Une nouvelle fois, la Nature a encore frappé et démontré qu’elle faisait toujours ce qu’elle voulait. Mais les forces naturelles ne sont pas seules responsables car les conséquences de ces intempéries historiques sont en majeure partie imputables à l’humain. En effet, ces phénomènes extrêmes dont la fréquence s’accentue probablement avec le réchauffement climatique, voient leurs effets amplifiés par l’artificialisation et l’érosion des sols ainsi que l’accroissement démographique continue depuis près de 30 ans sur cet arc méditerranéen. De plus les politiques de prévention très contraignantes pour l’urbanisme et le développement local sont peu appliquées voire contournées compte tenu de la pression immobilière induite par l’immigration massive dans cette région.
Les rapporteurs estiment que les mesures prises sont trop souvent postérieures aux catastrophes et que la prévention doit être favorisée.