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Au coeur de l'Agenda 2030, 17 Objectifs de développement durable ont été fixés. Ils couvrent l'intégralité des enjeux de développement dans tous les pays tels que le climat, la biodiversité, l'énergie, l'eau, la pauvreté, l'égalité des genres, la prospérité économique ou encore la paix, l'agriculture, l'éducation, etc.
Responsabilité sociétale de l’entreprise (RSE) et développement durable (DD) sont dorénavant des périmètres contribuant pleinement à la stratégie des activités de l’entreprise. Bien que quelques-uns demeurent encore empreints de vernissage vert, la majorité des sociétés considère ces deux axes comme des composantes essentielles au sein des communautés où elles sont implantées. Pour la 2ème fois, l’Institut de la Qualité de l’Expression a analysé comment ces leviers sont racontés en passant au crible la sémantique de 10 entreprises particulièrement engagées.
Adoptés en 2015, les objectifs de développement durables (ODD) sont devenus des enjeux clés pour les entreprises en matière de RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises). Si le but est bien d’assurer une croissance soutenable et inclusive pour l’ensemble de la population et de la planète, les entreprises ont aussi tout intérêt à les prendre en compte, économiquement parlant.
L'organisation internationale de normalisation (ISO) a publié le 15 juillet une nouvelle norme : l'ISO 37101, Développement durable des communautés - Système de management pour le développement durable - Exigences et lignes directrices pour son utilisation.
En septembre 2015, l’Assemblée générale des Nations Unies adoptera les futurs Objectifs de développement durable (ODD), destinés à remplacer les huit Objectifs du millénaire pour le développement (OMD). Un programme plus qu’ambitieux pour rendre la planète durable et équitable avant 2030. Décryptage.
Le groupe Michelin, dont le siège se trouve à Clermont-Ferrand, est classé « Industry best » dans la catégorie management de l’innovation et dans 5 autres catégories liées au développement durable.
Impact social et rendement financier ne sont pas incompatibles. Au-delà du consensus sur les principes, encore faut-il faire se rencontrer projets et investisseurs.
Des banques, de grandes entreprises pétrolières ou d’énergie, des distributeurs… Chaque année, les prix Pinocchio décernés par les Amis de la Terre, dont les nommés pour l’édition 2014 ont été révélés ce jeudi, n’hésitent pas à s’attaquer à de grandes firmes pour «illustrer et dénoncer leurs impacts négatifs, en totale contradiction avec le concept de développement durable qu'elles utilisent abondamment». Autrement dit, les internautes élisent les lauréats du «greenwashing», un terme inventé il y a quelques années pour désigner les argumentaires écologiques destinés à faire vendre des produits qui ne le sont pas toujours. Mais aujourd’hui, les entreprises sont devenues plus prudentes, estime Mathieu Jahnich, expert en communication des sciences et de l’environnement et fondateur du cabinet Sircome.
La Chambre de commerce et d'industrie du pays d'Arles organise, aujourd'hui et demain, en partenariat avec son homologue marseillaise, le congrès national des CCI dédié au développement durable. Avec pour thème l'économie circulaire. Un sujet de plus en plus porteur. Entre les ateliers et conférences, la CCI d'Arles a convié l'astrophysicien franco-canadien Hubert Reeves comme "grand témoin". À 82 ans, celui que la France a découvert lors des fameuses "Nuits des étoiles" reste un militant infatigable de la cause environnementale.
Le Conseil de l'Union européenne a adopté le 29 septembre le projet de directive sur le reporting extra-financier des grandes entreprises, présenté en avril 2013 par la Commission européenne. Lors d'une session du Conseil des affaires générales, il a formellement approuvé l'accord obtenu le 26 février 2014 entre le Parlement européen et le Conseil.
Vincent Aurez expose les difficultés que l'on peut rencontrer dans le cadre de la définition d'indicateurs de développement durable ou d'économie circulaire. Afin d'expliquer cela, il met en avant plusieurs facteurs: diversité et dynamiques socio-culturelles, complexité des écosystèmes, effets rebonds, etc.
La forte croissance de la population et sa concentration dans les zones urbaines va entraîner une très forte augmentation de la demande en matières premières. L’accès aux ressources naturelles dont les réserves sont limitées va devenir de plus en plus difficile et concurrentiel. La seule demande en eau devrait excéder les réserves disponibles de 40 % dès 2030 [1].
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Responsabilité sociétale de l’entreprise (RSE) et développement durable (DD) sont dorénavant des périmètres contribuant pleinement à la stratégie des activités de l’entreprise. Bien que quelques-uns demeurent encore empreints de vernissage vert, la majorité des sociétés considère ces deux axes comme des composantes essentielles au sein des communautés où elles sont implantées. Pour la 2ème fois, l’Institut de la Qualité de l’Expression a analysé comment ces leviers sont racontés en passant au crible la sémantique de 10 entreprises particulièrement engagées.
Le pays a également décidé que son budget militaire, le deuxième du monde après celui des Etats-Unis, poursuivrait sa croissance avec une hausse de 8,1 % en 2018.
La Tunisie est appelée à produire des données statistiques permettant de mesurer l’état d’avancement du pays dans la réalisation des objectifs de développement durable des Nations Unies à l’horizon 2030, a estimé la présidente du Conseil national de la statistique (CNS) Lamia Zribi.
Le développement durable est une idée abstraite. Par quel enchaînement de mécanismes une telle idée peut-elle avoir un effet sur la gestion de firmes, et ce, au niveau le plus opérationnel ? Cet article décrira tout d’abord cet ensemble de dispositifs en mettant notamment l’accent sur le rôle des méta-organisations. Il s’interrogera ensuite sur la complexité organisationnelle qui en découle.
La responsabilité sociale de l’entreprise et le développement durable sont sources de nouveaux besoins : quelles sont les compétences recherchées et les motivations des profils chassés ?
Les organismes de recherche Climate Analytics, Ecofys and the Pik Potsdam Institute for Climate Impact Research ont comparé les actions de la Chine et des Etats-Unis contre le changement climatique dans les secteurs les plus énergivores : production d'électricité, industrie, bâtiment et transports, et ont évalué le potentiel de réduction des émissions s'ils adoptaient les mesures les plus efficaces de chacun des deux pays, ou celles disponibles au niveau mondial.
ZTE Corporation, le fournisseur mondial d'équipements de télécommunications, de solutions de réseau et d'appareils mobiles, a signé un accord avec Enel, la plus grande compagnie d'électricité en Italie et deuxième groupe en Europe en capacité installée. Cette entente cible le développement et le déploiement de technologies innovantes de production d'énergie, avec un accent mis sur la durabilité de l'environnement et sur l'amélioration de l'efficacité de la distribution.
Les travaux pour la construction d’un parc éolien à Plaine-Sophie devraient débuter à la fin du mois. Le promoteur, le consortium Suzlon-Padgreen, n’attend qu’un permis du Département des Bois et Forêts pour aller de l’avant avec ce projet. Tout porte à croire que ce sera fait d’ici deux semaines. Aussitôt ce permis obtenu, la mairie de Vacoas-Phoenix accordera son autorisation pour le lancement des travaux.
Alors que certains la considéraient il y a peu comme une utopie, l'économie circulaire s'impose aujourd'hui comme une alternative économique efficace et durable, ainsi qu'en témoignent les initiatives qui s'en réclament dans les territoires. En terre du Lauragais et plus largement en Midi-Pyrénées, celles-ci sont nombreuses et attestent de la pérennité des nouveaux modèles permis par l'économie circulaire.
Qu’est-ce que l’économie circulaire ? Quels liens avec l'économie sociale et solidaire (ESS) ? Pour répondre à ces questions, l'Avise et le webzine Say Yess ont réalisé une infographie interactive inédite.
Via la Fabrique Spinoza, Dorize REMY
Un abandon pur et simple du dispositif de reconnaissance des agendas 21 par l'Etat ou une évolution allant dans le sens d'une plus grande exigence : c'est ce que préconise la Cour des comptes dans un référé daté du 9 juillet 2014 sur la politique de promotion des agendas 21 locaux.
Dimanche 21 septembre, à l’appel de nombreuses ONG du monde entier, dont la fondation GoodPlanet, des marches pour le climat sont organisées dans les grandes villes du monde. Ces marches se déroulent en préambule du sommet pour le climat organisée par le secrétaire général des Nations-Unies, Ban Ki-Moon, pour inviter les décideurs à s’engager contre le changement climatique. Lors du sommet, la fondation GoodPlanet offrira à toutes les délégations un livre regroupant 60 exemples d’initatives, 60 exemples de solutions concrètes pour faire face au changement climatique. Le livre, qui sera disponible intégralement et gratuitement sur le site de la fondation s’intitule « 60 solutions ». Voici un extrait (légèrement modifié) de l’introduction de ce livre par notre président, Yann Arthus-Bertrand.
Article d'origine : ici
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En septembre 2015, les 193 États membres de l'ONU ont adopté le programme de développement durable à l'horizon 2030, intitulé Agenda 2030. C'est un agenda pour les populations, pour la planète, pour la prospérité, pour la paix et par les partenariats. Il porte une vision de transformation de notre monde en éradiquant la pauvreté et en assurant sa transition vers un développement durable.