Your new post is loading...
Your new post is loading...
Les industriels européens participant au système européen d'échange de quotas d'émission (UE-ETS ou SEQE) ont diminué d'environ 4,5 % leurs émissions de gaz à effet de serre (GES) en 2014, annonce la Commission européenne ce lundi 18 mai.
Le plan quinquennal de croissance verte, approuvé par les membres du gouvernement coréen, appelle à réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) de 56,76 millions de tonnes en 2018. Le gouvernement prévoit ainsi une diminution ses émissions de GES issu des industries local de 6,25 millions de tonnes pour l'année 2014. Il projette également de multiplier le volume de réduction annuel par neuf au cours des cinq prochaines années. Il s'agit du deuxième plan en la matière après celui promettant une diminution de 30% d'ici 2020 des émissions de GES, tel que le dioxyde de carbone, le méthane et le protoxyde d'azote.
Les scientifiques de l'Institut Alfred Wegener (AWI) [1] et du MARUM [2] ont pris part à une expédition à bord du navire de recherche Polarstern, dans le but d'explorer les fonds marins autour de l'île de la Géorgie du Sud [3].
Selon Oxfam, les émissions cumulées de gaz à effet de serre (GES) des dix plus grandes entreprises du secteur agroalimentaire sont si importantes que, s'ils formaient un pays, ces « dix géants » se placeraient au 25e rang mondial des grands pollueurs. Or ils sont loin d'en faire assez pour les réduire.
Le transport en commun n’étant que très peu utilisé à Trois-Rivières, l’émission de gaz à effet de serre (GES) est une réelle préoccupation. Pour contrer ce problème, les spécialistes en environnement concentrent leurs efforts dans trois secteurs, soit les véhicules de la Ville, le traitement des eaux usées ainsi que le transport relevant de la sous-traitance tel que le déneigement.
Suite au rapport national d'inventaire au titre de la CCNUCC rendu public le 15 avril dernier, la France a vu ses émissions de gaz à effet de serre diminuer de 12 % en 2012 par rapport au niveau de référence fixé par le protocole de Kyoto.
Des chercheurs de l’Université de Toronto auraient détecté un « nouveau » gaz à effet de serre hautement résistant, dont l’impact sur le réchauffement climatique serait bien supérieur à celui du CO2 : il s’agit du Perfluorotributylamine (PFTBA).
Le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, et la commissaire en charge du climat, Connie Hedegaard, ont annoncé mercredi 22 janvier leurs propositions sur le deuxième « paquet-climat-énergie » de l’Europe à l’horizon 2030.
La Commission européenne et le Parlement européen se sont mis d’accord pour réduire de 79 % les émissions d’hydrofluorocarbures (HFC) d’ici à 2030. Les réfrigérateurs et les appareils à air conditionné utilisent ces gaz dont le puissant effet sur le réchauffement climatique est connu. Les émissions de HFC comptent ainsi pour 2 % des émissions européennes de gaz à effet de serre. Ces HFC ont remplacé d’autres gaz réfrigérants, les CFC (chloro-fluoro-carbures), eux-mêmes interdits dans le cadre du protocole de Montréal, signé en 1987 et destiné à protéger la couche d’ozone.
Alors que la Conférence internationale sur le Climat de Varsovie (COP19) s’achève sur un bilan mitigé, la situation climatique de la planète, elle, se détériore. Pour de nombreux experts, il ne fait pas de doute que les politiques climatiques actuelles ne donnent pas des signaux suffisants pour diminuer les émissions de GES, ni même d’ailleurs pour ralentir leur taux d’accroissement.
Réuni en assemblée plénière à Batumi en Géorgie, le GIEC adopte la mise à jour de deux rapports relatifs aux émissions de gaz à effet de serre et engage les réflexions sur son futur cycle de production de rapports.
la nouvelle norme iso 14065 complète le dispositif de normes relatives à l'émission des gaz à effet de serre
Face aux effets de plus en plus manifestes du changement climatique sur les systèmes de production vivrière, il faut s'efforcer d'exploiter le potentiel de l'agriculture pour atténuer le réchauffement de la planète, recommande un nouveau document d'orientation de la FAO publié aujourd'hui.
|
Le Japon se fixerait comme nouvel objectif de réduire ses émissions de gaz à effet de serre de environ 26% d'ici 2030 par rapport aux émissions de 2005. Ce chiffre, ayant fait débat entre les ministères de l'environnement [1] et le METI [2], serait un compromis entre leurs demandes : l'un souhaiterait voir l'objectif placé à 30% de réduction en évoquant la responsabilité envers la communauté internationale tandis que l'autre désirerait qu'il soit placé sous les 20%, s'inquiétant des possibles conséquences négatives sur l'économie d'une trop forte réduction.
Le secrétaire général de l'Onu, Ban Ki-moon, a souligné mardi "l'importance d'un engagement européen de réduction des émissions de gaz à effet de serre de 40% dans la perspective de la conférence Paris climat 2015", lors d'un entretien avec François Hollande, selon un communiqué de l'Elyése.
Selon le New York Times, M. Obama va emprunter la voie administrative et non législative pour forcer les centrales électriques au charbon à réduire leurs émissions de CO2 jusqu'à 20%. Cette annonce est prévue lundi, assure le journal. L'idée est d'instaurer un plafond d'émissions de carbone au niveau national et de laisser chacun des 50 Etats américains décider comment atteindre ces objectifs, via le recours aux énergies renouvelables, et au besoin en instaurant un marché du carbone où s'échangent des "permis de polluer" accordés par l'Etat.
Les 36 pays développés engagés dans le protocole de Kyoto ont largement dépassé l’objectif fixé pour la première période, soit 5% d’émissions de gaz à effet de serre (GES) en moins entre 1990 et 2008-2012, selon une étude présentée ce 21 mai par deux chercheurs de CDC Climat. Reste à trouver un accord plus ambitieux pour la période 2013-2020.
Le ministère de l'Ecologie a mis en consultation un projet d'arrêté visant à modifier les prescriptions générales applicables aux installations classées pour la protection de l'environnement (ICPE) déclarées et soumises à contrôle périodique, fabriquant, employant ou stockant des substances appauvrissant la couche d'ozone. La consultation est ouverte du 24 avril au 15 mai 2014.
Les émissions de gaz à effet de serre (GES) ont stagné en France en 2012 par rapport à l'année précédente, malgré une hausse notable dans le secteur résidentiel essentiellement due à la météo, a-t-on appris vendredi auprès du Citepa, l'organisme officiel.
Un nouveau train d'orientation des politiques énergétique et climatique a été annoncé par la Commission européenne, qui renforce le cadre précédent sans pour autant adopter d'objectifs contraignants en matière d'ENR et d'efficacité énergétique.
De nombreuses villes européennes sont en train de changer, selon un nouveau rapport qui souligne de rapides transformations dans les transports urbains. Néanmoins, alors que le vélo et des transports publics performants deviennent la norme dans certaines zones urbaines, le secteur Européen des transports reste l’un des principaux responsables de niveaux excessifs de gaz à effet de serre, de pollution de l'air et de bruit, indique le rapport.
Des chercheurs de l'Université de Toronto ont annoncé la découverte d'un nouveau produit chimique dans l'atmosphère qui se révèle être un puissant gaz à effet de serre, agissant même à long terme.
La conférence de Varsovie a posé le cadre du futur traité international de réduction des gaz à effet de serre. L'Europe en ressort affaiblie.
Grâce à l'introduction du biochar [1] dans les sols agricoles, la composition et l'activité des micro-organismes du sol peuvent être modifiées de sorte que les émissions de protoxyde d'azote, un gaz à effet de serre aussi appelé gaz hilarant, soient réduites. Cette assertion a été démontrée dans une étude menée par des scientifiques du Centre de géosciences appliquées de l'Université de Tübingen (Bade-Wurtemberg), en coopération avec l'Université de Hohenheim (Stuttgart, Bade-Wurtemberg). Ces résultats ont non seulement une grande importance pour l'utilisation durable et efficace des engrais azotés dans l'agriculture, mais représentent également une possibilité de réduction des émissions de gaz à effet de serre à l'échelle mondiale.
Que le nucléaire civil tienne une place de choix dans la thématique "environnement" est une évidence. Les discussions dans ce domaine sont bien sur aussi anciennes que la technique elle-même, mais depuis quelques années l'éventualité d'un recours accru à l'électronucléaire pour aider à une baisse rapide des émissions de gaz à effet de serre a donné un nouveau souffle à ce débat. C'est généralement le côté négatif de cette technique qui est souligné : le discours le plus fréquemment relayé par les media est de considérer que le nucléaire civil est potentiellement porteur de désagréments qui ne cèdent en rien à ceux du changement climatique, et donc qu'il faut se passer de cette marge de manoeuvre pour faire baisser les émissions de gaz à effet de serre.
|
Les émissions de GES des quelque 11.000 centrales électriques et installations de production situées dans les 28 Etats membres de l'Union européenne (UE), en Islande, en Norvège et au Liechtenstein, se sont élevées à 1.812 millions de tonnes équivalent CO2 en 2014.