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Rima Abdul Malak, ministre de la Culture, a présenté les grandes lignes de son budget pour 2024, qui atteint au global 11 milliards d’euros, en hausse de 599 millions d’euros. Au chapitre du très attendu budget de l’audiovisuel public, le ministère prévoit une allocation de 4,025 milliards d’euros (+6% en un an) au compte de concours financiers «Avances à l’audiovisuel public» alimenté en recettes par l’affectation d’une fraction de la TVA, en hausse de + 228 millions d’euros par rapport à l’an passé. Le budget concerne également les aides au pluralisme, qui viennent compléter les ressources des titres de presse qui ne disposent pas de recettes publicitaires suffisantes, une hausse du soutien à l'AFP et de la dotation du fonds de soutien à l’expression radiophonique locale (FSER) destiné à plus de 700 radios associatives, ainsi que le lancement d'un plan national de numérisation de la presse ancienne. Voir aussi
La ministre de la Culture, Rima Abdul Malak, annonce des "états généraux du droit à l'information" pour novembre. Lutte contre la désinformation, concentration des médias ou encore liberté de la presse seront au coeur de ce qui est une promesse de campagne du candidat Macron, visant à "lutter contre toutes les tentatives d'ingérence et (à) donner aux journalistes le meilleur cadre pour remplir leur mission essentielle". Voir aussi
En mars dernier, Emmanuel Macron a annoncé sa volonté d'inscrire dans le projet de loi sur le pouvoir d'achat la suppression de la redevance audiovisuelle. Une mesure qui inquiète les radios et chaînes de télévision qui craignent pour leur financement, mais aussi pour leur indépendance. Pour protester contre cette décision, ils ont appelé à cesser le travail ce mardi. Voir aussi
Alors que la redevance TV va disparaître, la Chambre Haute estime qu'il y a urgence à définir un projet stratégique pour l'audiovisuel public. Et propose plusieurs mesures chocs. Voir aussi
La suppression de la redevance audiovisuelle et son remplacement par un autre mécanisme de financement constitueront le premier chantier majeur de la nouvelle ministre de la Culture, Rima Abdul Malak. Voir aussi
La chaîne publique voulait imposer Anne-Sophie Lapix pour le débat de l’entre-deux-tours, mais s’est heurtée à l’hostilité de la candidate du RN à l’élection présidentielle. Avant cela, Patrick Cohen avait été écarté d’une émission phare de la campagne.
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PRÉSIDENTIELLE — Fausses infos, complotisme, médias orientés… Les menaces planent sur le débat citoyen. Un audiovisuel public fort semble essentiel à l’heure où Emmanuel Macron annonce vouloir supprimer la redevance et où les candidats d’extrême droite appellent à sa privatisation. (Article réservé aux abonnés) Voir aussi
La contribution à l'audiovisuel public tombe en même temps que la taxe d'habitation, à payer avant ce samedi 20 novembre. C’est la principale ressource de l’audiovisuel public. L’argent récolté via cette contribution va à France Télévisions, Radio France, Arte, l’Institut national de l’audiovisuel (INA) et France Médias Monde (qui réunit France 24, Radio France Internationale ou TV5 Monde). Autant de chaînes que l’on regarde ou de stations que l’on écoute au quotidien notamment pour s’informer et se divertir. Voir aussi
Un ancien banquier de Goldman Sachs, Richard Sharp, a été choisi pour devenir le prochain président de la BBC. Il travaillera en relation étroite avec le directeur général, Tim Davie, qui a pris ses fonctions en septembre, dans un contexte de turbulences pour le géant public des médias britanniques, entre débat autour du maintien ou non de la redevance après 2027 et concurrence féroce des plateformes payantes comme Netflix.
Face à la chute de la publicité, le patron de la SSR (Société suisse de radiodiffusion et télévision) devra ficeler un nouveau plan d’économies pour l’an prochain. Mais il se réjouit surtout de voir aboutir le projet de la nouvelle plateforme Play Suisse, une première à l’échelon national. Voir aussi
À l’heure où les offres de SVOD se multiplient et que les usages de la télévision évoluent, la place de l’audiovisuel public est remise en question. En France comme en Europe, le service public a un rôle important à jouer, défend Alain Le Diberder, spécialiste des médias, qui a occupé des postes-clés liés aux programmes au sein de France Télévisions, Canal+ et Allociné. Après avoir fondé son cabinet d'architecture en nouveaux médias, il a été, entre 2012 et 2017, directeur des programmes d’Arte. Voir aussi
La future holding de l’audiovisuel public, qui sera opérationnelle dès 2022, risque de modifier en profondeur l’organisation des groupes concernés. Prospective. Voir aussi
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Sibyle Veil s'est imposée face à deux candidats: le journaliste Florent Chatain et Maïa Wirgin, secrétaire générale de la Cour des comptes.
Mardi 28 juin, les programmes des chaînes de télévision, des radios publiques et du site de franceinfo.fr ont été fortement perturbés. Une partie des salariés était en grève contre la suppression de la redevance audiovisuelle. Mais à quoi sert vraiment cette redevance? Quel est son montant ? Est-elle plus élevée que chez nos voisins? En quatre graphiques, franceinfo vous aide à visualiser ce que représente cette taxe, payée aujourd'hui par près de 23 millions de foyers français, selon un rapport sénatorial. Voir aussi
La fin de la redevance doit conduire à l’élaboration d’un nouveau contrat entre l’Etat et les médias publics, analyse la spécialiste de l’information et ancienne membre du Conseil supérieur de l’audiovisuel, qui propose, dans une tribune au «Monde», qu’une plus grande place soit accordée à l’éducation aux médias.
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Mis sous pression budgétaire par l'État britannique, la BBC supprime 1.000 emplois et accélère son virage numérique, avec un plan radical qui va se traduire par la fusion de ses chaînes d'informations nationale et internationale et le passage en ligne de plusieurs autres. Déjà soumis à plusieurs plans d'économies ces dernières années et au vieillissement de ses audiences, le géant de l'audiovisuel public, institution dont l'influence dépasse largement les frontières britanniques, a vu son horizon financier s'assombrir cette année avec la décision du gouvernement conservateur de geler la redevance pour deux ans. Voir aussi
Le gouvernement souhaite supprimer la redevance audiovisuelle dès cette année, dans le cadre des mesures de soutien au pouvoir d'achat des ménages, selon le compte-rendu du Conseil des ministres du 11 mai. «La contribution à l'audiovisuel public sera supprimée de manière pérenne dès cette année et le financement de l'audiovisuel public sera assuré dans le respect de l'objectif à valeur constitutionnelle de pluralisme et d'indépendance des médias», indique le gouvernement, dans la retranscription d'une communication du ministre de l'Economie Bruno Le Maire lors du conseil des ministres.
Qu’il s’agisse du gel de la redevance de la BBC par le gouvernement Johnson créant un manque à gagner d’environ 2 milliards de livres, ou encore les promesses de suppression de la redevance audiovisuelle de certains candidats à la Présidentielle en France, l’audiovisuel public est au coeur des débats sociétaux. La relation de causalité est délicate. Les défauts d'une démocratie amènent-ils à affamer les médias publics, ou est-ce le fait d'affamer les médias publics qui entraîne les défauts d'une démocratie? Voir aussi
Emmanuel Macron s’est engagé, lundi 7 mars, s’il est réélu, à supprimer la redevance audiovisuelle, ce qui est «cohérent avec la suppression de la taxe d’habitation», l’une des mesures-phares de sa campagne en 2017. Depuis 2009, la contribution à l’audiovisuel public (CAP), d'un montant de 138€, est payable par toute personne qui est imposée à la taxe d’habitation et qui détient un téléviseur. Voir aussi
Après les sénateurs, les députés ont rappelé mercredi la nécessité de trouver un nouveau mode de financement pérenne pour l'audiovisuel public, alors que la question de l'avenir de la redevance audiovisuelle n'est toujours pas tranchée. Cette redevance (ou contribution à l'audiovisuel public, CAP), qui génère plus de 3 milliards d'euros de recettes nettes par an, est la principale source de financement de l'audiovisuel public (France Télévisions, Radio France...). Elle est amenée à évoluer avec la suppression programmée de la taxe d'habitation, à laquelle elle est actuellement adossée et qui doit disparaître totalement en 2023.
Et si la publicité radio se concentrait sur les antennes privées? C'est l'idée du Bureau de la radio, qui défend les intérêts des stations privées. Pour les 170 radios locales indépendantes, qui emploient 2500 personnes, ce sera -35% de recettes publicitaires à la fin de l'année, selon le Sirti.
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En une dizaine d'années, cette radio et cette télévision culturelles ont toutes les deux doublé leur part d'audience, une tendance que la crise du coronavirus ne dément pas. Elles répondent à un besoin de lenteur exprimé par le public, mais ont aussi assumé d'être de vrais médias et bénéficié de la montée de la consommation à la demande. (Accès abonnés)
Le gouvernement doit rendre prochainement un rapport sur la contribution à l'audiovisuel public ou CAP, alors que la taxe d'habitation, sur laquelle elle est indexée, va disparaître en 2023. Des parlementaires montent au créneau avec des propositions de réforme.
L'équipe de Télématin, l'émission qui fait les belles heures de France 2 entre 6 h 30 et 9 h 30, subit de plein fouet les économies drastiques exigées par l'Etat de France Télévisions. Le 1er octobre, les journalistes, réalisateurs et producteurs ou techniciens qui confectionnent la première matinale de la télévision française seront invités à rejoindre France Télévisions Studios, une filiale du groupe audiovisuel public. Voir aussi
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En ligne de mire, à l’horizon 2028, une évolution globale des allocations de 465 millions d’euros. Une manne dont France Télévisions devrait le plus profiter (254 millions d’euros), devant Radio France (93 millions d’euros), Arte France (44 millions d’euros), France Médias Monde (40 millions d’euros), l’INA (25 millions d’euros) et TV5 Monde (9 millions d’euros).