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La directrice du Bureau Afrique de l’Organisation des Nations unies pour l’environnement, Juliette Biao Koudenoukpo, a incité mardi 6 mars les gouvernants africains à suivre le modèle du Maroc, dont les nombreux projets de production d’énergie renouvelable sont autofinancés par le pays et ses habitants.
Ils voulaient sortir de la précarité et subvenir à leurs besoins alimentaires mais, au final, ils ont fait bien plus que ça : un très belle exemple de volonté collective.
La part des énergies renouvelables dans le mix électrique national a atteint 34% à fin 2017, a affirmé vendredi le président du directoire de l’Agence marocaine pour l’énergie durable (MASEN), Mustapha Bakkoury, rappelant que le Maroc s’était fixé comme objectif de porter la contribution de ces énergies à 42% du mix énergétique national en 2020 et à 52% en 2030.
Le barrage, situé dans la province d’Ouarzazate, est projeté sur l’Oued Drâa en aval des deux barrages existants, Tiouine et Mansour Eddahbi.
La présidente de la COP, Ségolène Royal, a envoyé un signal en direction de la communauté internationale pour hâter l'entrée en vigueur de l'Accord de Paris, à l'occasion de son expédition en Arctique du 17 au 21 août, aux côtés de l'explorateur et médecin Jean-Louis Etienne et du naturaliste Gilles Boeuf, conseiller scientifique de la ministre de l'Environnement sur les enjeux du réchauffement climatique. L'Accord de Paris ne deviendra effectif que lorsqu'il sera ratifié par 55 pays représentant 55% des émissions de GES.
Lord Sharman, envoyé spécial du Premier ministre britannique pour le commerce chargé du Maroc, à la tête d’une délégation spécialisée dans les énergies renouvelables, est attendu lundi au Maroc. Objectif: développer les partenariats dans ce domaine.
Le Maroc deviendra-t-il un jour un producteur d’or noir? Abdelkader Amara est venu, une fois de plus, éclaircir la vision du gouvernement sur un sujet longtemps débattu par les médias.
La première centrale thermo-solaire du Maroc, au coeur d'un vaste projet de développement de cette énergie pour un coût de sept milliards d'euros, entrera en fonction en 2015, a indiqué dimanche le principal responsable de ce programme.
Coup d’accélérateur pour la construction de parcs d’éolien du Maroc. Deux projets grandioses ont été lancés au mois de septembre dernier.
Le parc éolien de Tarfaya, dans le sud-ouest du Maroc, a enfin produit ses premiers kilowatts. Installé sur 10 000 hectares, il possédera 131 turbines et une capacité qui s’élève à 300 mégawatts. Le chantier lancé en 2012 devrait s’achever, dans son intégralité, en fin d’année.
Une nouvelle étape vient d’être franchie dans le programme solaire, avec le lancement d’un cluster qui regroupe les acteurs du secteur énergétique. Ce cadre pourrait contribuer à la réussite de l’intégration industrielle.
Dans le cadre de ses travaux relatifs à l’économie verte, le Conseil Economique, Social et Environnemental (CESE) a adopté, lors de sa 36e assemblée générale ordinaire tenue le 27 mars, le rapport intitulé «La gouvernance par la gestion intégrée des ressources en eau au Maroc : Levier fondamental de développement durable», fruit d’une auto-saisine. Le CESE y dresse un bilan sans concessions sur l’état de mise en œuvre de la stratégie nationale et propose une batterie de mesures pour rectifier le tir.
Le parc de Ouarzazate, première étape d'un méga-projet de développement de l'énergie solaire au Maroc, entrera en service à compter d'août 2015, selon un haut responsable marocain, cité mercredi par le quotidien L'Economiste. Les travaux de la première station thermo-solaire ("Noor 1"), officiellement lancés en mai 2013, "se déroulent conformément au planning prévu", a affirmé le patron de l'Agence marocaine de l'énergie solaire (Masen), Mustapha Bakkoury, lors d'une réunion présidée lundi par le roi Mohammed VI. Les premiers kilowatt-heures seront injectés dans le réseau électrique national à partir d'août 2015, a-t-il relevé, selon L'Economiste.
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D'ici 2020, le Maroc devrait atteindre son objectif de 42% d'énergies renouvelables dans le mix énergétique, a déclaré le président de l'Agence marocaine de l'énergie solaire (Masen), Mustapha Bakkoury lors d'un point de presse.
La part des énergies renouvelables dans le mix électrique national a atteint 34% à fin 2017, a affirmé vendredi le président du directoire de l'Agence marocaine pour l'énergie durable (MASEN), M. Mustapha Bakkoury, rappelant que le Maroc s'était fixé comme objectif de porter la contribution de ces énergies à 42% du mix énergétique national en 2020 et à 52% en 2030.
<p>Importée au départ par les multinationales, la RSE intéresse de plus en plus les entreprises marocaines. Plusieurs référentiels sont disponibles pour se conformer aux meilleures pratiques de la RSE.
Le Maroc a décidé d’un plan ambitieux sur le terrain des énergies renouvelables et prévoit de générer 42 % de son électricité à partir de sources d’énergie propre d’ici à 2020.
Le gouvernement marocain a adopté, fin juin à Rabat, un nouveau projet de loi portant création de l'Agence marocaine de l'énergie durable "Morocan Agency for Solar Energy" (MASEN) dans sa nouvelle version.
Savoie Technolac, l'Institut national de l'énergie solaire (Ines) et l'Agence marocaine de l'énergie solaire (Masen) ont signé une convention de partenariat d'accompagnement du Cluster solaire marocain, le 18 octobre à Ouarzazate.
Les USA deviennent excédentaires en énergies fossiles, le Brésil fonce sur le biofuel et l’hydroélectrique et le Maroc investit dans le solaire et l’éolien. Ces 3 exemples constituent des tendances lourdes du marché actuel de l’énergie débattues ce dimanche aux Atlantic Dialogues à Marrakech.
En effet, une enveloppe budgétaire de 19 millions de dirhams a été consacrée cette année au financement de six projets de recherche et développement appliqués dans ce secteur. Les conventions signées par le directeur général de l’Institut de recherche en énergie solaire et énergies renouvelables (Iresen), Badr Ikken, et des partenaires scientifiques et industriels, en mai dernier, ont fait suite à l’appel à projets InnoTherm 2013.
L’année 2014 a été particulièrement riche s’agissant des travaux et des investissements sur l’exploration des hydrocarbures. Pas moins de 27 forages sont en cours de réalisation, contre 4 seulement en 2013. Les investissements engagés par les compagnies étrangères dans l’exploration sont estimés à 5 milliards de dirhams, contre 2,3 milliards en 2013.
Nareva Holding a ouvert ses parcs éoliens aux médias. Une première. L’occasion pour apprécier de près l’ampleur des projets mis en service et ceux en cours de déploiement. En 2015, cette filiale de la SNI prévoit de contribuer à hauteur de 25% dans la réalisation de l’objectif national d’installer 2 000 MW d'éolien à l’horizon 2020.
«Les entreprises marocaines sont très peu impliquées notamment au niveau des quatre vecteurs de la notion de responsabilité sociale de l’entreprise (RSE), à savoir les conditions de travail et la relation avec les employés, les engagements communautaires, territoriaux et tout ce qui est lié au respect de l’environnement ». C’est l’une des déductions principales tirées par l’économiste Tarik El Malki dans son ouvrage «La responsabilité sociale de l’entreprise : le cas du Maroc» qu’il a présenté, jeudi, à Rabat.
Les premiers kilowatt-heures «solaires» seront injectés dans le réseau électrique du Maroc à partir d’août 2015, depuis la première station thermo-solaire dont les travaux ont démarré officiellement en mai 2013. Situé dans le sud du Maroc, le parc solaire d’Ouarzazate, dont le coût dépasse 600 millions d’euros, devrait générer 160 mégawatts (MW) dans une première étape, avant de passer à 500 MW, ce qui en fait l’un des plus grands projets solaires au monde.
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«Les pays membres de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) devraient profiter de l’expérience marocaine en matière de financement des projets d’énergies propres et ne pas se contenter des fonds étrangers qui font crouler le continent sous le poids des crédits à long terme, néfastes pour le développement durable au profit des générations futures», a-t-elle déclaré.