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Le Dossier Médical Partagé ou DMP est enfin disponible pour tous les Français. Découvrez tout ce que vous devez savoir sur ce carnet de santé 2.0.
Via Lionel Reichardt / le Pharmageek
Tout en offrant l’une des plus larges couvertures du marché, la base de données sur les médicaments et les produits de santé Claude-Bernard est intégrée aux outils de prescription ou de dispensation des praticiens et accessible également sur Internet ou via smartphone et tablette. BCB répond aussi bien aux besoins exprimés par les acteurs hospitaliers qu’aux différentes typologies des GHT.
Via Lionel Reichardt / le Pharmageek
Les centres médicaux attendent beaucoup du digital, mais doivent combler d’importantes lacunes en termes de capacités pour se donner les moyens de leurs ambitions.
Via Vigipharm
Google is proving more and more medical diagnoses can be done using machine learning. Its latest looks at cardiovascular risk, but experts say it needs further tests before it can be used in real life.
Via Denise Silber, Anne Laure Zouater
PARIS (TICpharma) - La ministre des solidarités et de la santé, Agnès Buzyn, et le directeur général de la Caisse nationale de l'assurance maladie (Cnam), Nicolas Revel, ont présenté le 6 novembre la nouvelle mouture du dossier médical partagé (DMP), dont la généralisation doit conduire à équiper 40 millions de Français d'ici à 2022.
Via Lionel Reichardt / le Pharmageek
[UNION EUROPEENNE] Le transfert de données de santé entre différents pays de l’UE qui est déjà encadré par le RGPD pourrait bien s’élargir avec la création d’un dossier médical électronique européen pour chaque patient. Comme le signale cette publication de presse européenne, deux pays membres de l’UE préparent déjà la mise en place d’un système d’échange de dossiers médicaux électroniques. L’Estonie et la Finlande ont travaillé pour que les premiers échanges aient lieu dès la fin de l’année 2018. L’ambition affichée est d’étendre cette pratique à l’ensemble des pays membres de l’UE, comme l’a annoncé la ministre de la santé estonienne Riina Sikkut lors du forum européen de la santé de Gastein. Il semblerait d’ailleurs que des pays tels que la République tchèque, le Luxembourg et Malte travaillent également à la mise en place d’échanges transfrontaliers de dossiers médicaux électroniques. Côté français, cette question d’un dossier médical électronique européen ne semble pas encore avoir été franchement posée mais suivra probablement la mise en oeuvre du dossier médical partagé (DMP). Pourquoi créer un dossier médical électronique européen ? La raison du transfert des dossiers médicaux électroniques entre pays membres de l’UE tient dans la facilitation de la mobilité des citoyens au sein de l’Union. Actuellement, le passage d’un patient entre deux pays membres conduit régulièrement à ce que son dossier médical demeure dans le pays initial : toutes les informations sont « bloquées ». L’objectif est donc de mettre en oeuvre un dossier médical électronique uniformisé dans tous les pays de l’UE qui permette à toute équipe médicale en charge du patient de disposer des antécédents médicaux et de toute information utile sur sa santé. Cela signifie d’abord qu’un format de données unique, commun à tous les dossiers médicaux électroniques, devra être discuté et implémanté dans tous les pays membres de l’UE. Mais cela implique aussi que des discussions aient lieu au sujet du contenu précis des données de santé amenées à être proposées dans le cadre de ce dossier médical électronique européen. A l’heure actuelle plusieurs initiatives interétatiques ont été lancées pour vérifier le bon fonctionnement des échanges de dossiers médicaux électroniques mais nous sommes encore loin d’un mécanisme commun à tous les pays de l’UE. S’agissant de la situation française dans ce dossier, on peut se demander si le dossier médical partagé français (lancé uniquement dans quelques départements de France après des années de travail, souvenons-nous que le DMP est prévu depuis une loi datée du 13 août 2004) serait adapté à un tel transfert vers un autre pays membre de l’UE. Il faut espérer qu’après tant d’années de développement, ce DMP pourra être adapté aux éventuelles exigences du future dossier médical électronique européen.
Via Lionel Reichardt / le Pharmageek
Des chercheurs du Naval Medical Center et de DeepMind ont mis au point une solution capable de détecter des tumeurs métastatiques.
Via Vigipharm
Suite au rapport Villani sur l'IA, le rapport diligenté par Agnès Buzyn sur l'optimisation de la donnée de santé et de son exploitation vient d'être rendu. L' objectif est de faciliter l'accès et d'enrichir les données de santé, tant pour des besoins de recherche que pour des fins Business pour des industriels ou des startups. L'objectif est de disposer d'un premier "Produit Minimum Viable" (MVP) à Mi 2019, et lancement d'une première offre de service du Hub d'ici Fin 2019. Le groupe d travail est resté prudent sur la simplification de l'accessibilité aux Données recueillies dans ce Hub et il faudra suivre de près cette évolution, fortement attendue par les acteurs du Privé, tout en assurant bien entendu l'anonymiation et la sécurité des données d santé. Une emphase très importante a également été donnée autour du caractère "partageable" de ces données, élément clé pour une optimisation de leur utilisation et d leur traitement par de l'IA, pour accroitre encore l'efficacité des politiques de santé Publique,
SANTÉ - C'est ce qu'ont décidé la Caisse nationale d'Assurance maladie et l'Union nationale des professionnels de santé dans un accord signé jeudi. ...
Via Vigipharm
Anca Petre, co-fondatrice du cabinet de conseil 23 consulting, nous explique l’intérêt de la blockchain pour le secteur médical. Interview.
Cette médecine nouvelle, stimulante tant pour le professionnel de santé que pour l’usager de la santé, apporte indiscutablement des compétences médicales nouvelles et de nouveaux métiers de la santé. Cette médecine du XXIème siècle est porteuse de formidables espoirs de performance pour prévenir et guérir les maladies et améliorer la santé des populations. La Société Française de Télémédecine s'en réjouit.
N°4, Août 2018 Article rédigé par notre experte Anca PETRE (Co-fondatrice de la société 23 Consulting) spécialiste de la technologie de la Blockchain dans le secteur de la Santé Les « Distr…
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« Parler aux patients, se faire comprendre, convaincre de prendre son traitement et participer à la gestion quotidienne de sa maladie, imposent du professionnalisme et le respect de certaines valeurs essentielles aux premiers rangs desquels l’éthique… L’éthique dans la communication Santé s’impose...
Via Vigipharm
Alors que la législation américaine accélère dans l'encadrement de la technologie "in silico", en Europe, la reconnaissance de la simulation numérique dans les essais cliniques en est au niveau embryonnaire et menace de provoquer "une fuite des industriels européens vers les Etats-Unis", a estimé auprès de TICpharma Thierry Marchal, directeur santé de l’éditeur de logiciels de simulation Ansys et secrétaire général de l’Avicenna Alliance, un lobby chargé par la Commission européenne de porter les enjeux de la simulation dans le secteur médical.
Via Lionel Reichardt / le Pharmageek
Le pancréas artificiel DBLG1 de la start-up française Diabeloop a obtenu son marquage CE, en vue d'être commercialisé courant 2019.
Via Lionel Reichardt / le Pharmageek
La Sécurité Sociale discutée à l’heure de la fièvre Blockchain – Je ne vais pas vous raconter ma vie, mais pour contextualiser très vite, je traîne mes guêtres à l’occasion dans le milieu médical, du fait de mon statut de thérapeute de santé. Je suis aussi, sur le principe, allergique au Blockchain Bullshit. Pour autant, ne pas y voir d’intérêt immédiat ne dispense pas de rester curieux, puisqu’il semblerait bien que les gouvernements envisagent en premier lieu ce modèle de services publics tokenisés. Mise en contexte
Et curieux, je l’ai été quand j’ai vu passer les premières références à une potentielle application blockchain dans le domaine de la Santé, début janvier. À l’origine de cette initiative, le consortium Embleema. Mais quésaco ? Si vous êtes comme moi, là, vous êtes probablement en train de vous dire que c’est encore un groupe de développeurs étranges qui va vous demander vos précieuses cryptos dans un ICO louche pour prétendument aider les pauvres patients malades. Moi-même, j’étais un peu dubitatif au départ, voyez…
Comme je vous en parlais, Renan et moi avons profité du Paris Blockchain Day récent pour rencontrer certains entrepreneurs de la sphère crypto. Et parmi ces derniers, nous avons pu croiser des représentants de ce consortium, qui profitait de l’événement pour s’afficher et organiser une soirée débat avec des représentants du milieu médical français, du gouvernement et d’experts e-santé le même-jour. Conférence où nous nous sommes donc rendus, puisque nous souhaitions tirer un peu tout cela au clair.
Cassons le suspense d’office : non, le Ministère de la Santé n’envisage pas de déployer une Sécurité Sociale numérique blockchainisée sur la blockchain Bitcoin. Voilà, c’est dit. Dans le cas précis de la solution de stockage de dossiers médicaux numériques sur la blockchain et de marché secondaire des données de santé développée par Embleema, le système prendrait place sur une Blockchain Ethereum privée, avec cependant un switch prévu dans l’avenir sur une infrastructure plus rapide, de type EOS.
Via Dominique Godefroy
L’intelligence artificielle bouleverse le secteur de la santé, avec des applications à chaque étape du parcours de santé, du diagnostic aux soins. Yellow fait le point sur les avancées majeures.
Via Anne Laure Zouater
OpinionWay vient de réaliser une enquête auprès des français, dans le cadre du Baromètre Santé annuel du cabinet Deloitte. Quelques tendances se confirment dans ce baromètre de Début 2018, avec des disparités en fonction de l'environnement
Où en sont les laboratoires et la médecine préventive basée sur le digital? Quels sont les éléments clés de réussite de l'approche pour les laboratoires?
La digitalisation des entreprises est au cœur du débat médiatique depuis de nombreuses années. Elles doivent évoluer et s'adapter aux nouveaux usages pour rester compétitives, pour continuer à satisfaire les exigences de leurs clients et pour accompagner leurs collaborateurs à acquérir les nouvelles compétences
Via Lionel Reichardt / le Pharmageek
Le Conseil national de l'Ordre des médecins (CNOM) The National Council of Order of Physicians of Physicians (CNOM) préserver leur réputation numérique
L’intelligence artificielle va modifier en profondeur le secteur de la santé dans les années à venir car c’est un des secteurs qui génère le plus de données.
Via Lionel Reichardt / le Pharmageek
Comme à chaque rentrée (scolaire), je vous propose un récapitulatif des nouveautés et tendances du numérique de l’été 2018. Comme chaque année, il est beaucoup question des GAFA, mais aussi d…
Via Lionel Reichardt / le Pharmageek
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Très bon article didacticiel sur le nouveau Dossier Médical Partagé, son intérêt et le type d'informations qui y sont intégrées ou intégrables. La question : saura-t-il séduire les citoyens et les professionnels de Santé? #hcsmeufr #MBAMCI