Alors que les énergies renouvelables électriques (solaire, éolien, etc.) occupent une large part du débat politique et médiatique sur les énergies renouvelables, la production de chauffage renouvelable, qui réduit nettement les émissions de CO2, ne doit pas être oubliée, selon le ministre.
Jusqu’ici, lorsque l’on parlait de photovoltaïque, il était surtout fait référence aux panneaux classiques fabriqués avec des matériaux semi-conducteurs à base de silicium. Certains observateurs avertis étaient également au fait des cellules à « couches minces », solution plus économique en matière de coûts de fabrication mais avec des rendements plus faibles. A l’avenir, il faudra également compter avec une technologie beaucoup plus flexible : le photovoltaïque « organique » (couramment désigné par le sigle OPV). Il consiste à imprimer et à superposer des couches « actives » sur support plastique, les cellules organiques imprimées étant dérivées du carbone.