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Un accord a été trouvé, ce mercredi, entre le gouvernement et EDF concernant l'indemnisation du groupe à propos de l'arrrêt des deux réacateurs de la centrale nucléaire de Fessenheim. L'indemnisation comprendra un premier versement de 100 millions d'euros.
L’Etat de New York a approuvé, lundi, un plan ambitieux visant à générer la moitié de ses besoins en électricité à partir de sources renouvelables d'ici 2030.
La Commission européenne impose un partage des gains plus favorable au consommateur britannique. EDF doit finaliser son tour de table.
Un rapport parlementaire estime que la fermeture anticipée de Fessenheim pourrait coûter pourrait milliards d'euros. La raison ? Le montant de l'indemnisation que pourrait réclamer EDF, qui a récemment réalisé des investissements sur la centrale nucléaire.
Le Golfe Persique est une région caractérisée par ses importantes ressources en hydrocarbures. Les pays qui bordent ce bras de l'Océan Indien ont longtemps eu recours à ces énergies fossiles, disponibles en grande quantité et donc à bas prix, pour répondre à leurs besoins énergétiques. Mais face à l'impact fortement négatif des matières fossiles sur l'environnement, des pays comme l'Arabie Saoudite et les Émirats Arabes Unis (EAU) ont commencé à réfléchir à l'adoption d'autres sources d'énergie pour assurer leur basculement dans l'après-pétrole. Dans ce contexte, les EAU ont lancé en 2009 un programme nucléaire portant sur la construction d'un parc de 4 réacteurs de 1.400 MW chacun. Le projet est passé dans une phase plus concrète en juillet 2012, lors du début des travaux de construction des unités 1 et 2. Septembre 2014 marque également une nouvelle étape pour le maître d'œuvre en charge du projet, la Société d’Énergie Nucléaire Émiratie (ENEC), qui vient d'annoncer l'obtention de la licence de construction des réacteurs 3 et 4.
Voici quarante ans, les concepteurs des centrales nucléaires n'avaient pas prévu que, devenus trop vieux et donc dangereux, les réacteurs devraient être un jour démontés, et qu'il faudrait stocker leurs déchets hautement radioactifs. Un état des lieux alarmant sur les dangers de la déconstruction des sites nucléaires.
Le 11 mars 2011, un séisme de magnitude 9 se déclenche dans les profondeurs de l'océan pacifique. Une vague d'une hauteur de plus de 14 mètres de haut s'abat quelques instants plus tard sur la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi, laissant derrière elle des réacteurs en surchauffe.
Greenpeace publie un rapport commandé à Wise-Paris sur les enjeux du prolongement au-delà de 40 ans des réacteurs français. Avec des coûts évalués entre 400 millions et 4,4 milliards d'euros par réacteur, l'enjeu de la rentabilité est posée.
La décision de prolonger la durée de vie théorique des centrales nucléaires n'a pas été prise, a assuré hier le ministre de l'Energie, Philippe Martin, à l'Assemblée nationale, en réponse à une question du député EELV Denis Baupin indiquant que cela serait « une provocation politique ».
Ce dimanche 13 octobre, un article du Journal du Dimanche a laissé entendre que le gouvernement s’apprêterait à autoriser EDF à faire tourner ses réacteurs nucléaires pendant 50 ans. Une erreur qui cache d’autres enjeux.
La prolongation de vie des centrales nucléaires d'EDF en France, option envisagée par l'Etat pour financer la transition énergétique, serait une provocation politique, estime dimanche Europe-Ecologie-Les-Verts (EELV), laissant présager un nouveau bras de fer avec les socialistes.
La concurrence des énergies renouvelables pèse sur la rentabilité de certaines centrales du numéro deux de l’énergie outre-Rhin. RWE a enregistré une perte de 388 millions d’euros au deuxième trimestre.
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EDF et l’Etat sont parvenus à un accord sur une indemnisation de 400 millions d’euros pour la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim, une part fixe à laquelle pourra s’ajouter une part variable, a-t-on appris mercredi de source proche du dossier.
Dimanche 12 octobre, à l’occasion d’une conférence de presse en marge des travaux de la conférence internationale sur l’industrie du gaz, le ministre de l’Energie algérien a déclaré vouloir procéder à la construction de la première centrale nucléaire du pays d’ici 2029.
Si le coût de cinq milliards d’euros avancé par le rapport des députés Hervé Mariton (UMP) et Marc Goua (PS) a été démenti et qualifié de « fantaisiste » par la ministre Ségolène Royal, à combien alors s’élèverait le montant de la fermeture d’une centrale nucléaire comme celle en activité à Fessenheim ? Une question à laquelle il est impossible de répondre avec précision selon François Lévêque, professeur d’économie à Mines ParisTech, auteur de Nucléaire On/Off et interviewé par Challenge.fr.
La nouvelle coalition belge a annoncé lundi 16 septembre la signature d’un accord nucléaire autorisant la centrale nucléaire de Doel à produire pendant une période supplémentaire de 10 ans. Située à 25 kilomètres au nord d’Anvers, en Belgique, cette centrale exploitée par la société Electrabel devait cesser toute activité à partir de février 2015. Mais, afin d’assurer l’approvisionnement électrique du pays, les négociateurs de la coalition fédérale ont décidé de réviser le texte de loi et de repousser jusqu’à 2025 cette échéance.
La Russie et l’Algérie ont signé le mercredi 3 septembre 2014 à Alger, un nouvel accord de coopération dans le domaine du nucléaire civil. Un partenariat censé promouvoir la recherche et l’exploitation nucléaire en Algérie et qui pourrait déboucher à moyen terme sur la construction de la première centrale nucléaire algérienne.
La firme française a gagné un contrat le samedi 16 août 2014 pour remplacer les 6 générateurs de vapeur du réacteur nucléaire de Koeberg selon un communiqué d’Eskom, la société publique de production/distribution d’électricité sud africaine. Cette rénovation s’inscrit dans le cadre du projet d’installer 9,6 GW (Gigawatts) de puissance nucléaire d’ici 2030 pour répondre à la demande énergétique croissante d’un pays encore très dépendant du charbon. La centrale de Koeberg, de fabrication française et d’une puissance de 1,8 GW, est la seule centrale atomique du continent. Elle produit à l’heure actuelle 5% de l’électricité sud africaine.
Le ministre tchèque de l'Industrie, Jan Mladek, a insisté dans la presse de vendredi sur la nécessité de construire en République tchèque deux nouveaux réacteurs nucléaires à l'horizon 2030, malgré le récent arrêt de l'appel d'offres pour l'extension de la centrale nucléaire de Temelin.
L'IRSN a publié dans un dossier plusieurs notes d'information sur la situation à la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi (Japon) et sur l'ensemble des territoires concernés par les rejets radioactifs. Trois ans après l'accident, l'Institut fait ainsi le point sur les moyens et les dispositifs importants mis en oeuvre au Japon pour traiter les suites de ces événements.
Les petits réacteurs modulaires (SMR) sont aujourd'hui considérés comme une voie d'avenir du nucléaire. Ils présentent en effet de nombreux avantages : caractère progressif de l'investissement, réduction des délais et sûreté intrinsèque accrue.
Des informations publiées par le Journal du Dimanche indiquent que le gouvernement français aurait l'intention d'autoriser EDF à prolonger de dix ans la durée de vie des 58 réacteurs nucléaires.
Londres est très proche d'un accord avec Electricité de France (EDF) sur la construction d'une nouvelle centrale nucléaire britannique, la première depuis 1995, a déclaré dimanche le ministre de l'Energie, Ed Davey, précisant que la Chine était impliquée dans les discussions.
Que faire en cas d’accident grave à la centrale nucléaire de Braud ? C’est ce à quoi a tenté de répondre mardi après-midi la commune de Saint-Caprais pour juger de l’efficacité du plan de sauvegarde.
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