La ministre de l'Ecologie Ségolène Royal a attribué mercredi le deuxième appel d'offres pour l'énergie éolienne en mer au consortium mené par GDF Suez.
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Les Médias en Chantier www.lmc.today's comment,
November 18, 2013 8:32 AM
Ils sont de plus en plus ridicules. Déjà, quand on a un pays composé de plusieurs milliers d'îles, ravagé régulièrement par des tremblements de terre et des typhons, on n'opte pas pour le nucléaire et surtout pas en bord de mer. Mais maintenant qu'ils abandonnent le nucléaire, quand on dispose d'un tel potentiel marin, on ne choisit pas l'inefficient éolien. Le Japon a un potentiel houlomoteur largement suffisant pour produire 5x leurs besoins, de manière bien plus régulière, moins inesthétique, tout autant technologique et de façon moins centralisée, plus simple à distribuer. Le nucléaire était une fumisterie ne visant que du développement économique, il en va de même pour l'éolien.
Stéphane NEREAU's comment,
November 18, 2013 9:03 AM
voir les différentes variantes des hydroliennes au vu de cet article: http://www.huffingtonpost.fr/guillaume-tixier/eel-energy-hydrolienne_b_4253061.html
Les Médias en Chantier www.lmc.today's comment,
November 18, 2013 9:17 AM
Un article intéressant, merci. Mais bien avant l'hydrolien, je parlais de houlomoteur. Moins cher, très simple à produire, en particulier en chantier naval puisque vous le relevez en haut. Très vite mis en oeuvre. Et quand on a 30'000km de côtes océaniques agitées à disposition, on ne devrait même pas se poser la question.
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Une nouvelle étape pour l'énergie éolienne offshore. La ministre de l'Ecologie Ségolène Royal a annoncé, mercredi 7 mai, l'attribution du deuxième appel d'offres pour la construction et l'exploitation d'éoliennes au large du Tréport (Seine-Maritime) et de Noirmoutier (Vendée). C'est le consortium emmené par GDF Suez qui a empoché la mise, prenant sa revanche sur le premier appel d'offres remporté par EDF. Les deux parcs devraient fonctionner à l'horizon 2023. Ils comprendront entre 62 et 100 éoliennes chacun, et seront capables de produire au maximum environ 1 000 mégawatts (MW) d'électricité. La France, qui ne dispose pas pour l'instant d'éoliennes offshores, se lance donc sur le marché.