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Qu'est-ce qui pousse les entreprises à devenir mécène ? La contribution à l'intérêt général est la première motivation évoquée, selon le Baromètre d'Admical, association qui a pour raison d'être la promotion du mécénat en France. Arrivent ensuite l'expression des valeurs de l'entreprise puis l'ancrage territorial. " La réduction fiscale, qui a été plus que jamais au coeur de l'actualité cette année, n'est pas, dans les faits, au centre de la démarche philanthropique, constate Sylvaine Parriaux, déléguée générale d'Admical. C'est plutôt les projets à soutenir en eux-mêmes qui créent l'envie et déclenchent les dons des entreprises. Le cadre fiscal permet en revanche de donner plus. " Seulement 49 % des entreprises mécènes ont recours au crédit d'impôt mécénat pour tout ou partie de leurs dons
Via Aurelien Guillois
On peut dire que c'est fini le tableau ou la sculpture qui est placé dans le hall d'entrée de l'entreprise. Le mécénat s'est spécialisé, il est aujourd'hui plus en phase avec le cœur de métier de l'entreprise qui donne, quitte à devenir du mécénat de compétence. Autrement dit: donner des heures de travail disponibles, de l'expertise dans son propre secteur d'activité.
Via Aurelien Guillois
À l'issue d'une visite au Sitem - le Salon des professionnels des équipements touristiques pour monuments - Challenges a pris rendez-vous avec Marion Carré de "Ask Mona", Bastien Goullard de "Dartagnans", Florent de Carolis de "J'aime mon patrimoine" et Christian Clarke de Dromantin de "Patrivia". L'occasion pour ces start-uppers de nous préciser leur stratégie pour révolutionner le secteur, alors que, selon eux, 45% des musées français n'ont toujours pas de site internet et que l'âge moyen des propriétaires de monuments privés est de 75 ans. Où l'on parle "chatbot", "crowdfunding", "love money" et forcément... de Stéphane Bern.
Via Aurelien Guillois
En leur garantissant l’accès à un contenu exclusif ! C’est le coup de génie amorcé par Calvin Klein, qui soutient à la fondation Andy Warhol. Dans une sorte de mécénat ré-inventé, les équipes de Calvin Klein ont proposé d’acheter une licence exclusive, leur donnant accès à tout le contenu de la Fondation : documentation, présentations, et créations inédites de l’artiste – y compris certaines qui n’ont jamais été montrées au public.
Via Aurelien Guillois
Autrefois considéré comme « la danseuse du président », l’art en entreprise est désormais un « investissement »à privilégier pour les entreprises soucieuses de leur contribution à l’intérêt général. Conscient de cette (R)évolution : intérêt personnel vers intérêt collectif, le législateur fiscal les aide à structurer leurs actions de soutien.
Via Aurelien Guillois
Pourquoi les TPE et PME investissent-elles dans l'intérêt général en période de crise ? La réponse se trouve dans le mécénat. Il ne se limite plus à un don financier mais à une mise à disposition des compétences de ses salariés. Une façon de renforcer la motivation des équipes.
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Paul Rondin est, au Festival d’Avignon, le bras droit d’Olivier Py, avec le titre de directeur délégué. Comme beaucoup dans le théâtre public, il s’inquiète de la récente montée en puissance du privé dans le spectacle vivant, et d’un certain abandon du terrain par la puissance publique.
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Encore peu développée, la fonction de responsable de mécénat émerge, plutôt dans les grandes collectivités. Avec pour mission de collecter des fonds, mais aussi d'ancrer de nouveaux liens sur le territoire. De 100 000 à 3,3 millions d’euros… Telle est la fourchette des montants que les collectivités interrogées par le Ernst & Young ont d’ores et déjà collectés, d’après l’étude que le cabinet-conseil a publiée le 29 septembre sur le mécénat dans les collectivités territoriales.
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Arthur Gautier est directeur exécutif de la chaire philanthropie et chercheur à l’Ecole supérieure des sciences économiques et commerciales (Essec) de Cergy-Pontoise (Val-d’Oise). Il revient sur les caractéristiques du mécénat d’entreprise en France et sur les principaux enjeux auxquels il fait face.
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De nombreux sites touristiques français s'équipent de bornes permettant de faire des dons de façon rapide, grâce au paiement sans contact. «Deux euros, allez, c'est un petit geste. Pour le prix de deux cartes postales, on peut aider le patrimoine», s'enthousiasme Stéphane Bern. L'animateur, parrain de la start-up Heoh, est un fervent supporteur des nouvelles bornes que celle-ci commence à déployer sur les plus célèbres sites français. Les voici déjà, depuis la mi-août, au Mont-Saint-Michel, sur les remparts de Carcassonne, au château de Fontainebleau, à l'église de Saint-Tropez ou à Oradour-sur-Glane.
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Malakoff Médéric acueille les handicapés. AXA Banque fait passer des entretiens d'embauche aux jeunes diplômés pendant le festival. Parmi les grands festivals pop-rock de la planète, les événements français affichent des prix très raisonnables par rapport aux manifestations anglo-saxonnes. A titre d'exemple, il faut s'acquitter de 353 euros pour trois jours à Coachella aux Etats-Unis, contre 150 euros les quatre jours aux Vieilles Charrues, dans le Finistère. Il faut bien dans ces conditions que les organisateurs trouvent des sources de financement complémentaires aux recettes commerciales et aux subventions éventuelles.
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Les dons alloués par les entreprises dans le cadre de leurs opérations de mécénat ont fortement augmenté en 2015, pour atteindre 3,5 milliards d'euros, selon un baromètre bisannuel dévoilé mardi par l'association Admical. Le budget global des entreprises mécènes, de 2,8 milliards voilà deux ans, a ainsi augmenté de 25% sur cette période. Ce budget est porté à 60% par les entreprises de taille intermédiaire (ETI) et les grandes entreprises (GE), précise Admical. Durant cette période, le taux d'entreprises mécènes a lui aussi augmenté, passant de 12% à 14%.
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Le crowdfunding, ou financement participatif, connaît un succès fulgurant depuis quelques années. En France, deux plateformes se partagent le gros du marché : Ulule et KissKissBankBank. Comment expliquer cet engouement ?
Via Aurelien Guillois
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Les 14 et 15 septembre prochains, le fonds de dotation « Centre Pompidou Accélérations » organise une rencontre inédite entre chefs d’entreprise, artistes, scientifiques, chercheurs, philosophes… Pour Serge Lasvignes, son président : «L'esprit du Centre Pompidou, c'est aussi une nouvelle approche du mécénat. Être engagé, faire partager la création et favoriser le vivre ensemble par l'émotion et la réflexion.»
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Marc Ladreit de Lacharrière a effectué l'une des plus importantes donations à un musée français. D'autres mécènes ont eux aussi contribué à enrichir les collections d'Orsay, de Pompidou ou d'institutions en régions.
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Une étude inédite montre que le mécénat est une manne croissante au service des associations. Ce sont des chiffres inédits qui prouvent l’essor du mécénat. L’étude de Recherche et Solidarités, que publie La Croix en exclusivité, illustre la croissance continue depuis 2010 des sommes versées par les entreprises au secteur associatif. Jusqu’à présent, l’ampleur du mécénat restait assez difficile à mesurer. Les seules estimations disponibles provenaient d’un sondage réalisé tous les deux ans par Admical, l’association regroupant les principales entreprises mécènes. Les travaux de Recherches et Solidarités, un réseau d’experts de la philanthropie, se basent en revanche sur des données objectives et précises venues de Bercy. « Nous travaillons non pas sur un échantillon mais sur la totalité des déclarations fiscales des entreprises », souligne Jacques Malet, président de Recherches et Solidarités.
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Le financement participatif se développe en Lorraine. Si les projets économiques sont les premiers à en profiter, le patrimoine en bénéficie aussi. Exemples au théâtre des Bleus à Bar-le-Duc et au musée de la Cour d’or de Metz. «Cette générosité, c’est dingue ! En 45 jours, nous avons levé 13 500 €. C’est 1 000 € de plus que l’objectif fixé. » Etienne Tagnon, Anthony Marty et Loïc Alif n’en reviennent pas. Ces trois copains du lycée de Bar-le-Duc, aujourd’hui proches de la trentaine, se sont lancés dans un projet aussi fou que colossal : rénover le théâtre des Bleus de Bar. Menacé de destruction, ce petit bijou à l’italienne de 1902 est devenu, en mai 2016, la propriété de leur association. Sauf que la facture de rénovation est plutôt salée : 800 000 € HT.
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Alors que la contribution des entreprises au mécénat représentait 343 millions d’euros en 2003, elle avoisine désormais 3,5 milliards d’euros. Une évolution qui s’accompagne d’une nouvelle perception de cette démarche dont profitent tant les entreprises que les territoires.
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Le financier s’explique sur ses engagements dans le spectacle vivant et le monde des musées, dont il est devenu une figure influente.
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HelloAsso, le site de collecte en ligne, lance en France le premier site de Matched-Crowfunding qui facilite la rencontre entre les PME et les associations en mal de mécènes. En France, le mécénat se porte bien. En 2016, selon les données du baromètre du mécénat d’entreprise, 170.000 entreprises ont financé des initiatives d’intérêt général pour un montant total de 3,5 milliards d’euros. C’est bien, mais ce peut être mieux grâce au "Matched-Crowdfunding" qui facilite les rencontres entre les PME et les petites associations. Le site de collecte HelloAsso inaugure en France cette méthode de mise en relation.
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Malgré une réduction de subsides de 30 % en 3 ans, les attentats de Bruxelles et une chute vertigineuse des fréquentations, les Musées Royaux des Beaux-Arts (MRBAB) sont le site le plus visité du pays avec 700.000 visiteurs par an et propriétaire de 20.000 œuvres, en faisant la plus grande collection d’arts plastiques de Belgique. Le Musée a même fait son entrée en 2015 au top 100 des musées les plus visités au monde.
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Détacher des salariés sur des missions d’intérêt général séduit de plus en plus d’entreprises. Un souffle nouveau parcourt les entreprises engagées sur des projets associatifs. Le mécénat de compétences, qui consiste à mettre à disposition un salarié volontaire durant son temps de travail au profit d’une œuvre d’intérêt général, est en plein boom. Jean-Michel Pasquier, fondateur de Koeo, plate-forme numérique consacrée au déploiement de programmes de mécénat de compétences, est formel : « Nous sommes clairement à un tournant. Il y a quelques années, nous allions chercher les entreprises pour les pousser à prêter main-forte aux associations, par le biais de leurs salariés. Maintenant, ce sont surtout elles qui font la démarche de s’inscrire sur notre plate-forme. »
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Les revenus de billetterie s'élèvent à 155 millions d'euros. Les sociétés représentent 6 % des organisateurs. Selon la Sacem, à l'instar de Download, seuls 6 % des festivals de musique sont organisés par des sociétés commerciales, contre 70 % par des associations (Vieilles Charrues, Eurockéennes, Jazz à Junas…) et les autres par des collectivités locales. Si la part des entreprises est encore marginale, elle ne cesse de progresser dans une économie qui génère 155 millions d'euros de billetterie.
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Les dons alloués par les entreprises dans le cadre de leurs opérations de mécénat ont fortement augmenté en 2015, pour atteindre 3,5 milliards d’euros, selon un baromètre bisannuel dévoilé par l’association Admical. Budget global du mécénat : +25 % en deux ans ! La culture n’est pas qu’une affaire de fonds publics ; cette étude de l’Admical est là pour nous le rappeler. En creusant les 90 pages de ce document, on apprend ainsi que le budget global des entreprises mécènes, de 2,8 milliards il y a deux ans, a augmenté de 25 % sur cette période. Un budget porté à 60 % par les entreprises de taille intermédiaire (entre 250 et 4999 salariés) et les grandes entreprises (au moins 5 000). Si le social reste le domaine le plus soutenu par les entreprises (22 % du budget « mécénat » lui est consacré et 29% des entreprises choisissent de s’engager dans ce secteur), il est suivi de près par le budget consacré à la culture : choisi par 24 % des entreprises mécènes, ce budget augmente pour passer de 13 à 15 % du budget total du mécénat en France. Ce secteur occupe néanmoins une place particulière, puisqu’il est le domaine le plus prisé par les entreprises mécènes (48 % d’entre elles, notamment les TPE).
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Des expos de qualité pour les musées, une image tirée vers le haut pour les mécènes. Un pas de plus vers la privatisation de la culture ? Dans un contexte de baisse de la dépense publique, les musées français font de plus en plus appel au financement des entreprises pour organiser leurs expositions ou simplement boucler leur budget. Pour les entreprises, ce don en argent ou en compétences permet de s’associer à l’image des musées qu’elles financent. C’est aussi une bonne manière de conduire leur politique de RSE et de s’adresser à leurs collaborateurs. Ce mécénat d'entreprises conduit parfois à une privatisation partielle des musées qui en bénéficient, au travers de soirées privées à l’occasion du lancement de certaines expositions ou de loges louées à l’année pour les clients et les fournisseurs. Certains mécènes ont même acquis une sorte de droit de regard, limité, sur la programmation de leurs musées partenaires.
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