Your new post is loading...
Your new post is loading...
Paris - La France doit réduire sa consommation d'énergie de 30% d'ici à 2035 et accélérer massivement l'essor des renouvelables pour atteindre ses objectifs de transition énergétique, a estimé mardi l'Agence pour le développement et la maîtrise de l'énergie (Ademe).
Le couple franco-allemand traverse une période compliquée. Les propositions françaises sont écartées par Berlin et le fameux moteur franco-allemand peine à retrouver sa place en Europe. Curieusement, l’écologie est aussi un autre terrain sur lequel les choix divergent. L’objectif de réduire les émissions de CO2 est le même, mais les méthodes employées diffèrent grandement. Les questions se posent de part et d’autre du Rhin, mais les inquiétudes semblent bien plus justifiées du côté allemand.
Selon un rapport publié par le Forum économique mondial, la France se positionne à la 9e place des pays les mieux préparés pour la transition énergétique globale, dans un classement largement dominé par l'Europe du Nord et de l'Ouest.
En France, le biogaz étudié comme sésame de la transition énergétique. Un article de notre partenaire, La Tribune.
L'UE va débourser 578 millions d'euros pour financer le projet d'interconnexion sous-marine dans le Golfe de Gascogne. Son coût global est estimé à 1,75 milliard d'euros.
L'université de Yale a dévoilé mardi son classement bi-annuel de l'Indice de performance environnementale, basé sur 24 critères.
La France reporte ses efforts de réduction des émissions de CO2, déplore un rapport du ministère de l'Environnement. Peu d'avancées ont été enregistrées ces quatre dernières années. Le respect de l'engagement pour 2050 est compromis.
Objectifs souvent audacieux. Mais rarement atteints. Telle pourrait être résumée l’évaluation de la politique environnementale française publiée, ce lundi 11 juillet, par l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). Un mauvais bulletin de note qu’a finalement refusé de recevoir Ségolène Royal qui a finalement délégué Laurence Monnoyer-Smith, Commissaire générale au développement durable.
Les énergies renouvelables ont représenté l'an dernier 14,9 % de la consommation d'énergie.
La présidente de la COP, Ségolène Royal, a envoyé un signal en direction de la communauté internationale pour hâter l'entrée en vigueur de l'Accord de Paris, à l'occasion de son expédition en Arctique du 17 au 21 août, aux côtés de l'explorateur et médecin Jean-Louis Etienne et du naturaliste Gilles Boeuf, conseiller scientifique de la ministre de l'Environnement sur les enjeux du réchauffement climatique. L'Accord de Paris ne deviendra effectif que lorsqu'il sera ratifié par 55 pays représentant 55% des émissions de GES.
Le gestionnaire du Réseau de transport d’électricité (RTE) a publié le 3 février dernier le bilan électrique 2015, rapport détaillant notamment les évolutions de consommation et de production d’électricité en France. Analyse de ce document attendu chaque début d’année, qui permet d’apprécier l’engagement de la France sur la voie de la transition énergétique.
L’organisation économique internationale souligne les progrès réalisés depuis dix ans par la France, mais met en évidence les points noirs de la pollution de l’air et de l’eau.
En 2014, la consommation régionale d’électricité en région Provence-Alpes-Côte d’Azur baisse de 5% en raison de températures très douces. Corrigée de cette variable climatique, elle a cependant augmenté de plus de 3% depuis 2006. Constituée à 79% d’énergies renouvelables, la production régionale d’électricité représente 43% de la consommation régionale, avec 16 TWh. La région PACA a donc recours à l’électricité produite ailleurs et acheminée par le réseau de transport d’électricité pour couvrir 57% de sa consommation. Elle se place également en tête de la production photovoltaïque pour la 4ème année consécutive, avec 1013 GWh. D’ici 2018, RTE prévoit d’investir 647 M€ dans la région, notamment pour rénover l’alimentation électrique des Hautes-Alpes, sécuriser celle des zones urbaines, renforcer les secours entre régions et accompagner le développement des énergies renouvelables.
|
Alors que la première éolienne flottante française va être installée au large du Croisic, une équipe de chercheurs français vient de publier des résultats prometteurs pour exploiter une autre forme d’énergie, moins connue, l’énergie osmotique.
Une étude publiée ce 14 mars par le Forum économique mondial classe 114 pays selon la qualité de leur transition énergétique. Tout en décernant de bons points à l’Europe du Nord et de l’Ouest et en reconnaissant les progrès accomplis par les États-Unis et la Chine, ses auteurs déplorent des progrès trop lents à l’échelle mondiale.
Un accord-cadre de coopération internationale avec l’Université Nationale Sun Yat-Sen de Taïwan et l’Université d’Aix-Marseille a été signé vendredi 26 janvier 2018, pour la mise en place d’un système d’alerte des vagues scélérates.
RTE publie le bilan de la production et de la consommation électrique de la France en 2017. Les marqueurs de la transition énergétique s’accentuent. Des données importantes en vue du débat public sur la programmation pluriannuelle de l’électricité 2018-2023 qui débutera le 15 mars.
Si l’Europe se rapproche petit à petit des objectifs annoncés en part d’énergies renouvelables dans la consommation totale d’énergie de l’Union, les progrès réalisés jusqu’à présent restent encore très inégaux selon les pays. Selon une étude de l’office européen de statistique Eurostat publiée jeudi 25 janvier 2018, la France, les Pays-Bas et l’Irlande seraient toujours les trois pays les plus éloignés de leurs objectifs.
La France n'a pas tenu ses objectifs d'émissions de gaz à effet de serre en 2016, selon le premier bilan provisoire publié lundi par le ministère de la Transition écologique, des résultats qui «appellent à une réaction», indique le ministère. Après avoir atteint «sans marge son objectif de 2015, la France a émis 463 millions de tonnes de gaz à effet de serre (en équivalent CO2) en 2016, soit 3,6% de plus que ce qui était prévu, le dérapage venant essentiellement des secteurs du transport et du bâtiment.
La France, premier Etat de l'Union européenne à avoir ratifié, en juin, l'accord de Paris de décembre 2015
Sans un effort accru, la France n’atteindra pas les 23% de consommation d’énergie renouvelable en 2020, comme elle s’y est engagée en 2009 auprès de la Commission européenne.
Le rythme de développement des renouvelables en France n'est pas suffisant pour atteindre l'objectif européen de 23% de la consommation énergétique en 2020. L'éolien ainsi que la chaleur et le froid renouvelables affichent un retard conséquent.
Les énergies renouvelables ont représenté l’an dernier 14,9 % de la consommation d’énergie, selon une étude du ministère de l’Environnement.
Destinée à promouvoir le savoir-faire français à l'international, cette brochure présente l'expertise française publique et privée dans le secteur des Smart Grids. Ce document a été élaboré par l'ADEME en partenariat avec le ministère de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie, et en collaboration avec les principaux organismes impliqués dans le secteur des Smart Grids.
Le développement des énergies renouvelables (hydraulique, solaire, éolien, biomasse) est une gageure dans un pays tout entier voué au nucléaire. Et pourtant, la France se classe aujourd’hui dans les dix premiers pays du monde. Une incroyable course d’obstacles pour parvenir à cette performance. Mais la bataille est loin d’être terminée.
|
L'Agence a publié mardi ses propositions dans le cadre du débat public sur l'élaboration de la feuille de route énergétique du pays pour les périodes 2019-2023 et 2024-2028, qui doit aboutir d'ici à la fin de l'année à un texte définitif.