Le groupe allemand a pris dimanche un virage radical en décidant de se séparer de la totalité de ses centrales électriques : nucléaires, au charbon ou au gaz. Un choc pour un secteur en pleine crise.
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Pour un peu, on se croirait sur le chantier nucléaire de l’EPR de Flamanville. Des milliers de repères sont inscrits aux murs tout propres pour indiquer les points stratégiques. Des spots puissants illuminent les échafaudages. Impossible d’échapper aux coups de marteau ou au bruit des perceuses. La seule différence avec un nouveau réacteur, c’est que la centrale nucléaire de Stade, au nord de l’Allemagne, n’est pas en construction mais en déconstruction. « Nous avons retiré près de 300.000 chevilles », se félicite Michael Klein, directeur du site détenu par E.ON, à l’endroit où se trouvait le circuit primaire de l’installation, il y a encore dix ans.