Les maîtres d'ouvrage de la LGV se sont engagés dans un respect strict de l'environnement, éviter de détruire des zones sauvages, respecter un cadre de vie d'espèces, un travail sur l'acoustique. De Tours à Bordeaux, les entreprises ont réalisé les travaux sous ces contraintes environnementales.
Depuis 2006, une loi contraint tous les travaux au respect de l'environnement. Le chantier de la LGV ne pouvait pas déroger à cette obligation, d'autant que sur le tracé entre Tours et Bordeaux, quatre bassins versants sont traversés. Il a fallu aux ingénieurs réfléchir à l'impact de ces aménagements sur ces sites sensibles aussi bien au niveau de l'eau que concernant les espèces protégées.