Le prétraitement par désinfection des déchets d'activité de soin à risque infectieux progresse en France, même s'il reste minoritaire. Cette solution de traitement est pourtant plus flexible que l'incinération directe, pour un coût équivalent.
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Si les capacités techniques de traitement sont excédentaires à l'échelle nationale, des disparités fortes existent selon les territoires. Plusieurs régions (Auvergne, Basse-Normandie, Centre, Corse, Haute-Normandie, Martinique, Nord Pas de Calais et Pays de la Loire) affichent une surcapacité de traitement, tandis que d'autres sont en sous capacité (Alsace, Champagne-Ardenne, Franche-Comté, Guyane, Midi-Pyrénées et Poitou-Charentes). La Picardie et le territoire de Saint-Pierre et Miquelon ne disposent d'aucune capacité.
Ainsi, "près de 10% des quantités de DASRI produits dans une région ont été traitées dans une région voisine. Une meilleure gestion des DASRI au sein même du territoire permettrait de diminuer les flux de DASRI interrégionaux et d'augmenter le taux d'activité. Près de 21 régions ont un taux d'activité inférieur à 70%".
bilan : http://www2.ademe.fr/servlet/getBin?name=85A90B0CB22DFBE0CB98137A089C8A7B_tomcatlocal1372670802292.pdf