En essayant de proposer un cadre qui favorise le libre-échange, l’Union européenne se heurte à certains dossiers liés à l’environnement. L’exploitation du gaz de schiste, les ressources hydrauliques ou les tarifs d’achat de l’énergie soulignent la primeur des Etats sur les marchés.
En la matière, la Responsabilité sociale des entreprises a évidemment son mot à dire mais l’absence d’un cadre coercitif interroge sur la possibilité de compenser l’absence d’intervention de l’Etat. Notons qu’un cadre rigoureux pour favoriser la RSE irait contre les principes sacrés du libre marché. Sans conteste, c’est l’heure d’un choix des priorités, il doit se faire loin du dogmatisme.