Rappelant que la Cour des comptes a pointé le manque à gagner croissant pour les finances publiques causé par l'absence de mise en concurrence pour la gestion du parc français de barrages hydroélectriques, la CGT dénonce "[un] argumentaire, [qui] ressemble étrangement à la note émanant de l'Association française indépendante de l'électricité et du gaz (l'Afieg), regroupant les opérateurs Alpiq, BKW, Enel, E.ON, Vattenfall, Enovos, Novawatt, candidats à la reprise des concessions hydrauliques".
En conséquence, la centrale syndicale juge qu'il convient de prendre en compte les revenus de la mesure de substitution à l'énergie réservée et les dividendes versés par EDF et liés aux revenus de l'hydroélectricité. Pour rappel, la Cour des comptes estime que la future redevance rapporterait 100 millions d'euros par an d'ici 2020.