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HOW : La France est face à de grands enjeux en matière de santé. On a pourtant le sentiment que l’offre e-santé est peu développée dans notre pays. Pourquoi ?
Franck Le Meur : Il y a énormément d’innovation en France. Le pays est dans le top 3 ou 4 des pays les plus présents sur la e-santé, avec
Microsoft unveiled a new tool that allows healthcare organizations to create their own AI-powered chatbots and virtual assistants for various services.
The Microsoft Healthcare Bot is one of several new tools the company recently announced as part of its effort to transform “how healthcare is experienced and delivered.” The other tools unveiled were:
Microsoft 365 for healthcare organizations, which features new capabilities in Microsoft Teams that allow healthcare teams to communicate and collaborate in a secure hub. Azure API for FHIR (Fast Health Interoperability Resources), which enable health system interoperability and to share data in the cloud.
The Microsoft Healthcare Bot was first introduced in 2017 as a research project. Its features include healthcare intelligence, medical content and terminology and a built-in symptom checker. In a blog post, the company said the bot can also be used to help organizations to solve business problems and can connect to health systems, like electronic health records (EHRs).
The company also plans to discuss the new tools during the HIMSS conference in February in Orlando, Florida.
Via Dominique Godefroy
PARIS (TICpharma) - La ministre des solidarités et de la santé, Agnès Buzyn, et le directeur général de la Caisse nationale de l'assurance maladie (Cnam), Nicolas Revel, ont présenté le 6 novembre la nouvelle mouture du dossier médical partagé (DMP), dont la généralisation doit conduire à équiper 40 millions de Français d'ici à 2022.
Via Lionel Reichardt / le Pharmageek
Où en sont les laboratoires et la médecine préventive basée sur le digital? Quels sont les éléments clés de réussite de l'approche pour les laboratoires?
Suite au rapport Villani sur l'IA, le rapport diligenté par Agnès Buzyn sur l'optimisation de la donnée de santé et de son exploitation vient d'être rendu. L' objectif est de faciliter l'accès et d'enrichir les données de santé, tant pour des besoins de recherche que pour des fins Business pour des industriels ou des startups. L'objectif est de disposer d'un premier "Produit Minimum Viable" (MVP) à Mi 2019, et lancement d'une première offre de service du Hub d'ici Fin 2019. Le groupe d travail est resté prudent sur la simplification de l'accessibilité aux Données recueillies dans ce Hub et il faudra suivre de près cette évolution, fortement attendue par les acteurs du Privé, tout en assurant bien entendu l'anonymiation et la sécurité des données d santé. Une emphase très importante a également été donnée autour du caractère "partageable" de ces données, élément clé pour une optimisation de leur utilisation et d leur traitement par de l'IA, pour accroitre encore l'efficacité des politiques de santé Publique,
L’intelligence artificielle va modifier en profondeur le secteur de la santé dans les années à venir car c’est un des secteurs qui génère le plus de données.
Via Lionel Reichardt / le Pharmageek
Cette médecine nouvelle, stimulante tant pour le professionnel de santé que pour l’usager de la santé, apporte indiscutablement des compétences médicales nouvelles et de nouveaux métiers de la santé. Cette médecine du XXIème siècle est porteuse de formidables espoirs de performance pour prévenir et guérir les maladies et améliorer la santé des populations. La Société Française de Télémédecine s'en réjouit.
OpinionWay vient de réaliser une enquête auprès des français, dans le cadre du Baromètre Santé annuel du cabinet Deloitte. Quelques tendances se confirment dans ce baromètre de Début 2018, avec des disparités en fonction de l'environnement
Après un accord intervenu la semaine dernière entre la Sécurité sociale et les syndicats médicaux, des téléconsultation
Fitbit and Google have entered a partnership focused on better leveraging wearables and cloud-based technologies for digital health, the companies announced this morning. The effort will be largely focused on refining EHRs to give medical practitioners a comprehensive look into a patient’s health during treatment, according to a statement from Fitbit.
Via Lionel Reichardt / le Pharmageek
Ces derniers mois, les établissements de santé ont fréquemment été la cible de cyberattaques, ils figurent d’ailleurs en tête de liste des industries qui y sont le plus exposées (aux côtés, nous l’avions vu récemment, du secteur bancaire). Un tel attrait vers ces organisations s’explique par plusieurs raisons, mais la première d’entre elles réside dansRead More
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Un groupe de chercheurs de l'Université de Toronto a mis au point un système de nano-bots si précis et si efficace qu'il pourra diagnostiquer et traiter de nombreuses maladies mortelles, dont le cancer
Un système robotique lilliputien pour combattre les plus grandes maladies, c'est le projet pharamineux qu'ont mis sur pied le professeur Yu Sun et son équipe d'ingénieurs. En s'attachant à améliorer les « pincettes optiques » récompensés d'un Prix Nobel de Physique en 2018, l'équipe de recherche de Yu Sun a mis au point un système de nano-bots capable d'investir et d'explorer les cellules humaines avec une étonnante précision.
Une « perle » en nano-bot dirigeable en temps-réel Le système de nano-bots est d'une petitesse unique. Le système mis au point par les chercheurs de l'Université de Toronto s'inspire des « pincettes optiques » sondant les cellules à l'aide de lasers, qui ont valu un Prix Nobel à Arthur Ashkin. Mais ces pincettes ne sont « pas assez puissantes pour les manipulations mécaniques et les mesures » que l'équipe voulait mettre en œuvre. Grâce à des pincettes améliorées, les chercheurs peuvent placer une « perle » nano-bot 100 fois plus fine qu'un cheveu dans une cellule cancéreuse posée sur la lamelle du microscope. Une fois dedans, l'équipe peut « contrôler la position de la perle en temps réel » dans les cellules.
Via Dominique Godefroy
Régulièrement promise à un bel avenir depuis déjà plusieurs années, l’e-santé peine pourtant à prendre son essor. Retour sur les blocages qui empêchent son développement.
OpinionWay vient de réaliser une enquête auprès des français, dans le cadre du Baromètre Santé annuel du cabinet Deloitte. Quelques tendances se confirment dans ce baromètre de Début 2018, avec des disparités en fonction de l'environnement
[UNION EUROPEENNE] Le transfert de données de santé entre différents pays de l’UE qui est déjà encadré par le RGPD pourrait bien s’élargir avec la création d’un dossier médical électronique européen pour chaque patient. Comme le signale cette publication de presse européenne, deux pays membres de l’UE préparent déjà la mise en place d’un système d’échange de dossiers médicaux électroniques. L’Estonie et la Finlande ont travaillé pour que les premiers échanges aient lieu dès la fin de l’année 2018. L’ambition affichée est d’étendre cette pratique à l’ensemble des pays membres de l’UE, comme l’a annoncé la ministre de la santé estonienne Riina Sikkut lors du forum européen de la santé de Gastein. Il semblerait d’ailleurs que des pays tels que la République tchèque, le Luxembourg et Malte travaillent également à la mise en place d’échanges transfrontaliers de dossiers médicaux électroniques. Côté français, cette question d’un dossier médical électronique européen ne semble pas encore avoir été franchement posée mais suivra probablement la mise en oeuvre du dossier médical partagé (DMP). Pourquoi créer un dossier médical électronique européen ? La raison du transfert des dossiers médicaux électroniques entre pays membres de l’UE tient dans la facilitation de la mobilité des citoyens au sein de l’Union. Actuellement, le passage d’un patient entre deux pays membres conduit régulièrement à ce que son dossier médical demeure dans le pays initial : toutes les informations sont « bloquées ». L’objectif est donc de mettre en oeuvre un dossier médical électronique uniformisé dans tous les pays de l’UE qui permette à toute équipe médicale en charge du patient de disposer des antécédents médicaux et de toute information utile sur sa santé. Cela signifie d’abord qu’un format de données unique, commun à tous les dossiers médicaux électroniques, devra être discuté et implémanté dans tous les pays membres de l’UE. Mais cela implique aussi que des discussions aient lieu au sujet du contenu précis des données de santé amenées à être proposées dans le cadre de ce dossier médical électronique européen. A l’heure actuelle plusieurs initiatives interétatiques ont été lancées pour vérifier le bon fonctionnement des échanges de dossiers médicaux électroniques mais nous sommes encore loin d’un mécanisme commun à tous les pays de l’UE. S’agissant de la situation française dans ce dossier, on peut se demander si le dossier médical partagé français (lancé uniquement dans quelques départements de France après des années de travail, souvenons-nous que le DMP est prévu depuis une loi datée du 13 août 2004) serait adapté à un tel transfert vers un autre pays membre de l’UE. Il faut espérer qu’après tant d’années de développement, ce DMP pourra être adapté aux éventuelles exigences du future dossier médical électronique européen.
Via Lionel Reichardt / le Pharmageek
Des chercheurs du Naval Medical Center et de DeepMind ont mis au point une solution capable de détecter des tumeurs métastatiques.
Via Vigipharm
SANTÉ - C'est ce qu'ont décidé la Caisse nationale d'Assurance maladie et l'Union nationale des professionnels de santé dans un accord signé jeudi. ...
Via Vigipharm
Il y a déjà quelques semaines, Elsan, le groupe de cliniques privées, et Docapost, la filiale du groupe La Poste, ont annoncé un partenariat d’envergure dans le domaine de la e-santé.À l’occasion de l’Université d’été de la e-santé 2018, diverses précisions ont été apportées : 1 millions de patients...
Via Vigipharm
L’IA est la clé de lecture qui va nous permettre de traiter les données de santé pour en extraire la substantifique moelle au service des patients.
Via Festival Communication Santé
OpinionWay a réalisé le nouveau baromètre annuel santé de Deloitte. Les réponses en surprendront certains: les Français sont prêts à une tarification de la santé sur le comportement et sont déçus par la réforme du [...]
Via Lionel Reichardt / le Pharmageek
Philips a annoncé la création, en France, d’un centre d’expertise sur l’intelligence artificielle dans la santé. La nouvelle entité de l’industriel néerlandais sera dédiée à l’imagerie médicale, à la génomique et au développement des start-up. Il accueillera d’ici à cinq ans 50 salariés dans les locaux de son siège français, à Suresnes (Hauts-de-Seine). Les équipes seront composées de chercheurs et d’ingénieurs qui se consacreront aux maladies cardiovasculaires, à l’oncologie et aux maladies rares. Cette annonce s’inscrit dans le plan stratégique du gouvernement pour booster l’intelligence artificielle en France. Le montant de l’investissement n’a, lui, pas été révélé.
Via France Silver Eco
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Retrouvez l'ITW de @franck le Meur, CEO de @TechtoMed, par @Hello Open World. Une vision partagée sur l'impact de la Esanté pour optimiser le poids de la médecine préventive en France. #hcsmeufr #esante #preventionhealth