L’étude de la nature était une science qui autrefois n’attirait que des hommes bien que ses effets affectaient aussi la vie des femmes. Aujourd'hui, elles sont nombreuses les femmes à vouloir se battre contre le changement climatique et à atténuer les risques de catastrophes naturelles.
Elle a donc entrepris des études en gestion des catastrophes naturelles. Elle insiste sur l'importance de la prévention. «La variabilité climatique est un phénomène mondial et Madagascar n’est pas à l’abri. Déjà avec la pauvreté croissante dans le pays, la population est vulnérable. Face aux aléas climatiques comme les cyclones et les inondations, elle l’est davantage», explique-t-elle.