Après avoir analysé la pollution de l'air dans 17 villes françaises, l'INVS alerte sur les risques accrus de mortalité à court terme. Les risques cardiovasculaires sont en tête, comme le rappelait récemment la Société européenne de cardiologie.
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La pollution aux particules a des impacts sur la mortalité à court terme (5 jours). C'est ce que révèle une étude de l'Institut de veille sanitaire (INVS) publiée le 6 janvier dans le cadre du Programme de surveillance air et santé (Psas) et portant sur 17 agglomérations urbaines sur la période 2007-2010. Bien qu'aucune de ces villes ne dépasse la valeur réglementaire européenne pour les concentrations en PM10 (40 µg.m3), une augmentation de cette pollution atmosphérique entraîne une hausse de la mortalité dans les jours qui suivent. Cependant, rappelle l'INVS, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) préconise une valeur limite deux fois moins élevée : 20 µg.m3. Sur les 17 villes, seule Dijon respecte cette valeur.