Depuis, sa femme crie à l’injustice. Elle estime que les injonctions répétées de la mairie ont poussé son mari à commettre l’irréparable. Une version que Laurent Richard, le maire (LR) de Maule, réfute en bloc.
Cédric Guerdner sera inhumé, ce vendredi matin, à 10 heures, dans le caveau familial à Plaisir. Dimanche 28 mai, l’homme de 30 ans s’est levé comme chaque matin. Il s’est ensuite enfoncé de quelques mètres dans le petit bois jouxtant le terrain où il vivait. Son corps, pendu à un arbre par une sangle, n’a été retrouvé que le mardi suivant après-midi lors d’une battue organisée par ses proches. Les résultats de l’autopsie rendus ce mardi ont conclu à un suicide.
«Ça fait 5 ans que la mairie nous harcèle, accuse sa femme, Sandra Robert. Il ne dormait plus la nuit et pensait que ça ne s’arrêterait jamais. Il savait qu’au final, il allait tout perdre.» Issu de la communauté des gens du voyage, le couple et leurs trois enfants, tous scolarisés en primaire dans la commune de Maule -, s’est sédentarisé en 2010 après l’achat d’un terrain de 4 500 m2, rue du Moulin à Papier.
En 2014, la mairie a assigné la propriétaire du terrain en justice
Le problème, c’est que la parcelle en question est en zone naturelle et donc non constructible et, en théorie, non habitable. «On l’a achetée avec l’eau, l’électricité et la personne qui nous l’a vendue y vivait régulièrement et ça ne posait pas de problème…, peste Sandra Robert, submergée par le sentiment d’injustice. Depuis 2010, ça n’arrête pas. On nous a d’abord demandé d’enlever une caravane, puis les engins de travail de mon mari, un hangar dans lequel il travaillait, de réparer le portail, de replanter des arbres, mais pas n’importe quelle espèce…».
En 2014, la mairie a assigné Sandra, propriétaire du terrain, en justice. En janvier, la mère de famille a été condamnée à huit mois de prison avec sursis assortis d’une amende de 2000 €. En outre, si le terrain n’est pas entièrement remis en état, elle devra payer 200 € d’astreinte par jour de retard à compter du 24 juin. «Je leur avais donné deux mois de délai supplémentaire, indique Laurent Richard, le maire LR de Maule. Je comprends leur peine mais cet acte ne peut en aucun cas être entièrement lié à cette situation. Prétendre le contraire relèverait de la diffamation.»
Deux semaines plus tôt, précise An Luyten, porte-parole de La Croix Rouge flamande, le jeune demandeur d'asile venait de suivre les cours de respect des femmes, introduits par Theo Francken à la suite des évènements de Cologne.
"Garder à vue pour avoir témoigner mon amour pour l'humanité entière, puis convoqué au tribunal des sables d'olonne le 12 mars 2015 a 16h, pour fait d'apologie publique d'actes de terrorisme lors de la journée d'unité nationale du dimanche 11 janvier. Ayant appris la garde à vue de Dieudonné, j'ai pris la décision d'aller au commissariat le plus proche, afin de faire part que la gouvernance de mon pays s'apparente à une DICTATURE. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque pénétrant dans le commissariat , on me met en garde a vue! Le dimanche précédent , je m'étais joins au rassemblement d'UNITE nationale, suite à cet enchainement d’actes criminels traumatisants qui m'ont bouleverser, afin d'échanger avec mes semblables, témoigner de mon désir de paix. j'ai arboré un carton en 4 volets avec écrit dessus: JE SUIS CHARLIE JE SUIS HUMAIN JE SUIS KOUACHI JE SUIS LA VIE avec un coeur dessiné" (...)
"Nous sommes allés à la rencontre de Gilbert Abas ancien membre des renseignements généraux (devenu la DCRI) dénonce les réseaux pédo-sataniste qui agissent en toute impunité en France. Son expérience au sein des services de police en tant qu'agent de renseignement l'a poussé à continuer son combat maintenant qu'il est à la retraite. Une entrevue explosive pour comprendre le problème de ces réseaux qui prolifèrent en toute impunité avec le consentement de certains membres de l’institution judiciaire"
réfléchis: si on entend pas parler d'autres personnes que les pions comme Dutroux, dans ce réseau avéré, c'est bien qu'il y a complicité dans les sphères de l'exécutif et de la justice, que ce soit en Belgique, en France et ailleurs .. #pédocriminalité
Déclaration commune entre le SAF (Syndicat des Avocat de France) et le SM (Syndicat de la Magistrature) : Respecter le droit au logement opposable des personnes menacées d'expulsion
Alors que le Haut Conseil à l'intégration recommande d'interdire les signes religieux à l'université, des étudiantes musulmanes racontent les aléas du port du voile dans leur établissement.
Elles le portent sombre et strict, serré sous le menton ou noué sur la nuque, en voile ou en turban, fleuri ou assorti à leur tenue du jour, un tailleur ou une longue tunique unie, agrémenté de maquillage ou en toute sobriété. Passées par des lycées publics où le port du voile est interdit depuis 2004, ou scolarisées en lycées privés catholiques où il n'était pas forcément le bienvenu, ces jeunes musulmanes voilées suivent aujourd'hui des études supérieures ou viennent de terminer leur cursus.
Pour l'instant, la loi leur permet d'étudier ainsi, même si le Haut conseil à l'intégration recommande d'interdire les signes religieux à l'université [article en zone abonnés]. Mais dans le monde du travail, nombre de femmes se défont de leur foulard à la porte du bureau. En dépit des "peurs" et de possibles débats à venir sur le port du voile en entreprise, les jeunes femmes que nous avons interrogées se montrent relativement "optimistes". Elles parient sur leurs diplômes et "l'évolution des mentalités" pour trouver du travail.
Saïda Ounissi, 26 ans, doctorante en sciences politiques à Paris-I
Lorsqu'elle est entrée à l'université, Saïda a pensé que "cela allait être compliqué" d'étudier avec son voile. Finalement, un seul incident a émaillé sa scolarité. "En master 1, un prof m'a virée car il estimait que je prônais un "islam politique" ; j'ai porté plainte et l'affaire s'est réglée par la médiation au sein de l'université." Saïda se savait "dans son droit".
"Ça a donné lieu à des discussions et des étudiants m'ont dit qu'eux aussi pensaient que je dépassais les bornes. Ils se sont demandé s'il ne fallait pas étendre la loi de 2004 à l'université, au nom de la neutralité. Moi je n'ai jamais rien organisé à la fac alors qu'il y a une aumônerie catholique très active et le syndicat des étudiants juifs, l'UEJF ! Comme on se sent tout juste tolérées, on ne la ramène pas !"
La jeune femme au foulard strict achèvera sa thèse dans dix-huit mois ; elle regrette de ne pouvoir donner des cours de TD avec son voile : "C'est dommage, parce que j'étais boursière et j'ai coûté de l'argent au pays." Comme beaucoup de ses amies, elle espère que les mentalités vont évoluer. "On se dit toutes que cela va finir par arriver, car c'est une injustice de ne pas pouvoir travailler avec son voile."
"Aujourd'hui, pour moi, ce serait difficile, physiquement et psychologiquement, de l'enlever. Beaucoup de femmes qui travaillent dans la finance le font ; mon luxe est de savoir que je peux bosser ailleurs qu'en France." Saïda envisage de travailler dans une organisation internationale.
Marwa, 25 ans, orthoptiste en province
Tout au long de ses études et de ses stages, Marwa a jonglé entre les bandeaux, les bonnets, les bandanas, les serre-tête, les accessoires de mode lui permettant de dissimuler ses cheveux. "Pour moi, il était important de porter le voile, tout en étant intégrée professionnellement. C'était une manière de sortir du cliché "femme voilée = femme au foyer"".
Elevée dans la campagne normande, Marwa a choisi une profession libérale "en partie à cause du voile. Je savais que cela me simplifierait la vie". Installée depuis deux ans dans le centre d'une ville de province avec une collègue non musulmane, elle porte le voile noué sur la nuque. "Tant que je fais bien mon travail, cela ne pose aucun problème aux patients, même si, vu la société dans laquelle on vit, les gens sont parfois méfiants", assure-t-elle. Elle trouve "un peu fatigant tous les débats sur le voile". "On est Françaises, on aimerait être considérées comme tout le monde, sans avoir toujours à se justifier."
La célèbre enquêtrice du réseau pédocriminel est enfin libre...
« Mais elle a interdiction d’entrer en contact avec [aucun des autres enquêteurs] ! Elle n’a pas le droit d’utiliser internet et de parler de pédophilie. Elle n’a pas le droit d’être sur le territoire français ! Elle tient à remercier tous ceux qui l’ont soutenue ! ... » (La licorne) –
Véritable « saga judiciaire » (Anne Leprieur, « Chronique – Chambre Criminelle », in Recueil Dalloz, 2012, n° 2, p. 171), l’enjeu de la motivation des arrêts de cours d'assises vient de connaître à Strasbourg un énième nouvel épisode. Sans constituer un réel rebondissement, la série de cinq arrêts rendus le 10 janvier 2013 ajoute une pierre supplémentaire à un édifice juridique déjà riche en prises de positions jurisprudentielles et décisions législatives...
Conditions de détention des personnes psychotiques. En dépit des efforts que peuvent déployer les autorités dans la prise en charge d’un détenu atteint de graves troubles mentaux, l’alternance entre séjour en institut psychiatrique et séjour en milieu carcéral constitue un traitement inhumain et dégradant...
C'est gratuit et c'est sans frais ! (...) On peut continuer à démolir les enfants, la justice ne va pas tellement s'y opposer... Ca c'est terrible ! (Maître Jean Pannier à propos du traitemetn par les instutions judiciaires de l'aliénation parentale -18 000 enfants concernés : c'est devenu un problème sanitaire majeur, certains parlent de "point de non retour"... Aux citoyens maintenant de s'intéresser activement au problème)
"L'animateur de France 2 avait comparé la présidente du Front national a un étron au cours dans son émission On n'est pas couché en 2012.
Marine Le Pen a obtenu gain de cause en cassation ce mardi après avoir été déboutée à deux reprises contre l'animateur Laurent Ruquier qui avait montré un dessin la comparant à un étron. Mais la présidente du Front national a également perdu définitivement dans deux autres affaires, a révélé vendredi une source judiciaire.
En 2012, Laurent Ruquier avait montré, parmi d'autres affiches électorales imaginaires parues dans l'hebdomadaire satirique Charlie Hebdo, un dessin représentant un étron fumant avec le slogan "Le Pen, la candidate qui vous ressemble".
La présidente du Front national avait été déboutée en première instance comme en appel, mais avait formé un pourvoi en cassation. Estimant que les limites de la liberté d'expression ont été dépassées, la Cour a ordonné la tenue d'un troisième procès, devant la cour d'appel de Paris, mais autrement composée, selon la décision consultée par l'AFP. Marine Le Pen perd en cassation contre Nicolas Bedos
Dans l'émission On n'est pas couché du 5 novembre 2011, Laurent Ruquier avait montré les arbres généalogiques de plusieurs personnalités politiques, dont celui de Marine Le Pen, en forme de croix gammée. En première instance, la présidente du parti d'extrême-droite avait fait condamner pour injure l'animateur et le PDG de France Télévisions, qui avaient fait appel et ont finalement été relaxés. Marine Le Pen avait alors formé un pourvoi en cassation, qui a été rejeté. Marine Le Pen est ainsi définitivement déboutée.
La présidente du Front national avait également porté jusque devant la plus haute juridiction une affaire l'opposant à l'humoriste Nicolas Bedos. Celui-ci l'avait qualifiée de "salope fascisante" dans l'hebdomadaire Marianne. Ne poursuivant que le terme "salope", Marine Le Pen avait perdu en première instance comme en appel et a aussi perdu en cassation."
Après la démission de Christiane Taubira, le président de la République a nommé pour la remplacer Jean-Jacques Urvoas. Après "Madame Droits de l'homme" place à "Monsieur Sécurité"?
"Selon nos informations, la ministre de l'Education nationale Najat Vallaud-Belkacem réfléchirait à la mise en place d'un numéro vert, pour soutenir les élèves, parents, et professeurs confrontés au racisme ou à des entorses à la laïcité dans le cadre scolaire." (...)
L’art. 14 de la loi n° 2013-404 du 17 mai 2013 ouvrant le mariage aux couples de personnes de même sexe habilitait le Gouvernement à prendre par voie d’ordonnance, dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la loi les mesures nécessaires pour, notamment, adapter l’ensemble des dispositions législatives en vigueur, à l’exception de celles du code civil, afin de tirer les conséquences de l’application aux conjoints et parents de même sexe des dispositions applicables aux conjoints et parents de sexe différent.
En votant la loi de programmation militaire pour les années 2014 à 2019, la France a-t-elle adopté un Patriot Act ? Si l’on en croit l’analyse du journaliste Laurent Borredon parue dans Le Monde du 13 décembre, la réponse est non. Cette loi, nous dit-il, « s'efforce au contraire de clarifier et d'adapter notre droit à des évolutions technologiques qu'on pouvait à peine soupçonner lorsque la loi de 1991 sur les interceptions de sécurité (les écoutes par les services de renseignement, aussi appelées écoutes administratives) a été adoptée. De manière imparfaite, certes, mais sans justifier un tel tollé ». Je ne suis pas sûr qu’il ait raison, car, sous prétexte de mieux encadrer, on ne fait qu’ouvrir la porte à une surveillance généralisée des citoyens.
Alors que la date de l'élection du futur président du Medef approche, les candidats rivalisent d'imagination pour proposer des solutions de plus en plus ... précaires pour les salariés. Dernière idée en date : Créer des mini jobs à la française en s'inspirant de leur très controversés modèle allemand.
Petites combines d'élus ou pots-de-vin des gros contrats à l'export: la France est loin d'être exemplaire. Pire: elle est l'un des mauvais élèves de l'Europe, d'après les récents rapports de l'OCDE et de l'association Transparency.
Cet essai consacrée à l’organisation du renseignement en France est une contribution au débat. Elle souhaite l’ouvrir et non le clore, dans la perspective du prochain quinquennat. Le renseignement s’accommode mal des idées définitives. C’est la raison pour laquelle la première partie, consacrée à la coordination et au pilotage politique, se présente sous la forme « d’options » qui appellent un arbitrage présidentiel. Elle met en évidence la nécessité d’un dialogue structuré et confiant entre pouvoir politique et services. La seconde partie s’attache à définir les contours de ce que pourrait être une communauté du renseignement. La réflexion porte sur sa composition, les missions qui la structurent et, plus concrètement, sur sa possible traduction dans l’architecture budgétaire...
>>>> Rapport à télécharger sur le site de la Fondation Jean Jaurès
La cour européenne des droits de l’homme a condamné la France pour ses pratiques expéditives concernant les recours déposés par les automobilistes qui contestent leurs PV. Challenges a rencontré l’un des trois avocats qui vient d’obtenir gain de cause...
Les difficultés à faire respecter les droits des enfants poussent certains pères à des retranchements dans un combat du droit des pères, un combat perdu d'avance à la hauteur de l'indifférence vis à vis des souffrances muettes des enfants .. mère, père, justice, enfants - tous plongés dans une bataille qui en premier lieu rend les enfants victimes, dommage collatérale de l'entre-déchirement féministes ou masculinistes ; et nulle enfantiliste ici bas, pour leur rendre la justice dont il sont pourtant officiellement crédités ?? Mais qui pour la faire respecter ? http://affairesfamiliales.wordpress.com
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