La dose journalière admissible de ce perturbateur endocrinien a été provisoirement divisée par dix, mais reste entre 1 000 et 2 000 fois supérieure à celle qui peut être dérivée des travaux de l'agence sanitaire française.
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Les expertises de l'EFSA et de l'Anses divergent donc d'un facteur 2 000 environ. L'agence française a annoncé, dans un communiqué du 17 janvier, qu'elle transmettrait avant le 13 mars ses commentaires à son homologue européenne.