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Mobilisées pendant la COP21, les entreprises françaises veulent désormais obtenir des garanties quant aux objectifs de lutte contre le changement climatique fixés par l’Accord de Paris. Elles redoutent notamment de perdre en compétitivité si elles devaient être seules à s’engager.
Aujourd’hui, toute grande entreprise veut "en être". Mais "faire" de la RSE (Responsabilité Sociale des Entreprises) n’est pas qu’un concept moral, il repose sur des pratiques concrètes et vise un changement de gestion qui met en avant les préoccupations en matière sociale et environnementale apte à profiter à tous, de l’investisseur au consommateur. Pour en finir avec les expressions qui desservent plus qu’elles ne portent la RSE, voici un top 5 des idées reçues.
Pour remédier au problème de rechargement des véhicules électriques, le projet Telewatt, piloté par le groupe Citelum, propose d’utiliser le réseau d’éclairage public, au moyen d’un ensemble de prises de recharge intelligentes. Le projet doit être expérimenté à compter du 1er octobre 2014 à Aix-en-Provence.
Les entreprises sont au premier rang pour supporter les risques et trouver les réponses aux défis de l’adaptation. En effet, la plupart seront affectées dans leurs activités à un titre ou un autre, que ce soit directement, par la vulnérabilité de leurs fournisseurs, ou à travers celle de leurs clients. Cela dit, les entreprises, habituées à évoluer et à s’adapter à un contexte économique, social et politique en perpétuel mouvement, sont aussi les plus à même de trouver et de diffuser les solutions techniques et organisationnelles appropriées. Elles ont d’ailleurs pour beaucoup commencé à analyser ces risques et opportunités et à préparer des réponses.
Il y a quelques semaines, le Parlement Européen votait une nouvelle directive sur le reporting extra-financier, obligeant les entreprises européennes cotées en Bourse de plus de 500 employés de rendre des comptes sur des thématiques Développement Durable, comme l'environnement, les enjeux sociaux, la lutte contre la corruption ou les droits de l'homme. C'est un message extrêmement positif pour le monde du reporting et pour l'avancée de pratiques d'entreprises plus vertueuses et plus transparentes au sein de l'Europe. Cette régulation s'inspire et renforce notre propre réglementation nationale : en effet, les entreprises françaises de plus de 500 salariés étaient déjà soumises à des obligations similaires de par l'Article 225 de la loi Grenelle II.
Un baromètre réalisé par le cabinet BDO et le groupe Malakoff Médéric montre que plus des deux tiers des entreprises sont freinées dans la démarche RSE à cause du flou sur le retour sur investissement. Le manque de ressources et la vision stratégique arrivent ensuite.
Du soutien financier pour l’éco-conception, une économie responsable de l’environnement : à vos projets ! L'Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie (l’ADEME) soutient l’éco-conception, une démarche rentable qui inspire l’innovation.
Un réchauffement atteignant entre 2 et 4,8 °C, d’ici à 2100, une montée du niveau de la mer jusqu’à un mètre au niveau mondial, une répétition d’événements extrêmes : telles sont les prévisions mondiales du Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (GIEC). Tous les secteurs économiques seront affectés par le changement climatique, et dans la plupart des cas de façon négative. Les entreprises vont devoir l’intégrer dans leur stratégie.
L’avertissement du GIEC, lancé la semaine dernière, doit résonner aux oreilles des entreprises. Plusieurs d’entre elles observent déjà les effets du changement climatique sur leur métier et ont déjà décidé de mettre en place une stratégie d’adaptation afin d’assurer leur avenir. Mais l’inertie reste forte au sein de l’immense majorité des acteurs économiques.
Des coûts que vous ne connaissez pas Votre facture de gestion des déchets représente moins de 7 % du coût complet de vos déchets. (Source : étude ADEME « 10 €ntreprises témoins calculent le coût complet de leurs déchets »)
Dans le domaine des économies de ressources, l’on pense bien souvent aux grosses industries. Pourtant, comme l’a rappelé fin février la Commission européenne, c’est surtout en agissant sur les petites et moyennes structures que des progrès peuvent être enregistrés.
Notre société actuelle est aujourd’hui indéniablement confrontée à des crises multiples : le modèle économique atteint ses limites, la crise écologique est plus que jamais présente et nous le rappelle tous les jours au vu des catastrophes de par le monde et de la pénurie qui s’annonce… de toute façon, si on suit les courbes actuelles, nous allons dans le rouge…
Via François GARREAU
Pour accompagner le référentiel régional partagé pour la RSE en Pays de la Loire, deux outils opérationnels et modulables sont mis à votre disposition : - Un outil d’auto-évaluation flash qui permet en quelques minutes d’évaluer les actions de votre entreprise sur les 15 principes d’actions prioritaires et 10 principes d’actions avancées et de visualiser ses axes de progrès.
- Un outil plan d’actions qui permet de formaliser les objectifs de votre entreprise en matière de RSE, de définir des actions à engager et les personnes responsables de leur mise en œuvre et de suivre leur avancement, afin de s’inscrire dans une démarche d’amélioration continue.
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pt mois après l’adoption de l’Accord de Paris, la donne a-t-elle vraiment changé pour les entreprises ? En amont de la COP21 et pendant l’évènement, elles ont été nombreuses à afficher leur engagement en matière de lutte contre le changement climatique. Mais quid de la mise en œuvre ? Farid Baddache, directeur général du réseau BSR pour l’Europe, l’Afrique et le Moyen Orient, dresse le panorama des avancées et des freins qui restent à lever.
Perçue comme une des pistes de mise en place de la transition écologique, l’économie partagée peut aussi avoir des effets néfastes sur l’environnement. Une étude publiée par l’Institut de recherche sur les politiques publiques (Iddri) montre que ces nouvelles pratiques peuvent amener à l’hyperconsommation et ne garantissent pas la production de produits durables.
L'association EpE (entreprises pour l'environnement) a publié en partenariat avec l'Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique (Onerc) un guide sur les entreprises et le changement climatique. EpE précise : "Cette publication (…) est destinée aux entreprises, petites et grandes, qui souhaitent intégrer au mieux la problématique de l'adaptation [au changement climatique] au coeur de leur stratégie".
Vous êtes-vous déjà demandé si l’argent que vous dépensiez desservait les causes que vous défendez ? C’est à cette question qu’un informaticien américain de 26 ans, Ivan Pardo, a tenté de répondre. En un peu plus d’un an, le jeune programmateur et son équipe ont conçu Buycott, une application pour smartphone qui répertorie les pratiques des sociétés agroalimentaires, afin de permettre aux ménages de faire des choix responsable en termes de consommation.
Dans une tribune publiée sur Le Cercle des Echos, Pierre-Samuel Guedj, président d’un cabinet de conseil spécialisé dans la responsabilité, s’interroge sur les risques d’une RSE basée sur la peur de la justice. La question est fondamentale, pour favoriser la responsabilité faut-il favoriser l’engagement ou mettre en place un cadre coercitif ?
Le dernier rapport du Giec sur le réchauffement climatique a souligné une fois encore l'urgence d'une problématique planétaire, nécessitant des actions correctives immédiates. Conférences sur le climat et grand-messes environnementales continuent pourtant invariablement, dans l'indifférence générale, de repousser aux calendes grecques toutes mesures significatives, sous l'éternelle prétexte de ne pas entraver la sortie de crise mondiale. Eddy Fougier, politologue spécialiste de la mondialisation et de l'altermondialisme, chercheur associé à l'IRIS, revient pour RSE Magazine sur les principaux enjeux d'une question qui risque de finir par s'imposer de force dans les agendas internationaux.
Les changements climatiques n’affecteront pas que les pays du Sud. Nos grands réseaux d’énergie, d’eau ou de transport apparaissent de plus en plus vulnérables à la montée des eaux, aux températures extrêmes ou aux chutes de neige. Sans que cela n’inquiète beaucoup les opérateurs ou les services de l’Etat.
Le premier pollueur mondial vient d’annoncer la publication d’une nouvelle législation environnementale. Face à la médiatisation croissante des pics de pollution et des catastrophes écologiques dans le pays, les autorités ont réagi en présentant un nouveau cadre législatif qui doit permettre de sanctionner les industries polluantes et protéger les zones menacées.
B&L Evolution, bureau d’étude spécialiste du développement durable, a publié récemment une étude poussée des stratégies d’entreprise du CAC 40 et particulièrement de leur prise en compte de la biodiversité. Loin d’avoir tous également pris la mesure de l’importance de ce concept, les fleurons de l’économie française ont en commun de sous-estimer assez largement l’intérêt de la biodiversité pour l’activité économique. Sylvain Boucherand, ingénieur chez B&L Evolution commente ce constat.
La sobriété électrique, une simple histoire de gros sous ? Pas seulement ! Afin de respecter la réglementation en matière environnementale, les entreprises investissent de plus en plus pour réduire leur empreinte carbone.
Un décret, publié le 13 mars au Journal officiel, précise le contenu du registre de consignation des alertes en matière de santé publique et d'environnement dans l'entreprise.
Stress, démotivation, dégâts sociaux et environnementaux. L’entreprise va mal. La maximisation des profits pour l’actionnaire a atteint ses limites.
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