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D'ici 2020, le Maroc devrait atteindre son objectif de 42% d'énergies renouvelables dans le mix énergétique, a déclaré le président de l'Agence marocaine de l'énergie solaire (Masen), Mustapha Bakkoury lors d'un point de presse.
Le gouvernement algérien est plus que jamais déterminé à instaurer une véritable industrie nationale des énergies renouvelables. Selon la ministre de l'Environnement et des énergies renouvelables, Fatma Zohra Zerouati, cette industrie devrait participer à hauteur de 27% dans le mix énergétique d'ici à l'horizon 2035. En attendant, le pays exige une intégration nationale dans les projets et non des projets «clés en main».
Cette semaine, le Parlement européen a approuvé les propositions de la commission parlementaire visant à fixer des objectifs contraignants au niveau de l'UE, à savoir une amélioration de 35% de l'efficacité énergétique, une part de 35% de l'énergie produit
La part des énergies renouvelables dans le mix électrique national a atteint 34% à fin 2017, a affirmé vendredi le président du directoire de l’Agence marocaine pour l’énergie durable (MASEN), Mustapha Bakkoury, rappelant que le Maroc s’était fixé comme objectif de porter la contribution de ces énergies à 42% du mix énergétique national en 2020 et à 52% en 2030.
Dr Arkadiusz Sekściński, vice-président de l'Association polonaise de l'énergie éolienne (PSEW), évoque la mutation énergétique de la Pologne qui doit réduire sa part des énergies fossiles. Il aborde les contributions possibles de l'éolien en Pologne.
Un collectif de 12 dirigeants de PME (G12) faisant la promotion de la place de l'électricité photovoltaïque dans le futur mix énergétique français, a apporté son soutien le gouvernement de porter à 32% la part d'énergies renouvelables de la consommation en 2030 et de faire voter le projet de loi dans les meilleurs délais.
Douze dirigeants de PME industrielles françaises** innovantes dans le domaine de l'énergie solaire se sont regroupés afin d'informer sur la filière du photovoltaïque et de promouvoir sa place dans le futur mix électrique français.
La réunion sur le climat, organisée à Abou Dhabi, Emirats Arabes Unis, a été l’occasion pour le Secrétaire général des Nations-Unies, Ban Ki-moon, de plaider une nouvelle fois pour des mesures ambitieuses sur le climat : il demande à tous les pays du monde d’agir rapidement pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et enrayer le réchauffement climatique.
12% des réserves mondiales d’eau douce, une électricité produite aux ¾ quarts grâce aux barrages hydrauliques. On pourrait croire que le Brésil, si généreusement doté sur le plan des ressources naturelles, n’a pas de difficultés à alimenter ses habitants en électricité. Dans les faits tout n’est pas aussi simple : victime d’une sécheresse historique, le Brésil est actuellement sérieusement menacé de pénurie d’électricité. A la lumière de cet événement particulièrement traumatisant à l’approche de la Coupe du monde, on comprend mieux pourquoi le pays cherche à diversifier son mix énergétique.
La France souhaite passer de 13 à 20 % de renouvelables dans son mix énergétique. La facture risque d'être salée. Les investissements nécessaires seront colossaux : une dizaine de milliards d'euros par an.
Bien que le mix énergétique ne soit pas abordé, le volet énergie de la future LPTE, est particulièrement dense. Des mécanismes de soutien aux EnR, au démantèlement des INB, en passant par l'efficacité énergétique, de nombreux thèmes sont évoqués.
Dans un document lançant la consultation auprès des différents acteurs et parties prenantes, le gouvernement expose ses options pour revoir les mécanismes de soutien aux énergies renouvelables. Actuellement, tout passe essentiellement par des obligations d'achat à des tarifs fixes. L'évolution du mix énergétique rebat les cartes.
La transition énergétique allemande ou Energiewende est à l’œuvre depuis 2010. L’objectif pour 2050, 80% d’électricité renouvelable et une réduction des émissions de gaz à effet de serre de 80 à 95%.
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La politique des pouvoirs publics mise sur l'intégration nationale pour l'instauration d'une industrie nationale des énergies renouvelables, permettant au pays d'atteindre son objectif de produire 27 % de son mixte énergétique à partir de ces énergies d'ici 2040, a indiqué dimanche à Alger, la ministre de l'Environnement et des Energies renouvelables, Fatma Zohra Zerouati, rapporte l'APS.
Le président de l’Agence marocaine de l’énergie solaire, Mustapha Bakkoury, a fait le point, le 16 février, sur la mise en oeuvre des chantiers de la stratégie nationale de développement des énergies renouvelables dans le royaume
La contribution du gaz naturel dans le mix énergétique reste incontournable, représentant pas moins de 40% à l'horizon 2030.
Le Japon se fixerait comme nouvel objectif de réduire ses émissions de gaz à effet de serre de environ 26% d'ici 2030 par rapport aux émissions de 2005. Ce chiffre, ayant fait débat entre les ministères de l'environnement [1] et le METI [2], serait un compromis entre leurs demandes : l'un souhaiterait voir l'objectif placé à 30% de réduction en évoquant la responsabilité envers la communauté internationale tandis que l'autre désirerait qu'il soit placé sous les 20%, s'inquiétant des possibles conséquences négatives sur l'économie d'une trop forte réduction.
Pour la première fois, les énergies renouvelables pourraient devenir cette année la source principale de la production d'électricité en Allemagne : au cours des neuf premiers mois, il a été produit plus d'électricité par des énergies renouvelables que par le lignite. Les énergies éolienne, solaire, hydroélectrique et la bioénergie occupent déjà une part totale de 27,7 pour cent de l'électricité consommée, selon Agora Energiewende, une plate-forme de réflexion et d'échange.
Ils sont au cœur de la réflexion sur la ville intelligente. Les Smart Grids doivent permettre de mieux gérer l’énergie en ville. Que faut-il savoir avant de se lancer ? Quelles sont les étapes à respecter ? Les agglomérations françaises sont-elles prêtes ? Les réponses de nos experts dans cette nouvelle émission de la chaîne Smart City.
Pour la première fois, les énergies renouvelables ont dominé en 2013 les sources de production d'électricité en Europe, dans un contexte difficile pour les électriciens, selon une étude publiée mardi par le cabinet Enerdata.
La France souhaite passer de 13 à 20 % de renouvelables dans son mix énergétique. La facture risque d'être salée. Les investissements nécessaires seront colossaux : une dizaine de milliards d'euros par an.
Le mix énergétique intègre plus d'énergie renouvelable. Les relais d'activité sont dans les services de diagnostic et d'efficacité.
A l'heure où le développement des EnR suscite de nombreuses critiques, l'Agence internationale de l'énergie estime qu'il est possible d'intégrer une production importante d'énergies variables à coût maîtrisé, en adaptant le système électrique.
Si nous cherchons dans l’UE un exemple de réussite en matière de politique énergétique efficace pour le climat, de nombreux acteurs vont suggérer inévitablement le Danemark. Or, une analyse qui n’a pas besoin d’être très approfondie, montre qu’il s’agit au contraire d’un contre-exemple. Le Danemark est un pays dont le mix énergétique repose encore, aux deux-tiers, sur les énergies fossiles, et qui, malgré sa vitrine éolienne, produit 60 % de son électricité à base de charbon, de gaz ou de fioul. En conséquence, un danois, dans sa lutte pour la préservation de l’environnement, émet, par an, une tonne de plus de CO2 qu’un polonais, pourtant déjà très haut dans le classement, à peine moins qu’un allemand et surtout 50 % de plus qu’un français ! Très logiquement, nous avons donc recherché dans l’Union [1] un véritable exemple performant de stratégie bas-carbone, et le choix de la Suède s’est avéré le plus incontestable, tant sa réussite est d’ores-et-déjà avérée.
Le stockage de l’énergie est un atout essentiel pour réussir l’introduction des énergies intermittentes dans le mix énergétique, sécuriser et stabiliser le réseau, mais aussi pour satisfaire des besoins énergétiques nomades comme la mobilité. C’est donc un défi à relever pour atteindre les objectifs de politique énergétique que se sont fixés la France et l’Europe pour 2050.
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