Le biologiste Gilles-Eric Séralini, déjà à l’origine de l’étude controversée mettant en cause le maïs OGM NK 603 et le pesticide Roundup de Monsanto en 2012, remet le couvert. Avec ses collègues de l’université de Caen et du Comité de recherche et d’information indépendantes sur le génie génétique (Criigen), il signe cette fois une étude sur la toxicité des pesticides sous leur forme commerciale – c’est-à-dire assaisonnés d’adjuvants – et non plus limitée à la substance active, jusqu’alors seule prise en compte.
L’association Génération Futures, qui mène un combat de longue date contre les pesticides, s’est félicitée de cette nouvelle étude :
Son porte-parole, François Veillerette, a ensuite réagi à la communication de la directrice de l’Uipp :