"Les modèles de changement climatique sur lesquels s'appuient actuellement le GIEC sous-estiment les émissions polluantes africaines à l'horizon 2030 ", considère une équipe franco-ivoirienne pilotée par le Laboratoire d'aérologie (CNRS / Université Toulouse III – Paul Sabatier). Les scientifiques ont développé des cartes d'émissions anthropiques pour l'année 2005 pour l'ensemble des pays africains.