Un peu d’hypertension artérielle, une prédisposition génétique à perdre ses cheveux jeune et une myopie qui va de mal en pis…
Pas exactement le genre d’informations agréables à dévoiler à qui que ce soit.
Pourtant, les données de santé sont cruciales pour faire avancer la science et la médecine.
A condition qu’elles ne tombent pas dans les mains de n’importe qui.
Comme par exemple des mutuelles qui pourraient faire grimper en flèche le prix ses prix pour un client qui aurait une mauvaise santé et qui serait plus coûteux à assurer.
La Fédération diversité et proximité mutualiste a organisé hier, le mercredi 14 mars, une journée de réflexion sur cette thématique.
Un bon moyen de faire un point sur la situation.
L’enjeu est considérable dans la santé, où nos données sont collectées en permanence par diverses applications (perte de poids, santé, arrêt de la cigarette), des objets connectés (montres, balances, podomètres) ou certains organismes (comme la Caisse nationale d’assurance maladie.) ...
Via
France Silver Eco
Cette notion d'#interopérabilité des #donneesdesanté est clé pour optimiser la qualité des parcours de soins. En France, l'ASIP mène des travaux dans ce domaine, avec encore beaucoup d'étapes à franchir. #hcsmeufr #preventionhealth