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Si le réchauffement se poursuit jusqu’à + 4,5 °C, la moitié des espèces des régions les plus riches en faune et en flore risqueront de disparaître d’ici à 2080.
L’autoconsommation énergétique repose sur le fait de produire l’énergie dont vous avez besoin et notamment l'électricité comme proposé sur ekwateur.fr. Cela est bon pour réduire votre facture d’électricité et pour l’environnement car les énergies renouvelables ne sont pas polluantes. Mais qu’en est-il de leur impact sur la biodiversité ?
Adopté après l'échec en commission mixte paritaire, lors d'un vote ultime à l'Assemblée nationale, le 20 juillet dernier, le projet de loi pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages totalise 174 articles répartis en sept titres, dont un grand nombre intéressent très directement les collectivités territoriales. Mais ce texte n'est peut-être pas encore tout à fait figé, le Conseil constitutionnel ayant été saisi les 21 et 22 juillet.
Si les déversements d’hydrocarbures intéressent l’opinion publique et suscitent son inquiétude, les « déversements biologiques » pourtant plus dangereux à long terme, passent eux, plus inaperçus.
Du 18 août au 26 septembre, le schéma régional de cohérence écologique (SRCE) d'Aquitaine sera soumis à enquête publique. C'est "le document-cadre qui identifie la Trame verte et bleue (TVB) à cette échelle pivot qu'est la région", explique un communiqué du 23 juillet.
Au plan international, les entreprises n'ont quasiment aucune obligation de reporting en matière de biodiversité. Lorsque des Etats en imposent, comme en France, de nombreuses échappatoires permettent aux entreprises de rester silencieuses.
Les Etats Membres des Nations Unies ont organisé la semaine dernière une série de meetings à New York pour discuter de la nécessité de mettre en place un instrument international qui régulerait la conservation et l’utilisation durables de la biodiversité marine au-delà de la juridiction nationale des pays.
Le Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (GIEC) a publié lundi 31 mars un rapport sur la vulnérabilité du monde face aux conséquences du réchauffement climatique. En parallèle de la lutte contre les évolutions climatiques, les experts recommandent de se préparer aux différents dangers identifiés.
Par une décision du 13 février 2014 signalée par l'avocat Arnaud Gossement, la cour administrative d'appel de Nancy a indiqué qu'il n'était pas possible d'imposer la poursuite d'une activité industrielle à un exploitant d'installation classée pour la protection de l'environnement (ICPE) pour des raisons écologiques.
Alors que l’UE vient officiellement de fixer le nouveau cap de sa politique environnementale à l’horizon 2020, l’Agence européenne de l’environnement (AEE) publie ses indicateurs 2013. Si la pression sur les ressources en eau et en énergie tend à diminuer, l’étalement urbain et l’agriculture intensive s’emballent. Ce qui nuit autant à la santé qu’à la biodiversité.
Aujourd’hui, la dégradation de l’environnement se caractérise par la présence de risques massifs et interconnectés, dont l’intensité croît de manière exponentielle. La lutte contre le changement climatique, la préservation de la biodiversité ou l’accès aux matières premières, appellent à une réponse forte avant que la situation ne devienne irréversible.
Via @Chuchoteuse d'Alternatives
Les habitats naturels se voient de plus en plus piétiner par la propagation urbaine en Europe, avec des conséquences graves pour la biodiversité.
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Alors que s’ouvre en Colombie un sommet mondial sur la biodiversité, une question délicate se pose : comment éviter que la transition énergétique ne se fasse au détriment des écosystèmes ?
L’impact humain sur l’environnement s’est accru de 9 % en seize ans, selon une étude internationale.
La loi a signé l'arrêt de mort de plusieurs produits et substances à diverses échéances. Selon les secteurs, les industriels sont plus ou moins prêts pour offrir des solutions de substitution.
C’est un peu «faites ce que je dis, pas ce que je fais». Les organisations férues d’écologie axent tout ou partie de leurs actions sur la préservation de la biodiversité. Problème: ce combat louable n’est pas mené au sein même de leur organisation.
Le directeur de l’Initiative financière du PNUE, Charles Anderson, a déclaré à l’Assemblée de l’ONU sur l’environnement (UNEA), à Nairobi, que la plupart des politiques d’encouragement en place alimentent la production et la consommation de manière non viable. Le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE) a appelé les gouvernements du monde à [...]
Et si le réchauffement climatique pouvait enrichir la biodiversité ? C'est la lueur d'espoir que laisse entrevoir une étude menée par Christian Parisod du laboratoire de botanique évolutive de l'Université de Neuchâtel, en collaboration avec les universités d'Oslo (Norvège) et de British Columbia (Canada). Des plantes de la région du Pôle Nord morphologiquement identiques cachent en réalité plusieurs centaines d'espèces en devenir. Des mutations infimes survenues au cours des changements climatiques de la dernière ère glaciaire auraient ainsi contribué à augmenter la biodiversité dans cette région du globe. Les conclusions de ce travail ont été publiées, récemment, dans la revue «PLOS ONE».
B&L Evolution, bureau d’étude spécialiste du développement durable, a publié récemment une étude poussée des stratégies d’entreprise du CAC 40 et particulièrement de leur prise en compte de la biodiversité. Loin d’avoir tous également pris la mesure de l’importance de ce concept, les fleurons de l’économie française ont en commun de sous-estimer assez largement l’intérêt de la biodiversité pour l’activité économique. Sylvain Boucherand, ingénieur chez B&L Evolution commente ce constat.
Le bureau d’étude B&L évolution s’est attelé à un benchmarking poussé, inédit, de la prise en compte des enjeux de biodiversité par les entreprises du CAC 40, basé sur leur plus récent rapport RSE. Pour l’exécution de cette étude, B&L évolution a réalisé une grille d’analyse structurée autour de 8 thèmes : impacts sur la biodiversité, dépendances aux écosystèmes, périmètres de la démarche, formalisation de la stratégie biodiversité, outils mis en œuvre, pratiques d’innovation, et législation et positionnement stratégique. Puis, a passé au crible, le CAC 40, à l’aide de cette grille. C’est ainsi une notation de la performance de la politique biodiversité qui est proposée. Les résultats ont été regroupés par type d’activité afin de comparer rigoureusement les différentes démarches et d’identifier tant les entreprises ambitieuses que les marges de progrès.
Le Fonds français pour l'environnement mondial (FFEM) a financé en 2013, à hauteur de 23,14 millions d'euros, 17 nouveaux projets de développement durable situés en Afrique et en Méditerranée.
Mener à bien une transition vers un développement urbain durable est certainement l’un des défis les plus importants de nos sociétés quel que soit leur niveau de développement. En effet plus de la moitié de la population mondiale vit en ville et ce pourcentage continue d’augmenter. En France une étude de l’INSEE indique que ce chiffre atteint presque 80 % de notre population. Plus que leur niveau de population élevé, c’est l’inefficacité du métabolisme des villes qui pose un véritable problème.
Les invasions biologiques représentent l'une des plus grandes menaces qui pèsent sur la biodiversité. L'Union internationale pour la conservation de la nature a défini "100 espèces invasives parmi les pires à travers le monde". Une équipe de chercheurs (CNRS / Université Paris-Sud / Université Joseph Fourier Grenoble 1 / Université de Rennes 1 / MNHN / Institute for Environmental Protection and Research, Rome / Netherlands Environmental Assessment Agency) vient de montrer que les changements climatiques et les changements d'occupation des terres peuvent conduire à un bouleversement important dans la distribution spatiale de ces espèces invasives d'ici à 2100 ! Cette étude vient d'être publiée le 4 septembre dans Global Change Biology.
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Les résultats montrent l’importance de contenir le réchauffement climatique. Alors que 48 % des espèces des trente-cinq écorégions seront menacées d’extinction dans un climat à + 4,5 °C, ce chiffre tombe à 37 % dans un scénario à + 3,2 °C et surtout à 24 % pour un monde à + 2 °C. De même, seulement 33 % des zones étudiées pourraient jouer le rôle de refuges climatiques dans le premier scénario, contre 47 % dans le deuxième et 67 % dans le troisième. De manière générale, les groupes les plus vulnérables s’avèrent les plantes, les reptiles et les amphibiens.