Parmi les mesures annoncées par le gouvernement pour réduire les volumes de déchets, figure la création d’un "indice de réparabilité" des produits de consommation courante. A rebours du "tout jetable", une économie du solide et du durable est de retour.
Ces deux exemples montrent bien le succès grandissant de tout un secteur de la réparation/ récupération. Selon l'Ademe, 100 millions de biens sont échangés tous les ans sur les sites et plateformes en ligne et le secteur de l'occasion pèse six milliards d'euros (hors automobile). C'est tout ce dynamisme qu'il faut désormais conforter pour entrer dans une économie vraiment circulaire.