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En quelques années, les États-Unis sont devenus les rois du pétrole. L’Energy Information Administration (EIA) table sur une moyenne de 12,45 millions de barils produits par jour en 2019 et 13,38 en 2020. « La production américaine de pétrole est 2,5 fois plus importante qu’en 2008 », https://www.cnbc.com/2019/03/10/oil-shale-booms-seismic-event-us-to-become-net-exporter-of-crude.html »>calcule Daniel Yergin, de la société de consulting IHS. Si bien que le pays est devenu le premier producteur mondial, devant la Russie et l’Arabie saoudite. D’ici quelques années, il devrait même devenir exportateur net.
Est-il possible de produire notre électricité exclusivement à partir d’énergies renouvelables ? Cette question fait l’objet de débats plus ou moins policés dans la plupart des pays mais, aux Etats-Unis, elle peut conduire devant les tribunaux. Si c’est ainsi que doivent se conclure les controv
En Floride, une ville est uniquement alimentée par l’énergie solaire. Il s’agit de Babcock Ranch, un concept qui cherche à montrer l’exemple.
Le gouvernement américain va demander au Congrès d'effectuer une coupe claire de 72% du financement des énergie propres dans le budget 2018, a dévoilé mercredi le Washington Post, mettant en lumière la priorité accordée par l'administration Trump aux énergies fossiles.
Les émissions de gaz à effet de serre liés à la production dans le monde sont stables pour la troisième année consécutive. Mieux, ils ont reculé en 2016 aux États-Unis et en Chine. En partie grâce au gaz de schiste.
Pékin et Washington ont annoncé le 3 septembre la ratification par leurs pays de l’accord de Paris sur le climat. Une nouvelle saluée par la presse, même si certains soulignent que les engagements restent très insuffisants.
On assiste depuis le début de l'année à une série d'annonces de grands groupes américains visant à développer des projets en lien avec la production d'énergie propre. Des géants comme Apple, Google, et même McDonald investissent lourdement sur la mise en place d'infrastructures 100% "green". Une véritable vague verte alors que les directives gouvernementales américaines se font attendre.
"Les États-Unis et la Chine produisent 35% des émissions de gaz à effet de serre dans le monde, s'ils adoptaient les mesures existantes les plus efficaces, ils se positionneraient dans la bonne voie pour limiter la hausse de la température du globe à 2°C", souligne dans un communiqué, Bill Hare de Climate analytics, l'un des auteurs du rapport Carbon action tracker.
Depuis les années 2000, les Technologies de l'Information et de la Communication prennent une place croissante dans notre vie. A l'image de la banque ou même de la santé, elles sont devenues indispensables au bon fonctionnement de certains secteurs d'activités. L'industrie manufacturière n'échappe pas à cette tendance de fond. Au même titre que la machine à vapeur, l'électricité ou l'automatisation ont révolutionné la production industrielle au cours des deux derniers siècles, les TICs et les technologies Big Data bouleversent eux aussi les secteurs productifs.
LE PLUS. Depuis plusieurs années, les États-Unis produisent des hydrocarbures non-conventionnels : gaz et pétrole de schiste. Certains pensaient que cette nouvelle source d'or noir allait chambouler la politique étrangère de Washington. Surtout avec le Moyen-Orient. Mais est-ce aussi simple ? Réponse de Bastien Alex, chercheur à l'Iris, spécialiste des questions énergétiques.
Le Nord-Est des Etats-Unis est une région particulièrement exposée aux problèmes environnementaux. Avec environ 64 millions d'habitants, soit plus d'un cinquième de la population américaine, c'est l'une des plus grandes zones urbaines au monde. De plus, la plupart des infrastructures sont concentrées sur la côte, ce qui les rend très vulnérables face aux intempéries et aux inondations. L'ouragan Sandy, qui a frappé New York à l'automne 2012, a éveillé les consciences sur la gravité de la situation. En raison du changement climatique, ces événements climatiques extrêmes pourraient devenir plus fréquents et plus intenses. Il devient donc urgent de prendre des mesures pour anticiper les menaces à venir.
Pour la troisième fois en trois ans, la Californie connait une sécheresse sans précédent. Outre les conséquences immédiates pour les agriculteurs et la population californienne, des implications à plus long terme doivent être signalées. De nombreux personnalités, notamment des scientifiques américains ou encore l’homme d’affaires français Richard Attias appellent les Etats-Unis à plus de prudence.
La première centrale solaire équipée de la technologie de batterie en flux redox a été inaugurée le 23 mai dernier dans la ville de Turlock en Californie. Développé par la société américaine Enervault, ce dispositif permet de stocker de l’énergie sur une période courte mais suffisante pour faire face de manière plus optimale aux pics de consommation d’électricité. Une technologie majeure qui se présente comme une des solutions de stockage des énergies intermittentes solaires ou éoliennes.
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D’ici 2020, les nouvelles maisons californiennes devront être équipées de panneaux solaires. Cette mesure est inédite aux Etats-Unis.
La société d’investissement française Ardian s’est associée à la société américaine Transatlantic Power Holdings (TPH) pour créer une entreprise dédiée aux énergies renouvelables aux Etats-Unis, selon un communiqué publié lundi.
En 2017, les États-Unis ont pour la première fois (en moyenne annuelle) importé moins de pétrole brut que la Chine, dont les importations ont plus que doublé au cours de la dernière décennie.
L'administration du président Donald Trump semble envisager de plus en plus sérieusement de maintenir les Etats-Unis dans l'accord de Paris sur le climat, sous la pression des grandes entreprises et au prix d'un nouveau retournement politique.
Selon le rapport « Electric Power Monthly » de l’Agence d’Information sur l’Energie (EIA), qui contient des données pour les six premiers mois de l’année 2016, une nette progression des énergies renouvelables a été constatée en un an dans le mix énergétique américain.
Les gaz à effet de serre émis par les avions commerciaux contribuent au réchauffement climatique et mettent en danger la santé publique et l'environnement, conclut lundi l'Agence américaine de protection de l'environnement (EPA), ouvrant la voie à une réglementation de ces émissions.
Le gouverneur de Californie Jerry Brown a entériné le dimanche 21 septembre 2014 l'instauration de nouvelles régulations favorisant l'achat de véhicules "propres" dans l'Etat qu'il dirige. L'objectif affiché est de mettre sur les routes californiennes au moins un million de voitures n'émettant pas de gaz à effet de serre, et ce avant le 1er janvier 2023. Pour parvenir à cet objectif ambitieux, il souhaite fournir des incitations financières aux foyers à revenus modestes pour les encourager à louer ou acquérir des véhicules électriques. Le covoiturage sera aussi favorisé dans les quartiers les plus pauvres.
Le stockage d'énergie distribué représente pour le secteur électrique un profond changement de paradigme". Tels ont été les propos tenus par Janice Lin, fondatrice de la CESA (California Energy Storage Association) lors de la conférence annuelle ESNA (Energy Storage North America), regroupant les 1er et 2 Octobre 2014 plus de 1500 professionnels du secteur de l'énergie à San José en Californie. Le succès de ce colloque, qui a vu en l'espace d'une année son audience doubler, confirme l'intérêt croissant porté à cette thématique outre-Atlantique. [1]
Les États-Unis prévoient former des anciens combattants pour qu’ils deviennent des installateurs de panneaux solaires d’ici les six prochaines années. La Maison-Blanche explique que cette formation fait partie des initiatives visant à réduire les émissions de dioxyde de carbone de près de 300 millions de tonnes d’ici 2030, en plus de permettre d’économiser des milliards de dollars en frais énergétiques pour les propriétaires de maisons et d’entreprises. Le programme sera lancé cet automne sur au moins une base militaire, et au moins 50 000 personnes, incluant des anciens combattants, recevront la formation.
La recherche dans le domaine des bioénergies constitue une priorité pour le gouvernement américain depuis le début des années 2000. Trois centres de recherche spécialisés dans ce domaine sont financés depuis 2007, regroupant de nombreuses équipes pluridisciplinaires de scientifiques et d'ingénieurs. Le Joint BioEnergy Institute (JBEI), près de San Francisco en Californie, vient d'annoncer la création d'une collection de glycosyltransférases, enzymes peu connues impliquées dans les processus de croissance et de développement des plantes. La cellulose créée par ces enzymes est le substrat nécessaire pour la production de biocarburant liquide, notamment le bioéthanol. La mise à disposition à la communauté scientifique internationale de cette collection doit permettre de multiplier les travaux de recherche sur ces enzymes.
Columbiana Hi Tech (CHT), une filiale d'Areva, a démarré la construction en Caroline du Nord d'un nouveau site qui renforcera considérablement sa capacité de production de conteneurs d'entreposage à sec pour les combustibles nucléaires usés.
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Les émissions de carbone ne sont pas en reste. Une étude de la National Oceanic and Atmospheric Administration s’est intéressée en 2012 aux émissions des puits de gaz du comté de Weld, au Colorado. Les chercheurs ont conclu que ces installations produisaient l’équivalent en carbone de un à trois millions de voitures. Ces émissions ne devraient pas baisser de sitôt : l’administration Trump est revenue sur les régulations environnementales mises en place par son prédécesseur, dont plusieurs s’attaquaient aux hydrocarbures de schiste. Sur les quelque 300 gazoducs et oléoducs en développement dans le monde, la moitié sont en Amérique du Nord. Rien que pour les États-Unis, une étude de Global Energy Monitor s’attend à ce que ces nouveaux pipelines soient à l’origine de 559 millions de tonnes de CO2par an d’ici à 2040.