Des chercheurs de l’EPFL et du Technion ont débusqué les nanostructures « championnes » qui permettront de produire de l’hydrogène de façon écologique et à bas prix, simplement à partir de la lumière du jour.
Get Started for FREE
Sign up with Facebook Sign up with X
I don't have a Facebook or a X account
Your new post is loading...
Your new post is loading...
|
La revue Nature Materials publie en effet cette semaine un article qui fera date. Les chercheurs, basés à l’EPFL et collaborant avec des collèges du Technion (Israël), sont parvenus à caractériser précisément les nanostructures d’oxyde de fer qui permettront de fabriquer de l’hydrogène au coût le plus faible. «Tout l’intérêt de notre démarche est de recourir à un matériau particulièrement abondant, stable et bon marché – la rouille », précise Michael Grätzel.