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Mesurer la performance environnementale, sociale et de gouvernance (ESG) de l’entreprise par des indicateurs, c’est le but du reporting extra-financier. C’est un pas de plus vers la transparence. Mais la profusion des données collectées peut vite transformer l’exercice en usine à gaz. Les petites et moyennes entreprises en font l’amère expérience. Il est nécessaire de trouver des indicateurs plus pertinents. Quelques entreprises pionnières se sont lancées sur cette piste.
Cette étude est donc destinée à améliorer le reporting des entreprises sur le sujet de la biodiversité. Elle commence par clarifier le sens des expressions « reporting biodiversité » et « indicateurs de biodiversité ». Dans un second temps, elle dresse de manière exhaustive la liste des dispositions juridiques que les entreprises françaises doivent appliquer en matière de communication d’informations relatives à la biodiversité. L’étude rappelle ensuite les principaux travaux de reporting réalisés à diverses échelles sur le sujet de la biodiversité et les préconisations adressées aux entreprises par certains référentiels internationaux et nationaux. Enfin, dans la dernière partie, l’UICN France fournit des recommandations pour rédiger un reporting biodiversité de qualité. Applicables quel que soit le pays, le contexte juridique et le secteur d’activité, elles portent à la fois sur le périmètre des documents de reporting biodiversité et sur les sujets qu’il convient de traiter.
Les PME représentent plus de 90 % des entreprises du monde entier et en moyenne, représentent 50 % du produit intérieur brut (PIB) des pays et 60 % de leur capacité d’emploi. Le GLOBAL REPORTING INITIATIVE (GRI) vient de publier une brochure destinée aux PME pour les aider à faire leur reporting en matière de développement durable. Ce guide fournit une introduction simple à l’information sur le développement durable (en utilisant les lignes directrices de la GRI G4) afin d’aider les PME à mettre en oeuvre les premières étapes de leur voyage vers la durabilité. article du blog : blog-materiality-reporting.com
À l'heure où les entreprises publient leur rapports de développement durable, retour sur les matrices de matérialité, outils qui permettent de hiérarchiser les enjeux RSE.
2 500 entreprises européennes publient un rapport développement durable de manière volontaire en Europe. Le Parlement européen a adopté, le 15 Avril 2014, la directive sur la publication d’informations extra-financières et d’informations relatives à la diversité par certaines grandes sociétés et certains groupes. Les nouvelles règles s’appliqueront seulement à certaines grandes entreprises avec plus de 500 salariés.
Les entreprises cotées de plus de 500 salariés ont désormais l’obligation d’intégrer des informations environnementales et sociales dans leurs rapports financiers. C’est la conséquence de la mise en place d’un nouveau dispositif, adopté le 15 avril par le Parlement européen. 6 000 compagnies devront dorénavant aborder des sujets concernant leurs employés, les droits humains ou la corruption. 3 000 d’entre elles le font déjà sur une base volontaire. En France, une obligation de cette nature est en vigueur depuis 13 ans.
Selon le dernier baromètre du cabinet BDO et Malakoff Médéric, seules 40 % des entreprises de taille moyenne ont mis en place un reporting RSE. Une obligation qui va pourtant se poser à 2 000 entreprises françaises dès 2016.
La parution de l'arrêté interministériel déterminant les modalités dans lesquelles l'organisme tiers indépendant conduit sa mission, en juin dernier, n'a pas permis de cerner tout à fait précisément les contours de la mission de vérification. Or c'est un point majeur de la loi Grenelle 2, en particulier pour les sociétés cotées qui ont mis en place un reporting sérieux mais qui n'ont pas encore testé sa fiabilité. Découvrez nos recommandations et la position des différents acteurs.Avant toute chose, il faut préciser que l'arrêté (que l'on peut retrouver ici) laisse place à interprétation. C'est la raison pour laquelle un groupe de travail, sous l'égide de l'AFNOR, a été mis en place et devra aboutir d'ici septembre 2014 à un compromis autour d'un « Guide méthodologique pour la conduite des missions de vérification ». Rien de surprenant donc à ce que plusieurs divergences ne soient pas encore traitées. On peut toutefois s'étonner que le débat se soit intensifié ces dernières semaines, alors que la plupart des grands groupes ont déterminé et négocié la mission de vérification avec les organismes tiers indépendant entre décembre et janvier. Un peu tard pour mettre à plat les termes du débat. De fait, les commissaires aux comptes, soucieux de protéger leur responsabilité et avantagés par le fait d'être déjà dans la place, ont pu inciter les entreprises à mener une vérification approfondie.
Selon une étude récemment publiée par KPMG, 73 des 100 plus grandes entreprises indiennes sont engagées en faveur du reporting extra-financier avec 45 d’entre elles utilisant des référentiels et 31% publiant un rapport spécifique en matière de développement durable. Le Global Reporting Initiative (GRI) est le cadre de reporting le plus utilisé par 64% des 100 premières entreprises indiennes.
a transparence en matière de reporting extra-financier doit nécessairement s’accompagner de la présentation des éléments méthodologiques et d’informations qualitatifs et quantitatifs. Plusieurs référentiels apportent un cadre pour mettre en œuvre un processus de reporting pour les informations économiques, sociales, sociétales et environnementales des organisations.
Les réseaux sociaux sont un formidable outil pour améliorer la transparence et l’engagement des parties prenantes dans les rapports Développement Durable.
Schneider Electric, spécialiste français à dimension mondiale dans la gestion de l’énergie, répond à nos questions sur le thème de la sensibilisation des parties prenantes et du reporting RSE.
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Il y a quelques semaines, le Parlement Européen votait une nouvelle directive sur le reporting extra-financier, obligeant les entreprises européennes cotées en Bourse de plus de 500 employés de rendre des comptes sur des thématiques Développement Durable, comme l'environnement, les enjeux sociaux, la lutte contre la corruption ou les droits de l'homme. C'est un message extrêmement positif pour le monde du reporting et pour l'avancée de pratiques d'entreprises plus vertueuses et plus transparentes au sein de l'Europe. Cette régulation s'inspire et renforce notre propre réglementation nationale : en effet, les entreprises françaises de plus de 500 salariés étaient déjà soumises à des obligations similaires de par l'Article 225 de la loi Grenelle II.
Au plan international, les entreprises n'ont quasiment aucune obligation de reporting en matière de biodiversité. Lorsque des Etats en imposent, comme en France, de nombreuses échappatoires permettent aux entreprises de rester silencieuses.
Plusieurs études récentes[1] montrent que peu seulement 20 à 40 % des PME françaises ont déjà mises en œuvre une politique RSE (Responsabilité Sociale et Environnementale). Face à ce constat, l’éditeur Enablon, spécialiste du sujet auprès des grands comptes, a créé la filiale Wizness pour adresser ces petites structures.
L’International Integrated Reporting Council (IIRC) vient de publier son cadre de référence en français. IIRC est une coalition mondiale regroupant des entreprises, des investisseurs, des autorités de réglementation, des instances de normalisation, des représentants de la profession comptable et des ONG. Tous ces acteurs sont convaincus que le reporting des entreprises doit évoluer vers une communication sur la création de valeur. Elaboré pour répondre à cette nécessité, le Cadre de référence international structure ainsi un socle commun de principes directeurs, de concepts clés et d’éléments constitutifs du Rapport Intégré.
La RSE ne doit pas être enfermée dans un comité spécialisé : retrouvez l'actualité financière avec le quotidien des professionnels de la finance : L'AGEFI.
CERES* en collaboration avec BlackRock et d’autres grands investisseurs institutionnels ainsi qu’avec le support de la World Federation of Exchanges (WFE) lancent une initiative visant à engager les places boursières mondiales à adopter une norme commune de reporting des entreprises intégrant les critères ESG. Plus de 100 investisseurs institutionnels issus de six continents ont contribué à la proposition de cette norme. Cette proposition sera officiellement présentée aux membres de la WFE très prochainement et une période de consultation et d’échanges s’étalera sur plusieurs mois.
Ozact, c'est le nom du service que l'agence Synergence propose aux entreprises pour booster leur politique environnementale. McDonald's l'a étrenné.
Dans le cadre de la directive de la Commission européenne en faveur du reporting extra-financier publiée en avril 2013, un accord vient d’être conclu le 26 février 2014 concernant les entreprises européennes de plus de 500 employés. 6.000 entreprises sont concernées par cette directive. Elles seront tenues d’intégrer des informations non financières dans leur rapports de gestion et de reporter sur les impacts environnementaux et sociaux et également sur le respect des droits de l’Homme et des efforts pour la lutte contre la corruption. La proposition prévoit également que les grandes entreprises, cotées devront publier des informations sur la politique de diversité de leur Conseil d’Administration en ce qui concerne l’âge, le sexe, l’origine ethnique et le parcours éducatif et professionnel de leurs membres.
Selon le rapport publié par Grant Thornton et Financial Executives Research Foundation, les dirigeants financiers ne sont pas aussi impliqués qu'ils devraient l'être dans ce type de reporting même si la participation de la fonction finance peut ajouter de la crédibilité et de la confiance dans la mesure, la collecte de données et les processus d'analyse.
GRI et ISO viennent de publier une table de correspondance entre les lignes directrices de reporting GRI-G4 et la norme de responsabilité sociétale ISO 26000 publiée en 2010. GRI a participé activement à la définition de la norme internationale ISO 26000.
e REPORTING EXTRA-FINANCIER est une réelle préoccupation au regard du nombre de publications, de discussions et de réunions sur le sujet. MATERIALITY-Reporting a réalisé un travail de synthèse des informations sur le sujet du reporting. Il est le résultat d’un approfondissement et d’une analyse d’études à la fois françaises et étrangères.
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La première étape vers la clarification du reporting extra-financier est la construction d’indicateurs pertinents. Les nouveaux dispositifs français et européen y contribuent en demandant aux entreprises de cibler des indicateurs phares et d’expliquer en quoi ils sont cruciaux pour leur métier. Ils ouvrent aussi la voie vers le reporting intégré, qui consiste à mêler les données financières et extra-financières clefs pour expliquer comment l’entreprise crée de la valeur.