Ségolène Royal a signé le nouvel arrêté tarifaire éolien censé assurer les mêmes conditions de rentabilité pour les nouveaux projets. Les opposants envisagent toutefois de nouveaux recours.
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La fédération d'associations anti-éolien Vent de colère, à l'origine de cette annulation, a annoncé le 2 juin que si le nouveau texte repose sur les mêmes règles, "il subira les mêmes critiques et devrait encourir la même censure". La fédération attire notamment l'attention de la ministre sur le rapport de la CRE du 17 avril selon lequel "l'obligation d'achat au bénéfice des opérateurs éoliens a conduit à d'importantes surcompensations, et ce, depuis 2001".
D'autre part, souligne Vent de colère, les nouvelles lignes directrices de la Commission relatives aux aides d'Etat prévoient plus de transparence, facilitent la correction des surcompensations et modifient profondément les modalités d'implantation des sites industriels éoliens. "Un nouveau décret (sic) ne peut les ignorer", prévient la fédération.