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Parmi les mesures annoncées par le gouvernement pour réduire les volumes de déchets, figure la création d’un "indice de réparabilité" des produits de consommation courante. A rebours du "tout jetable", une économie du solide et du durable est de retour.
L'éco-organisme en charge des emballages et des papiers lance un programme de partage des innovations en matière d'éco-conception. Une initiative qui prend forme alors que les pouvoirs publics s'apprêtent à intervenir.
L’écologie terrestre se dégrade de jour en jour, les organismes de protection de l’environnement ne cessent de nous le rappeler. Néanmoins, ces avertissements semblent raisonner dans le vide, notamment pour les milliers d’industries qui continuent à produire encore et encore. Cette surproduction industrielle n’est pas sans conséquence. Elle entrainera fatalement l’épuisement total des ressources naturelles. L’industrie de la mode est la première concernée, du fait qu’elle est la seconde plus polluante au monde. Pour faire de la place dans le dressing pour les dernières tendances, des millions de consommateurs se débarrassent de leurs vêtements en bon état, engendrant ainsi des milliers de tonnes de déchets.
Pour aider les acteurs du secteur du bâtiment et de l’immobilier à mieux appréhender l’économie circulaire et agir, l’Alliance HQE-GBC publie « le cadre de définition de l’économie circulaire pour le bâtiment ». Ce document, fruit d’une co-construction interprofessionnelle forte et utilisable par tous, est co-signé par le Ministère de la Transition écologique et solidaire, le Ministère de la Cohésion des territoires, l’ADEME, le CSTB et l’Association OREE.
Le recyclage des déchets ressemble plus à une fin de vie pure et simple qu'à une finalité. Pour prolonger la vie des objets, tournons-nous de préférence vers cette économie circulaire, plus censée et réellement durable.
Missionné en début d’année par le ministère de l’Écologie pour identifier les freins à la transition économique, le groupe de travail piloté par Corinne Lepage a remis son rapport à Ségolène Royal ce lundi 15 juin. Parmi les cent mesures proposées, une fiscalité centrée sur les externalités environnementales, des labels pour mieux communiquer autour des entreprises "bas carbone", un fonds dédié à l’adaptation climatique et surtout un changement de cap majeur pour l’État.
La Regratterie a ouvert hier ses portes à Montmidi. Les Poitevins ont été nombreux à découvrir les lieux et surtout un nouveau système d’échanges.
Après cinq jours de débats sous tension, les députés ont terminé samedi 11 octobre au petit matin l'examen en séance du projet de loi sur la transition énergétique. Bâtiment, transports, économie circulaire, simplification et gouvernance : récapitulatif des principales modifications apportées au texte intéressant les collectivités, avant le vote sur l'ensemble du projet de loi prévu dans l'après-midi du 14 octobre.
Avec sa devise électronique, la plate-forme de partage française Mutum entend donner une nouvelle dimension à l'économie circulaire en France et bientôt à l'étranger.
En cette fin d’année 2014, plusieurs initiatives sont lancées pour valoriser l’éco-conception et le recyclage des matériaux de construction, avec le souci de toucher au plus près les PME.
La Chambre de commerce et d'industrie du pays d'Arles organise, aujourd'hui et demain, en partenariat avec son homologue marseillaise, le congrès national des CCI dédié au développement durable. Avec pour thème l'économie circulaire. Un sujet de plus en plus porteur. Entre les ateliers et conférences, la CCI d'Arles a convié l'astrophysicien franco-canadien Hubert Reeves comme "grand témoin". À 82 ans, celui que la France a découvert lors des fameuses "Nuits des étoiles" reste un militant infatigable de la cause environnementale.
L'exportation de pneus destinés à être rechapés ou vendus d'occasion est difficile car considérés comme des déchets. Si l'administration veut bien revoir ce point, elle veut des garanties quant à leur destination finale.
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Le Premier ministre Edouard Philippe présente sa feuille de route pour réduire les gaspillages et favoriser le recyclage.
Le gouvernement s’apprête à publier sa feuille de route sur l’économie circulaire. Parmi les principales mesures, la hausse de la taxe générale sur les activités polluantes, qui pèse sur les finances locales. Inquiètes, plusieurs associations d’élus ont adressé une lettre ouverte au président de la République.
Lancée mardi dernier, la seconde phase de consultation publique sur l’économie circulaire se poursuit. Après les premières propositions sur la partie « mieux gérer ses déchets », Brune Poirson, secrétaire d’Etat auprès du ministre de la Transition écologique et solidaire, a annoncé de nouvelles pistes de travail lors de son déplacement à Châlons-en-Champagne.
Le décret concernant les informations environnementales relatives à l'économie circulaire, à l'impact sur le changement climatique et à la lutte contre le gaspillage alimentaire destinées à être publiée dans le reporting extra financier des entreprises de plus de 500 salariés ou de de 100 millions d’euros de chiffre d’affaires a été publié ce dimanche 21 août.
Pour Antoine Frérot, le président directeur général de Veolia Environnement, l’économie circulaire, recyclage et valorisation des déchets sont les principales armes pour affronter le dérèglement climatique. Le recours à une redevance «carbone» est une nécessité afin de réduire le gap entre pays riches pollueurs et pauvres non pollueurs, une idée qu’il compte défendre à nouveau lors de la 22e édition de la Conférence des Parties (COP22) qui se tiendra à Marrakech en novembre prochain.
Dans le monde industriel, l'économie circulaire fait l'objet d'une attention de plus en plus vive. Certaines entreprises trouvent dans le recyclage l'opportunité de développer de nouvelles activités, d'autres cherchent dans l'éco-conception un moyen de reconstituer leurs marges, d'autres enfin y voient une occasion de repenser en profondeur leur organisation. L'image de marque n'est pas absente de ces préoccupations, mais l'économie circulaire est désormais un sujet industriel. Pour autant, beaucoup reste à faire pour la rendre pleinement opérationnelle. L'enjeu aujourd’hui est de l'amener à maturité.
Le Conseil national des déchets a mis la main finale au programme de réduction et de valorisation des déchets 2014-2020 qui prévoit de réduire de 30 % les mises en décharge et d'initier une véritable économie circulaire. Retour sur les mesures clefs annoncées par la ministre de l'Ecologie.
Alteo, l’ex-usine Péchiney de Gardanne, c’est d’abord une silhouette, tout droit sortie d’une BD futuriste des années 50 et qui s’impose à la ville. Et une couleur, ocre profond, débordant sur tous les alentours.
Les 2e Rencontres sur l'économie circulaire se sont clôturées par un constat général : «on a démontré que l'économie circulaire était un bon levier pour la croissance et la création d'emploi», confiait en conclusion le 1er vice-président de la CCI Toulouse 31 et président du Club d'entreprises du révélois (Ardiac).
Alors que certains la considéraient il y a peu comme une utopie, l'économie circulaire s'impose aujourd'hui comme une alternative économique efficace et durable, ainsi qu'en témoignent les initiatives qui s'en réclament dans les territoires. En terre du Lauragais et plus largement en Midi-Pyrénées, celles-ci sont nombreuses et attestent de la pérennité des nouveaux modèles permis par l'économie circulaire.
Le programme national de prévention des déchets 2014-2020 vient d’être signé par la ministre de l’écologie, il comporte un plan d’actions réalistes et ambitieuses dont la mise en œuvre va démarrer dès 2014.
Qu’est-ce que l’économie circulaire ? Quels liens avec l'économie sociale et solidaire (ESS) ? Pour répondre à ces questions, l'Avise et le webzine Say Yess ont réalisé une infographie interactive inédite.
Via la Fabrique Spinoza, Dorize REMY
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Ces deux exemples montrent bien le succès grandissant de tout un secteur de la réparation/ récupération. Selon l'Ademe, 100 millions de biens sont échangés tous les ans sur les sites et plateformes en ligne et le secteur de l'occasion pèse six milliards d'euros (hors automobile). C'est tout ce dynamisme qu'il faut désormais conforter pour entrer dans une économie vraiment circulaire.