Lors de son prochain colloque, l’Observatoire de la précarité énergétique, piloté par l’ADEME, va publier des travaux sur la précarité énergétique, redéfinie en fonction d’une série de critères et non plus par l’unique paramètre habituellement retenu : le fait que 10 % du budget de la personne ou du foyer est dépensé en factures d’énergie.
La précarité énergétique ne concerne pas le seul logement, mais s’étend à la mobilité et à la santé. Elle ne toucherait donc pas 4 millions de personnes comme l’indiquent les données de 2006, mais près de 20 % de la population. Il faut donc traiter ce problème et ne pas avoir peur du financement.