Développement Durable, RSE et Energies

Le groupe a mis en place en 2004 un outil de gestion de technique centralisé (GTC) pour maîtriser les énergies liées au froid, à l'éclairage, à la climatisation/chauffage, aux fours et aux rôtissoires. Autres initiatives pour améliorer sa performance énergétique : la fermeture des meubles surgelés et réfrigérés, l'installation d'éclairage basse consommation ou la récupération de chaleur.

Le mécanisme des certificats d'économies d'énergie oblige les fournisseurs d'énergie à choisir des actions à mener (prime à l'achat d'un équipement, diagnostic gratuit...) en contrepartie de « certificats d'économies d'énergie » (CEE).
Après 54 térawattheures (TWh) en 2006-2009, l'objectif global avait été fixé à 345 TWh en 2011-2013. Il passe à 660 TWh sur la période 2015-2017. Le coût moyen unitaire par kilowattheure économisé est de 0,4 centime d'euro, « limité par rapport au coût de production de l'énergie économisée », soulignait la Cour des comptes cet automne.
Outre des économies difficiles à mesurer, l'impact reste délicat à isoler parmi les dispositifs d'incitation aux économies d'énergie.