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RTE publie le bilan de la production et de la consommation électrique de la France en 2017. Les marqueurs de la transition énergétique s’accentuent. Des données importantes en vue du débat public sur la programmation pluriannuelle de l’électricité 2018-2023 qui débutera le 15 mars.
Comme chaque début d’année, Réseau de Transport d’Electricité (RTE), le Syndicat des Énergies Renouvelables (SER), ERDF et l’Association des Distributeurs d’Électricité en France (ADEeF) se sont penchés sur la production d’électricité renouvelable en France au cours des 12 derniers mois. Un bilan plutôt positif pour l’électricité verte : en 2014, les énergies éolienne, photovoltaïque et biomasse affichent des raccordements en hausse par rapport à l’année précédente. Grâce à la croissance du parc, les énergies renouvelables ont ainsi permis de couvrir 19,5% des besoins en électricité. 61% de ces volumes proviennent des installations hydroélectriques, 22% du parc éolien, le reste étant réparti entre le photovoltaïque et la biomasse.
Dans un communiqué commun publié mercredi 14 janvier, l’Ecole centrale de Nantes et RTE, le gestionnaire du réseau de transport d’électricité français, ont annoncé la création d’une chaire internationale de recherche dédiée aux réseaux intelligents (smart grids), une des toutes premières en France.
La société RTE, qui gère le réseau haute tension de transport d’électricité français, a publié mercredi 10 septembre son bilan prévisionnel consacré à l’équilibre offre-demande d’électricité en métropole. Jouant pleinement son rôle de « lanceur d’alerte », selon les termes de son président Dominique Maillard, RTE estime qu’à partir de l’hiver 2015-2016, la France risque de faire face à une pénurie d’électricité : les capacités de production tricolores ne seront plus suffisantes pour faire face aux pics de consommation, du moins en cas de vague de froid décennale.
En 2015, la sécurité électrique française risque d'être fragilisée par un déficit de capacité de production. A horizon 2030, le gestionnaire de transport d'électricité étudie différents scénarios de mix énergétique et d'évolution de la demande.
Lors d'une conférence de presse à la préfecture de Strasbourg le 9 juillet, le délégué interministériel chargé de préparer l'arrêt de la centrale nucléaire de Fessenheim (Alsace), Jean-Michel Malerba, a confirmé le calendrier de fermeture. La loi sur la transition énergétique, dont l'adoption est prévue début 2015, prévoit le plafonnement de la capacité nucléaire installée à son niveau actuel. Pour mettre en service l'EPR de Flamanville, EDF devra donc proposer de fermer une capacité équivalente avant août 2015. Le délégué interministériel a confirmé que les réacteurs seraient arrêtés fin 2016, pour un démantèlement en 2019 ou 2020.
Direct Energie, 3ème acteur français de l'électricité et du gaz, a déclaré se positionner lui aussi au cœur de la Transition Energétique, en développant des services d'effacement et des solutions innovantes de maîtrise de la demande en énergie (MDE).
Dans sa feuille de route remise au gouvernement, dans le cadre des 34 plans de la nouvelle France industrielle, le président de RTE, Dominique Maillard, propose notamment de créer « une équipe de France des réseaux électriques intelligents ». Le potentiel économique et d’emplois pour la France, à l’échelle nationale, comme à l’export, étant considérable.
RTE, le gestionnaire de transport d’électricité français, vient de publier les bilans électriques de chaque région de France. Côté production, entre photovoltaïque, éolien, hydroélectricité et nucléaire, les spécificités s’affirment.
Les énergies renouvelables font beaucoup parler, énormément écrire, un peu moins compter. Jusqu’ici, personne n’était capable d’évaluer leur part dans la production et la distribution d’électricité française. La publication du panorama des énergies renouvelables 2013 par les différents acteurs publics de la filière (RTE, le Syndicat des Energies Renouvelables, ERDF et l’ADEeF) est venue combler quelques lacunes. On y apprend notamment que le ralentissement du raccordement des parcs éoliens et photovoltaïques, notable depuis quelques années, se confirme une nouvelle fois en 2013. Pour les deux sources d’énergie, il suffirait pourtant de peu pour respecter les objectifs gouvernementaux.
Il n'y a pas d'obstacles à l'intégration d'une production éolienne offshore massive au réseau électrique terrestre. C'est la conclusion du projet de R&D Twenties, mené pendant trois ans par 26 acteurs européens de l'énergie et financé par le septième Programme-cadre de recherche et de développement technologique européen (FP7).
Le RTE qui publie tous les ans le bilan prévisionnel de l'équilibre offre-demande d'électricité en France a réactualisé en juillet 2013 l'édition de septembre 2012 en mettant à jour le diagnostic prévisionnel à l'horizon de cinq ans.
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Le gestionnaire du Réseau de transport d’électricité (RTE) a publié le 3 février dernier le bilan électrique 2015, rapport détaillant notamment les évolutions de consommation et de production d’électricité en France. Analyse de ce document attendu chaque début d’année, qui permet d’apprécier l’engagement de la France sur la voie de la transition énergétique.
Réseau de Transport d’Électricité (RTE), filiale d’EDF en charge du réseau public de transport d’électricité, a publié comme chaque année son bilan électrique. Selon cette étude chiffrée, 2014 a été une année marquée par la baisse de la consommation d’électricité, en raison surtout de la douceur des températures, mais aussi de la progression des énergies renouvelables dans le mix électrique tricolore.
Après une période de trois ans caractérisée par une baisse continue des installations, les secteurs éolien et photovoltaïque français semblent à nouveau être portés par la croissance. C’est la conclusion avancée par le Panorama semestriel des énergies renouvelables, un document rendu public mardi 7 octobre et rédigé par le Réseau de Transport d’Électricité (RTE), le Syndicat des Energies Renouvelables (SER), ERDF et l’Association des Distributeurs d’Electricité en France (ADEeF).
En raison des basses températures qui ont caractérisé les mois de juillet et d’août, l’été 2014 est, d’un point de vue énergétique, celui de tous les records. Dans son aperçu mensuel sur l’énergie électrique, la société RTE indique en effet que la fraîcheur estivale a permis de faire descendre la consommation française d’électricité à son plus bas niveau depuis 12 ans : 33,9 gigawatts en juillet et 31 GW en août. La conséquence directe est une forte hausse des exportations de courant, à des niveaux « qui n’avaient plus été observés depuis plusieurs années ».
Pour la première fois, le 1er août 2014, un consommateur industriel a fourni de la réserve primaire à RTE contribuant ainsi à la sûreté du système électrique en France.
Un décret publié au Journal officiel vient encadrer le dispositif de l'effacement de consommation électrique. Il définit les principaux termes et fixe l'ensemble de l'architecture du dispositif et le rôle de chacun des acteurs.
Sur la base de la prévision de consommation et de la disponibilité de la production annoncée par les producteurs, l'analyse de RTE révèle que la France ne devrait pas manquer d'électricité durant l'ensemble de l'été 2014, y compris en cas d'épisode caniculaire.
Selon le tout de dernier bilan livré par RTE, La production éléctrique de la région Bretagne, si elle ne couvre que 12% de la consommation, continue de progresser en 2013, et s’établit à 2,5 TWh (+5,1%). Les énergies renouvelables qui représentent 90% de la production, connaissent pour leur part une augmentation de 12,4%. Autre chiffre à retenir : avec 10,6% d’augmentation en sept ans, la consommation d’électricité corrigée croît toujours plus rapidement en Bretagne qu’en France (+3%), notamment en raison du dynamisme démographique de la région.
RTE et la Banque européenne d'investissement (BEI) ont signé jeudi un contrat destiné à financer une partie du chantier « Vallée du Rhône », dont l'objectif est de sécuriser et d'optimiser les deux axes électriques à 400.000 volts situés entre Lyon et Montélimar.
Initié par RTE et le Syndicat des Energies Renouvelables (SER) dans le cadre de leur protocole de coopération, puis élargi aux gestionnaires de réseau de distribution (ERDF et l’Association des Distributeurs d’Electricité en France - ADEeF),le Panorama 2013 des énergies renouvelables (ENR), présente un état des lieux du développement de ces énergies et des enjeux liés à leur insertion aux réseaux électriques. Faits marquants de l’année 2013 : l’éolien et le photovoltaïque représentent respectivement 3,3% et 1% de la consommation française d’électricité, pour des parcs installés atteignant 8140 MW[1] et 4330 MW.
Le délai de mobilisation de la majorité de la puissance disponible sera cette année de deux heures, et même dans certains cas d’une demi-heure. Ces préavis, plus courts et complémentaires à ceux prévus sur la base de quatorze heures, devraient permettre de passer de manière optimale les pointes de consommation de l’hiver en Bretagne. Cette expérimentation permet d’autre part d’alimenter, à l’échelle nationale, les réflexions sur les effacements de consommation, dans le contexte des travaux en cours sur la transition énergétique.
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La mutation du système électrique français se poursuit. La disparition du fioul, la montée des énergies renouvelables, la confirmation d'une consommation enfin stable ont marqué l'année 2017 selon le bilan annuel de Réseau de transport de l'électricité (filiale d'EDF et de la Caisse des dépôts et consignations).