Dans le cadre de sa politique de déplacements, la Mairie de Paris a demandé à Airparif d’évaluer l’évolution de la qualité de l'air dans la capitale entre 2002 et 2012. Cette étude confirme une tendance générale à la baisse depuis 10 ans, comme dans toute l’Ile-de-France, ralentie néanmoins par la diésélisation du parc automobile.
Au total, avec l’ensemble de ces actions, la baisse des rejets de polluants (émissions) a été d’une trentaine de pourcents pour les oxydes d’azote et les particules en dix ans sur Paris. Mais elle aurait été plus importante sans la diésélisation du parc automobile.