La possibilité de stocker du CO2 dans des couches très profondes du sous-sol wallon a été approuvée à l’unanimité mardi en commission du parlement wallon, même si la perspective de recourir à ce procédé de gestion des gaz à effet de serre (GES) reste très hypothétique vu l’absence de nécessité immédiate et les contraintes en tous genres.
Le stockage du dioxyde de carbone serait lui-même très énergivore, et ses capacités incertaines. Il entrerait en outre en concurrence avec la nécessité de préserver des réserves stratégiques de houille ou de grisou en cas de crise énergétique, mais aussi avec le développement de la géothermie profonde.