Convertir les rayons du soleil en électricité n'est pas compliqué, mais le faire de manière efficace à grande échelle constitue certainement l'une des raisons pour lesquelles les gens restent encore reliés au réseau électrique et non à un réseau national de cellules solaires.
L'équipe a utilisé un piège à lumière basé sur une technique de nano-impression où un timbre polymère gaufre mécaniquement le modèle (nano-échelle) à la cellule solaire sans que cela implique d'étapes complexes de lithographie. "Cette approche nous a conduit à réaliser des recherches dans la conception idéale en vue d'une fabrication de masse", a précisé le professeur adjoint Debashis Chanda à l'UCF, chercheur principal de l'étude.