Développement Durable, RSE et Energies
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Développement Durable, RSE et Energies
Vous trouverez dans ce thème des actualités, en France et dans le monde, sur le Développement Durable en passant par les réglementations environnementales, la Responsabilité Sociétale mais également les changements climatiques et les énergies, ainsi que l"économie circulaire avec  l'éco-conception et les analyses de cycle de vie.
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Loi PACTE : une urgence, clarifier la responsabilité des parties prenantes

Loi PACTE : une urgence, clarifier la responsabilité des parties prenantes | Développement Durable, RSE et Energies | Scoop.it

« Mes chers concitoyens du monde : ne demandez pas ce que l'Amérique peut faire pour vous, mais ce qu'ensemble nous pouvons faire pour la liberté de l'homme. »...

Stéphane NEREAU's insight:

Puisque la soft law française a déjà introduit cette définition depuis 2009 dans le code Middlenext, la loi PACTE pourrait reprendre très simplement l’acquis de ce texte et compléter l’article 1832 du code civil en stipulant que « les associés assument la continuité de l’entreprise en confirmant, en dernier ressort, son orientation et en légitimant ceux qui en décident. Cette responsabilité se traduit par trois droits : le vote aux assemblées générales, le droit d’information et le droit aux dividendes. » Les dividendes sont rappelés comme la rémunération légitime d’un engagement pour la continuité de l’entreprise et non le droit d’y puiser comme dans une tirelire.

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Gouvernance RSE

Gouvernance RSE | Développement Durable, RSE et Energies | Scoop.it

Réforme de l’entreprise : pour un comité des parties prenantes spécifiques au sein des conseils d’administration.

Après l’Italie, les États-Unis et le Royaume-Uni, un débat majeur vient de s’ouvrir en France sur la nature et la finalité de l’entreprise.

Stéphane NEREAU's insight:

Ce débat oppose deux visions qui semblent irréconciliables. D’un côté, les partisans d’une refonte de l’entreprise et de sa gouvernance qui appellent à une réécriture des articles 1832 et 1833 du code civil afin de pousser les entreprises à mieux prendre en considérations les attentes des différentes parties prenantes. De l’autre, les partisans d’un statu quo qui soulignent le risque important de déstabiliser les entreprises françaises en changeant le contenu de ces articles, transformations qui reviendraient à ouvrir « la boîte de Pandore » et exposer les entreprises à de multiples risques juridiques.

Herve Gbego's curator insight, February 14, 2018 1:31 AM

#Gouvernance #RSE | Réforme de l’entreprise pour un comité des parties prenantes au sein des conseils d’administration

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Miroir Social - RSE, l’heure du passage à l’acte

Miroir Social - RSE, l’heure du passage à l’acte | Développement Durable, RSE et Energies | Scoop.it

En matière de responsabilité sociétale des entreprises (RSE), l’heure n’est plus aux seules postures d’affichage. Le sujet mobilise aujourd’hui les acteurs politiques, économiques et la société civile. Pour les DRH, le sujet constitue un levier d’innovation et de dialogue social.


Via coup d'oeil, François GARREAU
Stéphane NEREAU's insight:

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Reporting: la matrice de matérialité, vous connaissez?

Reporting: la matrice de matérialité, vous connaissez? | Développement Durable, RSE et Energies | Scoop.it

À l'heure où les entreprises publient leur rapports de développement durable, retour sur les matrices de matérialité, outils qui permettent de hiérarchiser les enjeux RSE.

Stéphane NEREAU's insight:

Très employé par le monde financier anglo-saxon, le concept de "matérialité" permet de faire le tri entre les éléments financiers. Le but: isoler ceux qui sont importants pour décrire la situation ou la performance financière d’une entreprise. Ces éléments matériels seront, par extension, particulièrement pris en compte par les investisseurs au moment de faire leurs choix.

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Guide pratique Cap vers la RSE. Comment dialoguer avec les parties prenantes ?

Le Medef a publié fin décembre 2013 un guide intitulé « Comment dialoguer avec les parties prenantes en cinq étapes : Comment identifier ses parties prenantes ? Comment les qualifier en fonction de leur intérêt pour l’entreprise et de leur pouvoir d’influence ou de décision ? Quels critères pour évaluer et sélectionner ses parties prenantes ? Quels modes de dialogue adopter ? Les questions à se poser avant d’entamer la démarche. 
Stéphane NEREAU's insight:

Pourquoi s’intéresser aux parties prenantes ?

Il est nécessaire pour l’entreprise de s’interroger sur les relations qu’elle entretient avec ses par ties prenantes et les moyens de les développer. L’objectif premier est de consolider les relations avec ses par ties prenantes « traditionnelles » (salariés, clients, par tenaires financiers, autorités locales, etc.) mais aussi de réfléchir à la fois à d’autres modes de dialogue et à l’intérêt d’aller au-delà des relations déjà établies avec ses par ties prenantes.

Cette démarche n’a pas vocation à remplacer le dialogue social qui existe déjà dans l’entreprise et constitue un lieu de dialogue privilégié avec les représentants des salariés. En revanche, de nouveaux acteurs (ONG, blogueurs, exper ts, etc.) et de nouveaux modes de relations (réseaux sociaux, panels, etc.) sont apparus qui nécessitent d’établir un état des lieux régulier de ses relations avec ses par ties prenantes et de faire évoluer les modes de dialogue existants. Une veille autour des enjeux stratégiques de l’entreprise est l’outil essentiel pour progresser dans ce domaine.

 
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RSE et rentabilité : quel management pour optimiser la performance de l’entreprise?

RSE et rentabilité : quel management pour optimiser la performance de l’entreprise? | Développement Durable, RSE et Energies | Scoop.it
Au-delà des aspects d’éthique ou de légitimité, quelle attitude l’entreprise doit-elle adopter vis-à-vis de ses parties prenantes ? Doit-on prendre en compte les préoccupations de l’ensemble de nos parties prenantes (orientation partie prenante) ? Ou au contraire se centrer sur certaines d’entre elles (management différencié) ? Quel est l’impact de ce choix sur la performance de l’entreprise ?
Stéphane NEREAU's insight:

Les études antérieures ne permettent pas de trancher ce débat même si elles concluent dans une majorité des cas à une association positive entre orientation parties prenantes et performance économique. Dans ce contexte, nous avons mené une étude adressée à plus de 1000 entreprises du secteur des produits de grande consommation (agroalimentaire et hygiène), analysant sur une période de deux années leur politique de gestion des parties prenante et leur performance économique. Nos résultats montrent que les entreprises qui optent pour une attitude généralisée d’écoute et de réponse aux attentes de toutes leurs parties prenantes, voient leur performance économique se dégrader (par le biais d’une baisse de leur taux de marge  : ROS). Cette attitude semble ainsi s’apparenter à un comportement de « relations publiques » trop coûteux qui conduiraient certaines parties prenantes à adopter des comportements opportunistes destinés à s’approprier de manière inéquitable la richesse générée au sein du système et détruisant ainsi les bénéfices issus de l’orientation parties. Nous montrons également que l’entreprise qui met en place un ordre de priorité dans la réponse à apporter aux attentes des parties prenantes bénéficie d’une performance supérieure (qui se traduit par une augmentation du ROS). L’entreprise devrait donc privilégier une approche « stratégique » de la gestion des parties prenantes et de l’allocation des ressources entre ces parties prenantes, en fonction de la capacité d’influence des divers groupes d’intérêt.

Cependant, ces résultats doivent être nuancés par deux remarques. La première est liée à l’horizon à long terme de l’influence de l’orientation parties prenantes (notamment par le biais des effets sur la réputation et/ou sur la capacité d’innovation), qui peut être en décalage avec le caractère à court terme de la mesure de la performance considérée ; en effet si nous avons pu constater un effet négatif de l’orientation parties prenantes sur le taux de marge, il nous a été impossible de constater le même impact sur la taux de rentabilité économique (ROA) ou sur le taux de rentabilité financier (ROE), qui sont des indicateurs plus orientés à moyen terme. Dans ce contexte, cette contre-performance de l’orientation parties prenantes pourrait être liée à un « temps de rentabilisation » plus élevé de ces investissements responsables. La seconde remarque porte sur la capacité de l’entreprise à transformer cette politique d’orientation prenante pour l’appliquer à des fins commerciales et la « rentabiliser ». Ainsi même si l’entreprise adopte ce type de management des parties prenantes, elle doit également  développer une « capacité d’absorption » lui permettant de traduire les ressources relationnelles formées avec les parties prenantes, en compétences opérationnalisables.

Léo Maucourt's curator insight, March 23, 2016 5:52 AM

Les études antérieures ne permettent pas de trancher ce débat même si elles concluent dans une majorité des cas à une association positive entre orientation parties prenantes et performance économique. Dans ce contexte, nous avons mené une étude adressée à plus de 1000 entreprises du secteur des produits de grande consommation (agroalimentaire et hygiène), analysant sur une période de deux années leur politique de gestion des parties prenante et leur performance économique. Nos résultats montrent que les entreprises qui optent pour une attitude généralisée d’écoute et de réponse aux attentes de toutes leurs parties prenantes, voient leur performance économique se dégrader (par le biais d’une baisse de leur taux de marge  : ROS). Cette attitude semble ainsi s’apparenter à un comportement de « relations publiques » trop coûteux qui conduiraient certaines parties prenantes à adopter des comportements opportunistes destinés à s’approprier de manière inéquitable la richesse générée au sein du système et détruisant ainsi les bénéfices issus de l’orientation parties. Nous montrons également que l’entreprise qui met en place un ordre de priorité dans la réponse à apporter aux attentes des parties prenantes bénéficie d’une performance supérieure (qui se traduit par une augmentation du ROS). L’entreprise devrait donc privilégier une approche « stratégique » de la gestion des parties prenantes et de l’allocation des ressources entre ces parties prenantes, en fonction de la capacité d’influence des divers groupes d’intérêt.

Cependant, ces résultats doivent être nuancés par deux remarques. La première est liée à l’horizon à long terme de l’influence de l’orientation parties prenantes (notamment par le biais des effets sur la réputation et/ou sur la capacité d’innovation), qui peut être en décalage avec le caractère à court terme de la mesure de la performance considérée ; en effet si nous avons pu constater un effet négatif de l’orientation parties prenantes sur le taux de marge, il nous a été impossible de constater le même impact sur la taux de rentabilité économique (ROA) ou sur le taux de rentabilité financier (ROE), qui sont des indicateurs plus orientés à moyen terme. Dans ce contexte, cette contre-performance de l’orientation parties prenantes pourrait être liée à un « temps de rentabilisation » plus élevé de ces investissements responsables. La seconde remarque porte sur la capacité de l’entreprise à transformer cette politique d’orientation prenante pour l’appliquer à des fins commerciales et la « rentabiliser ». Ainsi même si l’entreprise adopte ce type de management des parties prenantes, elle doit également  développer une « capacité d’absorption » lui permettant de traduire les ressources relationnelles formées avec les parties prenantes, en compétences opérationnalisables.

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Gestion des parties prenantes : au-delà de la gestion du risque

Gestion des parties prenantes : au-delà de la gestion du risque | Développement Durable, RSE et Energies | Scoop.it

En tant que directeur de projets spécialisé en responsabilité sociale des entreprises (RSE) dans l'industrie extractive, j'entends parfois des gens comparer la gestion des parties prenantes à la gestion du risque. Ils ont en bonne partie raison : les deux activités ont plusieurs points en commun et il est assez intéressant de les comparer pour mieux comprendre ce qu'est et ce que n'est pas la gestion des parties prenantes.

Stéphane NEREAU's insight:

Le bénéfice principal de la gestion des parties prenantes est de permettre la poursuite du projet sans entrave. Le gestionnaire est en mesure d'identifier, analyser et contrôler le risque associé aux parties prenantes.

L’autre bénéfice est l’identification d’opportunités intéressantes pour le projet. La gestion rigoureuse et proactive des parties-prenantes est un outil pour transformer les menaces potentielles en opportunités pour le projet. Elle va ainsi au-delà de la simple gestion du risque. Avec un peu de discipline on parvient à prévenir les problèmes avant qu'ils ne se manifestent. L'important est d'être proactif et d'établir des relations durables avec les parties prenantes.

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Dialogue parties prenantes : définition et méthode dans le cadre de la RSE

Dialogue parties prenantes : définition et méthode dans le cadre de la RSE | Développement Durable, RSE et Energies | Scoop.it

Que recouvre la notion de dialogue parties prenantes appliquée au domaine de la RSE ? Quels sont les interlocuteurs concernés ? Comment faire ?

Stéphane NEREAU's insight:

Concernant la mise en place d’un dialogue parties prenantes cohérent et efficace, on peut se reporter au Guide méthodologique publié par le Comité 21 (« réseau des acteurs du développement durable »).

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Comment impliquer toutes les parties prenantes dans une décision ou un projet ?

Comment impliquer toutes les parties prenantes dans une décision ou un projet ? | Développement Durable, RSE et Energies | Scoop.it

La gestion par consensus est aujourd’hui très à la mode et une qualité exigée de tous les décideurs. Mais, comment arriver à développer un consensus efficace qui fait que les parties prenantes s’engagent, condition essentielle pour assurer le succès de toute décision ou projet?

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Management & RSE: Le Pacte de responsabilité : la RSE en mouvement ?

Management & RSE: Le Pacte de responsabilité : la RSE en mouvement ? | Développement Durable, RSE et Energies | Scoop.it
En quoi le pacte de responsabilité met-il en œuvre les principes et les modes de fonctionnement de la RSE (responsabilité sociale des entreprises) ? Le pacte et la RSE partagent-ils davantage que le mot qui leur est commun, celui de Responsabilité ? La mise en œuvre du pacte de responsabilité repose sur 4 principes constitutifs de la RSE, ce qui lui procure une forte proximité avec les approches de responsabilité sociale. Un pas supplémentaire pourrait même être franchi, avec l’intégration de la RSE comme une contrepartie possible au sein du pacte.
Stéphane NEREAU's insight:

La démarche partenariale portée par le pacte de responsabilité s’impose. Elle s’impose d’autant plus face à l’impasse que constitue l’épuisement de notre modèle de développement. L’entreprise ne peut plus durablement porter seule l’enjeu de la compétitivité ; les salariés celui du travail et l’Etat celui de l’emploi. Ces trois acteurs sont des « stakeholders », littéralement des « porteurs d’enjeux », qui doivent se saisir de la notion de responsabilité, c’est-à-dire se mettre en capacité d’apporter des réponses globales. Chacun d’entre eux doit sortir de son rôle convenu, dépasser sa posture stéréotypée pour tisser le compromis social, la politique contractuelle qui articule ce socle d’enjeux : compétitivité, travail, emploi.

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Wizness décrypte les enjeux du reporting RSE sur les réseaux sociaux

Wizness décrypte les enjeux du reporting RSE sur les réseaux sociaux | Développement Durable, RSE et Energies | Scoop.it
Les réseaux sociaux sont un formidable outil pour améliorer la transparence et l’engagement des parties prenantes dans les rapports Développement Durable.
Stéphane NEREAU's insight:

Je répondrais donc à l’interrogation d’Aron Cramer par une affirmation : Oui, les réseaux sociaux et la transparence sont l’avenir du reporting RSE, et d’une manière générale de pratiques marketing plus responsables. Je fais le pari que les entreprises qui gagneront sur le long-terme seront celles qui auront discuté de leurs réussites mais aussi de leurs enjeux avec leurs parties prenantes en permettant un « dialogue qui va réellement dans les deux sens », sans greenwashing ni langue de bois.

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Vigeo désigne huit top-performers en RSE parmi les entreprises cotées au Maroc

Vigeo désigne huit top-performers en RSE parmi les entreprises cotées au Maroc | Développement Durable, RSE et Energies | Scoop.it

Des progrès dans la quantité d’information sur la RSE et dans la structuration de son management mais le niveau de performance moyen reste bas.

Stéphane NEREAU's insight:

A part SNI à l’égard de ses grandes participations, les investisseurs n’exigent pas encore des entreprises cotées au Maroc de rendre compte de leurs indicateurs en matière sociétale, environnementale et de respect de l’éthique des affaires.

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Spécial Dialogue avec les parties prenantes

Spécial Dialogue avec les parties prenantes | Développement Durable, RSE et Energies | Scoop.it

Le développement durable appelle à la régénération des relations entre les acteurs, à des formats qui favorisent la co-construction de nouveaux modèles de fonctionnement des écosystèmes. Le dialogue avec les parties prenantes est une démarche au long cours qui permet d’instaurer un climat de confiance entre les différents acteurs, favorisant la mise en perspective d’intérêts divers et d’éventuelles contradictions en jeu. A condition d’être bien mené, il est source d’évolution positive pour l’organisation qui l’initie, et pour les parties prenantes qui les poussent à agir. Le dialogue avec les parties prenantes est ainsi devenu l’un des piliers d’une démarche de Responsabilité Sociétale d’Entreprise (RSE). Il conditionne la légitimité et l’efficacité des stratégies menées, sous réserve qu’il dépasse le simple exercice de communication et d’information.

Stéphane NEREAU's insight:

Parmi les adhérents du Comité 21, l’exemple pour 2012 de AFNOR Certification, EDF, La Poste, Sanofi, FIR, FNE, l’Institut RSE et Utopies pour la CONCERTATION DES PARTIES PRENANTES DANS L’ENTREPRISE, de l’Auvergne, la Franche-Comté, l’Ile-de-France, Nord-Pas de Calais, Rhône-Alpes, l’Allier, la Gironde, le Grand Nancy, Besançon, Carquefou, Colombes, Le Havre et Altamire pour le DIALOGUE PARTIES PRENANTES A A L’ÉCHELLE D’UN TERRITOIRE, de Décider ensemble, la Fondation Nicolas Hulot et l’Université de Nantes pour INFORMATION - FORMATION AU DIALOGUE PARTIES PRENANTES

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[Interview] Luke Nicholson : « Avec CarbonCulture, la RSE et le Digital Créent l’Engagement des Parties Prenantes »

[Interview] Luke Nicholson : « Avec CarbonCulture, la RSE et le Digital Créent l’Engagement des Parties Prenantes » | Développement Durable, RSE et Energies | Scoop.it

CarbonCulture est une plateforme digitale RSE conçue pour accompagner les personnes à utiliser les ressources naturelles plus efficacement, notamment sur leur lieu de travail et par Internet. L’objectif est de réduire la consommation de carbone, d’énergie, d’eau et le rejet de déchets de manière facile et amusante. Revenons sur les principes du projet et ses réussites avec Luke Nicholson, directeur de CarbonCulture, interviewé lors de Convergence 2013 où nous étions partenaire média du groupe GreenBiz.

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