrire la situation de l'environnement en France. Ils étudient la pollution de l'air en milieu urbain, la pollution des cours d'eau, la part des énergies renouvelables dans la consommation finale brute d'énergie, l'artificialisation des sols, la consommation de matières, la quantité de déchets collectés par les municipalités, les émissions de gaz à effet de serre, la présence d'oiseaux communs, la part de métiers verts dans l'emploi global et enfin la préoccupation des Français sur les questions environnementales.
Un décret et un arrêté, publiés le 22 août, tirent les conséquences de la création du Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement (Cerema) sur l'organisation centrale du ministère de l'Ecologie.
La France se montre peu adepte des eaux usées pour irriguer ses champs agricoles, à la différence de plusieurs pays voisins, selon une note de synthèse du Commissariat général au développement durable (CGDD). Raisons du blocage: un prix bien plus coûteux que le pompage dans les cours d’eau, une faible acceptation par le public.
Le renforcement des normes environnementales impose des investissements qui, faute d'être réalisés, peuvent se traduire sous forme de dette écologique. Le ministère de l'Ecologie a évalué celle liée aux polluants atmosphériques.
La « nouvelle France industrielle » que François Hollande appelle de ses vœux a été érigée en objectif principal du gouvernement. Le Commissariat général au développement durable a publié un texte pour rappeler les enjeux en terme d’impact environnemental de cette annonce.
Alors que le gouvernement entend relancer l'industrie française, le CGDD publie un état des lieux des impacts environnementaux liés aux activités industrielles. Secteur par secteur, il permet de souligner les points noirs et les progrès réalisés.
Dans un rapport intitulé "chiffres clés du transport" de 2014, le Commissariat général au développement durable (CGDD) du ministère de l'Ecologie s'est intéressé aux émissions de gaz à effet de serre (GES) causées par le secteur des transports. L'importance des émissions y est détaillée en fonction du moyen de transport.
Le prix des énergies fossiles va augmenter du fait de l'entrée en vigueur de la contribution climat énergie. Le Comité pour la fiscalité écologique propose des pistes pour limiter cette hausse pour les ménages.
Le Commissariat général du développement durable (CGDD) a publié une plaquette « Tour d’horizon sur l’éco-conception des produits ». Les réductions d’impacts environnementaux seraient comprises entre 10 et 40%.
Dans une plaquette parue le 29 novembre, le Commissariat général au développement durable (CGDD) fait le tour d'horizon des produits éco-conçus intégrant la protection de l'environnement tout au long de leur cycle de vie (extraction des matières premières, production, distribution, utilisation et fin de vie). La démarche d'éco-conception est aujourd'hui mise en œuvre "à des degrés divers et avec une grande variété d'outils dans de très nombreux secteurs" comme l'électronique, l'automobile, l'aéronautique, les produits d'équipement (électro-ménager, ameublement, éclairage, décoration…) et la plupart des produits de grande consommation (alimentaire, produits d'entretien, hygiène, beauté, etc), liste le CGDD. Il souligne toutefois la difficulté d'établir des statistiques pour rendre compte de son degré de diffusion dans tel ou tel secteur.
A elle seule, la facture des « asthmes environnementaux » s'élève au minimum à 335 millions d'euros par an.
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Alors que la précarité énergétique progresse en France, une étude du Commissariat général au développement durable (CGDD) s'est intéressée à une analyse de la situation en la mettant en perspective avec des données liées aux difficultés relatives aux coûts des transports. Le CGDD a ainsi étendu la notion de précarité énergétique aux déplacements en voiture pour se rendre au travail, réaliser des achats ou bénéficier de certains services. "Certains ménages se trouvent face à un choix difficile : renoncer à d'autres dépenses pour se chauffer correctement ou se déplacer ou, au contraire, se résigner à avoir froid ou à se déplacer moins", explique-t-il.