Par un arrêt du 23 novembre 2016, la chambre criminelle a affirmé que « l’ordonnance du juge des libertés et de la détention, qui se borne à se référer à la requête présentée par le procureur de la République aux fins de prolongation de la garde à vue, en application de l’article 706-88, alinéa 2, du code de procédure pénale, n’est pas conforme aux