15 hôtels du réseau hôtelier devraient communiquer sur l’affichage environnemental d’ici la fin de l’année. Une démarche complémentaire à la logique de labellisation que promeut Best Western depuis plusieurs années. Et un vrai « changement d’esprit »
Sur le modèle de ce qui existe déjà pour l’électroménager et le diagnostic thermique des logements, l’étiquette environnementale a été lancé lors du Grenelle 2 de l’Environnement. L’idée est d’informer le consommateur de l’impact sur l’environnement des différents produits qu’il s’apprête à acquérir et à le sensibiliser à la pertinence du Développement Durable. Appliquée aux services et notamment à l’industrie hôtelière, il s’agit d’informer le client de l’impact sur l’environnement que génère une nuit passée à l’hôtel avec petit déjeuner, pour une personne. Best western rappelle également que l’analyse prend en considération l’ensemble des dépenses énergétiques générées : chauffage de la chambre et des parties communes, eau chaude utilisée pour se laver, nettoyer les draps et les serviettes et préparer le café, l’électricité que consomme le four pour réchauffer les croissants du matin. De la même manière, la gestion et le tri des déchets fait l’objet de l’analyse. Tout comme l’utilisation de produits de nettoyage qui doivent être biodégradables. Par ailleurs, en s’approvisionnant en produits du terroir auprès de fournisseurs locaux, l’hôtelier réduit les coûts de transports.