Les gels ou coupes sèches dans les budgets culturels, annoncés par la Ville de Lyon en juin dernier, auront des conséquences dès cette saison. C’est au premier adjoint délégué à la culture, Georges Képénékian, de donner des explications. Et aux Subsistances et au théâtre des Célestins, de donner un avis -mesuré.
Les salles de la Ville de Lyon, qui consacre 20% de son budget à la culture, risquent bien de devoir modifier leur offre de programmation dans les mois et les années à venir. Car le 15 juin dernier, lors de l’annonce des grandes orientations budgétaires pour la période 2016-2020, le milieu a tremblé : pour combler le désengagement de l’État vis-à-vis des collectivités territoriales (moins 240 millions d’euros) et malgré un endettement calculé pour continuer à investir, deux domaines ont souffert plus que d’autres, le sport et la culture.
Via Aurelien Guillois