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En cas d'accident nucléaire ou radiologique majeur, la France sera désormais dotée d'un nouveau dispositif, a annoncé, lundi 3 février, le secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale (SGDSN).
Stéphane NEREAU's insight:
SIMULATION DE SITUATION CATASTROPHE
Il vise aussi à « renforcer la sécurité de notre population en cas d'accident grave hors de nos frontières » ainsi qu'à « renforcer la capacité de réponse à un accident grave de transport, y compris dans le domaine maritime », selon le SGDSN.
Ce nouveau plan donne notamment aux pouvoirs publics la « capacité d'intervenir au-delà du périmètre des PPI si les effets d'un accident le nécessitaient », d'incorporer des « forces d'action rapides » ou encore de prendre en compte « la nécessaire continuité des activités économiques et sociales ».
Une partie de ce plan définit en particulier huit « situations types », d'une situation dite « d'incertitude » à des situations d'accident nucléaire avec rejets radioactifs, en passant par des accidents maritimes. Le nouveau dispositif a été testé, selon le SGDSN, lors d'un « exercice de grande ampleur qui simulait un accident sur une centrale nucléaire ».
Le site de Tricastin accumule incidents, fissures, et relargage incontrôlé de tritium. Et si l'accident arrivait ? Eh bien… ce serait (...)
Stéphane NEREAU's insight:
La possibilité d’accident n’est plus évoquée seulement par les enquêtes journalistiques, les riverains ou les associations anti-nucléaires. Elle est entrée dans les scénarios officiels. En 2012, par exemple, Jacques Repussard, directeur de l’IRSN (Institut de la radioprotection et de la sûreté nucléaire) l’expliquait très clairement : "Nous devons accepter que l’impossible puisse se produire". En mai dernier, Pierre-Franck Chevet, président de l’Autorité de sûreté nucléaire, indiquait que qu’une "anomalie grave" sur les réacteurs français "ne peut absolument pas être exclue, elle est même plausible". Depuis quelques années, la survenue d’un accident grave en France est même entrée dans la doctrine officielle, avec la création d’un "Comité Directeur pour la gestion de la phase Post Accidentelle d’un accident nucléaire ou d’une situation d’urgence radiologique" (Codirpa).
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SIMULATION DE SITUATION CATASTROPHE
Il vise aussi à « renforcer la sécurité de notre population en cas d'accident grave hors de nos frontières » ainsi qu'à « renforcer la capacité de réponse à un accident grave de transport, y compris dans le domaine maritime », selon le SGDSN.
Ce nouveau plan donne notamment aux pouvoirs publics la « capacité d'intervenir au-delà du périmètre des PPI si les effets d'un accident le nécessitaient », d'incorporer des « forces d'action rapides » ou encore de prendre en compte « la nécessaire continuité des activités économiques et sociales ».
Une partie de ce plan définit en particulier huit « situations types », d'une situation dite « d'incertitude » à des situations d'accident nucléaire avec rejets radioactifs, en passant par des accidents maritimes. Le nouveau dispositif a été testé, selon le SGDSN, lors d'un « exercice de grande ampleur qui simulait un accident sur une centrale nucléaire ».